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Zeus Aziadouvo et Ferdinand Ayite et Francis PEDRO les artisans de la division de la presse dans ce pays.
Le premier est Directeur de Publication du Journal Liberté, le second est un nouveau sur la scène, il s’illustre dans le grattage d’un papier qu’il nomme l’alternative (allez-y comprendre), le troisième est plutôt zoophile, il est à la tête de Crocodile, disparu depuis la création du CST.
Se prenant pour le chantre du journalisme engagé (mais aux couleurs fortement partisanes) ces messieurs, formés sur le tas ici au Togo, s'illustrent particulièrement dans le dénigrement, la diffamation et les attaques en règle contre leur confrères.
Exemple de LIBERTE de Zeus AZIADOUVO, le journaliste qui ne fait qu’à sa tête. Aujourd’hui c’est bien lui, il fait la pluie et le beau temps. Il décide de qui insulter dans la corporation, il distribue les notes à ses confrères au gré de ses avantages.
Son canal idéal pour résoudre les quiproquos dans la corporation, c’est son média.
ah ! Tiens, que peux-tu exiger de lui, toi ? N’est il pas le chef de sa rédaction ?
A Liberté, demandez tous ce que vous voulez sauf le respect des règles de confraternité.
C’est bien ça la presse togolaise. Sans porter de gangs, on insulte et on accuse tout ceux qu’on veut. Aujourd’hui c’est la Liberté et à LIBERTE, c'est vraiment la liberté No limit.
La revue de presse de ce mercredi 15 mai 2013 m’a presque coupé le souffle, pas seulement moi mais beaucoup d’autres confrères : Zeus AZIADOUVO assène un coup de boutoir à sa corporation : celle qui lui a permis d’être ce qu’il est aujourd’hui (l’un des journalistes financièrement plus assis dans la presse privée togolaise même s'il continue d'enfourcher des Z ).
Pour ZEUS AZIADOUVO, c’est l’UJIT et le CONAPP qui se cachent derrière l’interpellation et la détention de LAWSON Bonéro, le pugiliste de la corporation.
Ainsi dans le mode de pensée de ce directeur de publication, l’UJIT et le CONAPP portent le tort et la responsabilité de ce qui arrive à Bonero tout simplement parce qu'elles ont eu à publier un communiqué pour condamner la violente agression du confrère sur un autre.
Que comprendre de l’attitude du Directeur de Publication du Journal Liberté ?
Quel intérêt a-t-il particulièrement à ce que la profession soit si profondément divisée ?
Alors que toutes les bonnes consciences et les doyens se battent pour sauver le peu d’honneur qui reste à notre corporation ce gros villageois (infécond), se permet de mutiler davantage la corporation en accusant injustement ses confrères.
Qu’est ce que l’UJIT et le CONAPP a avoir dans l’interpellation et la détention de BONERO ?
En quoi cela arrange t-il la corporation si un des membres est interpellé et détenu ?
En bon journaliste, Zeus a tout intérêt à rechercher les vraies causes de tout ce qui arrive dans la corporation au lieu d’aller vite en besogne comme un plumitif .
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