Les carottes sont belle et bien cuites pour le CST qui vient de faire une sortie suicidaire dans l'affaire des incendies des marchés.
Il y aura bientôt un an que deux de nos principaux centres économiques de notre pays prenaient feu, l’un après l’autre et ceci dans des conditions très étranges. Survenus à des dates très particulières ces incendies ses marque le début et la fin d’une série de manifestations organisée par le Collectif Sauvons le Togo qui faisait entendre à qui le voulait, que par ces manifestations désigné « DERNIERS TOURS DE JERICHO », le régime de Faure allait connaître une fin brutale.
le jeudi 10 janvier 2013, premier jour de l’opération « DERNIERS TOURS DE JERICHO », le grand marché de Kara est ravagé par les flammes. C’est la stupeur totale, l’incompréhension et les interrogations. D’où viennent ces flammes ? Pourquoi avoir choisi le grand marché pour commetre un tel acte ? Les femmes du grand marché de Kara n’ont pas fini de pleurer leur drame que le 12 janvier 2013 soit le troisième et dernier jour de l’opération « DERNIERS TOURS DE JERICHO » on annonce avec plus de consternation la destruction du grand marché de Lomé, un pôle économique de la sous-région. Malgré la mobilisation des sapeurs-pompiers et le renfort venu du pays voisin, les flammes vont consumer totalement ce grand centre économique fraichement réhabilité à hauteur de trois milliards de francs CFA.
C’est dans ce contexte d’agitations socio politique sur fond de destruction et de pillage organisé par le CST de Jean Pierre Fabre et d’Ajavon Zeus que nos deux principaux marchés ont été détruits. Dans la foulé, plusieurs édifices publics et privés sont visés par des pyromanes heureusement vites maitrisés par les agents des forces de l’ordre. CIB INTA à Atakpamé, M3.Com à Kara deux sociétés appartenant à des personnalités proches du pouvoir togolais, le Marché d’ Adidogomé, la société CIMTOGO au port, le siège de TOGOTELECOM à Agbalepedo. Tous ces immeubles et centres d’affaires étaient sur la liste des cibles à atteindre selon les déclarations des personnes interpellées dans les jours qui ont suivi ces incendies suite à l’enquête diligentée par le gouvernement.
Certaines de ces déclarations ont été rendues publiques et nous avons eu l’occasion de constater l’ampleur du crime que projetait d’organisé le CST contre notre économie nationale.
Voir
http://www.youtube.com/watch?v=Mj68sfUvJZU http://www.youtube.com/watch?v=RHOXLdhm5j4
http://www.youtube.com/watch?v=CsBBSad63Ao
Au cours de l’instruction du dossier, certains leaders du CST ont été entendu et d’autres sont toujours détenus pour les besoin de l’enquête. La dernière grande interpellation dans ce dossier est celui du député KWAMI MANTY dont personne n’en parle même au sein du CST. Son nom est plusieurs fois revenu dans les déclarations des personnes interpellées depuis les moins de janvier et février 2013. L’interpellation de Kwami Manty a tout récemment conduit à l’inculpation d’Eric DUPUY et de Claude AMEGANVI.
Constatant l’éclatement de l’affaire que l’étau se resserrait autour de lui, le CST a tenté de jouer à la diversion en appelant en vain à la mise en place d’une enquête internationale à côté de celle diligentée par les autorités togolaise avec l’appui de la France d’autres pays alliés. Fort des résultats de cette enquête la piste criminelle des incendies a été confirmée.
Les témoignages et les dépositions des prévenus sont sans appels. Avant les derniers tours de Jericho, des réunions de planifications ont été organisées au siège de l’ANC avec la présence effective des principaux leaders de ce parti à savoir, Jean Pierre Fabre, Eric DUPUY, Alexandre Amorin, Jean Eklou, Alphonse KPOGO à qui se sont associé, Ajavon Zeus avec son concept de la révolution au nom de l’article 150 de notre constitution, Gérard ADJA, Agbeyome Kodjo. Le but de ces rencontres étaient la destruction des différents marchés de notre pays par le feu afin de provoquer une sorte de révioltultion des populations qui dans son excès de colère sortira de tous les coins du pays pour manifester contre le pouvoir établi. L’exécution de ce vaste projet criminel sur le terrain a été confiée au député Kwami Manty, au leader des jeunes de l’ANC, Jean Eklou puis ADJA Gérard, l’un des patrons du parti OBUTS. Le procureur de la République dispose actuellement d’éléments probants qui confirment les déclarations des personnes détenues.
Alors que la justice s’apprête à ouvrir le procès afin de situer les responsabilités des uns et des autres dans cette sordide affaire, c’est un CST acculé de toute part qui vient signer son arrêt de mort politique en publiant un pseudo rapport rédigé sans doute dans la chambre à coucher d’Eric DUPUY.
Un Eric DUPUY qui a manqué de dire au juge instructeur la semaine passée tout ce qu’il savait de ces incendies.
Claude AMENGANVI qui revient au-devant de la scène avec cette affaire d’incendie disait ceci dans une de ses déclarations : « Je ne sais rien d’autre que les informations publiées par les médias au sujet de ces incendies » et de continuer en affirmant que « le Parti des travailleurs ayant formellement démissionné du CST depuis le 15 novembre 2012 pour désaccord avec sa participation au dialogue avec le régime RPT, son représentant au CST que je suis n’a participé à aucune des activités du CST entrant dans le cadre de la préparation de la campagne des manifestations dites des « 3 jours de Jéricho » en janvier 2013 »
Chose très curieuse c’est ce même Claude AMEGANVI qu’on retrouve signataire d’un rapport du CST. Un rapport qui n’est que la litanie d’un « criminel » devant la potence.
Les leaders du CST qui ont signés ce rapport ont été dans leur ensemble écouté par le juge instructeur et en aucun moment personne n’a eu le courage de dire au juge ce qu’il savait de ces incendies. Il a fallu donc plus de 10 mois après et une série d’inculpation que ces messieurs nous serve un ramassis de nom sans aucune base d’objectivité et de scientificité On ignore comment ces opposants s’y sont pris pour mener un travail de terrain, interroger les témoins, réaliser les expertises. Ils sont peu précis sur les méthodes de travail utilisées.
En revanche, ils se veulent précis sur les vrais responsables, selon eux, des drames. Le rapport au contenu délirant accuse pèle même le chef d’Etat-major de l’armée de terre, le préfet de la Kozah, la directrice des impôts ou encore le directeur général de l’aéroport de Lomé.
Au demeurant l’on ne s’étonnera pas que ce prétendu rapport ne soit que la retranscription des propos du déréglé mental de la corporation, l’irresponsable Bonéro Betum LAWSON qui depuis le mois d’avril affirmait que c’est Faure et certains généraux qui ont incendié les marchés de notre Pays.

Ecouter http://www.youtube.com/watch?v=2r5GX6WPHUE
Quand toute la défense d’un groupe d’individu se fonde sur des propos et écrits manifestement faux d’un journaleux, comprenez que l’heure est à la débandade dans les rangs de nos amis du CST et qu’il n’y a pas plus belle occasion offert par eux eu même à leurs adversaires (c’est à dire le pouvoir) pour les trimbaler devant les tribunaux. Une seule plainte venant des personnes citées dans ce faux rapport et toute la bande d’aventurier et leur sort est scellé. S’ils ne sont pas stupides c’est qu’ils sont des gamins qui ignorent les conséquences de leurs actes.
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