Dans une lettre rendue publique le lundi 20 avril 2015, le candidat FABRE, a, à nouveau, mis en cause le système de collecte et de transmission des résultats choisi par la CENI.
Il a proféré des menaces lourdes contenant un odieux chantage à la violence et à l’insurrection.
Se faisant, le candidat Fabre montre au monde entier son inaptitude définitive à l’exercice des hautes fonctions auxquelles il aspire et qui hantent ses jours et ses nuits.
Les raisons :
L’évidence criante d’une mauvaise foi. Car le système qui se trouve être l’objet de sa contestation a été validé et adopté en plénière à la CENI en présence de ses trois représentants : Edem ATANTSI, NABOUREMA Bemba et Eusèbe AMELEWONOU.
Non content de mentir pour lui au mépris du sérieux lié au contexte électoral, il se permet de s’exprimer au nom de trois autres candidats sans même les avoir consultés. Ce qui dénote le peu d’estime et de respect qu’il porte à autrui fut-il candidat à la Présidence. Gerry Taama a d’ailleurs publiquement dénoncé cette démarche unilatérale estimant ne pas se reconnaitre ni dans sa forme, ni dans son contenu.
S’agissant enfin des menaces de violence qu’il ose proférer à l’endroit du processus électoral et de l’ensemble du peuple togolais qu’il offense gravement, le candidat porte atteinte à la dignité de ce peuple et risque d’en courir lui-même ses foudres.
Autant de mépris et d’absence de retenue et de maîtrise de soi qui montrent sans aucun doute combien le candidat FABRE est impopulaire à l’exercice de toutes les hautes fonctions d’autorité.
Crains cher peuple, crains terre de nos aïeux, si jamais un jour improbable, un tel individu embrassait le pouvoir !
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