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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

Coupe du monde 2014 : le bonheur d'un peuple qui s'envole

Publié le 19 Juin 2014 par @Abdel-L'investigateur

Coupe du monde 2014 : le bonheur d'un peuple qui s'envole

La coupe du monde 2014 n'est pas africaine cette année. On a eu peu de moment de joie. Aucun moment de joie si je peux le dire ainsi. Tous ces matchs on les a suivi avec la peur dans le ventre. Dommage pour le peuple africain qui manque de ces moments de détentes et de joie. Regrettable de passer à côté de ces petits instants de bonheur que procure le cuir rond pour ces millions d'hommes et femmes ballotté entre les difficultés quotidiennes de la vie, l'incertitude d'un lendemain meilleur, l'insouciance de la classe politique. Seul point de convergence des peuples sur tout le continent, le football cette année peine à offrir à l'Afrique cette flamme patriotique qui l'a toujours marqué. Pour y arriver les dirigeants de ce sports doivent véritablement faire preuve de conscience humaine et comme le disait quelqu'un rendre à ce sport (le football) ce qu'il leur a rendu. Aux joueurs ils doivent avoir à l'esprit qu'une petite victoire sur un terrain de football apporte un immense bonheur à tout un peuple, plus que tout. Si ici au Togo, les visages sont crispés après les matchs du Nigéria, du Camerou et aujourd'hui celui de la Côte d'Ivoire, j'imagine un peu la grande déception des populations de ces pays respectifs. Aujourd'hui on peut sans risque de se tromper affirmer que le football est devenu une science et qui parle de science va d'abord avec méthode, organisation. Tant que les fédérations de ce sport seront gérées comme des cuisines familiales on ne peut pas espérer mieux que ces défaites en cascades. Les responsables de nos pays doivent penser à rendre au football ce que ce sport leur a donné. Ce soir mon coeur saigne, mais il continuera de se battre pour mon Afrique, conscient que ces échecs constitueront dans le futur le déclic pour une gestion professionnelle du football africain. La génération actuelle des dirigeants a fait son temps avec tout le lot de casserole qu'elle traine. Il est temps pour passer le témoin.

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Les dures réalités du terrain : l'ANC en perte de vitesse devant UNIR

Publié le 17 Juin 2014 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Les dures réalités du terrain : l'ANC en perte de vitesse devant UNIR

Les images parlent d'elles-mêmes. Fabre en tournée dans les plateaux fait l’amer constat des réalités du terrain : la présence et l’omniprésence de Faure et de son parti sur tout le territoire togolaise. On dirait pratiquement que les différentes tournées que Fabre a organisées auront été pour lui l’occasion de prendre conscience de l’avancée du parti UNIR sur le terrain.

Partout où le responsable de l’ANC est passé, le constat a été le même. UNIR a bel et bien investi tout l’intérieur du Togo. Le travail accompli par le parti au pouvoir dans les profondeurs du pays n’est plus un secret pour l’ANC qui sait désormais qu’il faut plus que le courage et la détermination pour changer la donne. Le Chef de l’Etat est un homme aimé par sa population qui salue à juste titre ces efforts pour préserver la paix dans le pays au moment où l’insécurité empoisonne la vie des autres Nations autour de nous.

Au cours de cette tournée dans les plateaux, l’ANC a sans doute compris l’immensité de la tâche qui l’attend et que le fauteuil présidentiel ce n’est pas pour demain en tout cas pas pour 2015.

Dans les plateaux, les cœurs sont désormais au bleu. Faure est dans la vie quotidienne des togolais ; en témoigne cette photo imposante qui trône quelque part dans un salon où Fabre était reçu, histoire de lui rappeler qu’il était sur un territoire conquis depuis la nuit des temps par le parti UNIR.

A Tokpli, Isabelle AMEGANVI croyait obtenir des points auprès de Fabre en organisant une rencontre entre le Chef canton et la délégation de l’ANC. Mais c’était le fiasco total.
Accueilli puis installé dans le salon du Chef, Jean Pierre Fabre a eu le choc de sa vie en apercevant en face de lui une grande et imposante image de son éternel souffre-douleur, le président de la République, Faure Gnassingbé. Difficilement que Fabre est parvenu à prononcer quelques mots devant l’hôte de la maison. $

Ailleurs c’est carrément au mensonge et à la manipulation que s’est livrée la délégation de l’ANC pour pouvoir réunir une poignée d’individus. La politique ce n’est pas une affaire de muscle. Quand on véhicule des idées nobles, c’est tout naturel que les gens viennent vers vous. Les conditions qui ont entraîné la création de l’ANC ont laissé des traces sur l’évolution de ce parti. Jusqu’à présent Fabre croyait qu’il suffisait d’évincer Gilchrist Olympio pour hériter de la popularité et de l’aura dont jouissait ce dernier. Il n’en est rien. Fabre n’est rien en dehors de Lomé et avec cette tournée. Entre rêves et réalité il y a un grand fossé. Fabre ne sera jamais Gilchrist et ne parviendra jamais à séduire les togolais comme le vieux l’a fait en son temps.

Que Fabre lui-même tire sa propre conclusion de sa tournée. Quand il se roulait dans le sable fin de la plage de Lomé, quand il organisait des cérémonies funéraires pour disait il enterrer Faure, quand il organisait en plein chaud soleil des veillés de prières avec des bougies allumées pour réclamer le fauteuil de président, Faure lui avançait tout tranquillement s'imposant dans toute la région des plateaux comme première force politique. Les élections législatives de 2013 ont confirmé ces tendances déjà perceptibles en 2010. L'opposition a perdu la région des plateaux. Et les choses ne sont pas arrangées depuis que l’UFC s’est éclatée. Aujourd'hui à la veille des échéances présidentielles, Fabre tente de se racheter en improvisant des tournées qui tournent au fiasco. Ils sont rares à se bousculer pour aller écouter les messages oisifs et creux du CST/ANC. Les togolais de l’intérieur savent de quel côté se trouve les bonnes graines, celles qui peuvent demain germer. C’est la période des travaux champêtres et point n’est besoin de perdre son temps avec des aventuriers.

« Jean Pierre Fabre s'est imposé comme leader de l'opposition, en rapport au nombre de députés de son parti à l'Assemblée nationale. Même s'il est difficile d'apprécier le poids réel de son parti, puisqu'il s'était présenté sous la bannière du CST, son parti a 17 députés à l'Assemblée, loin derrière UNIR (62) mais loin devant Arc-en-ciel (6). Il jouit d'une solide popularité à Lomé, mais il semble que celle-ci ne dépasse guère la capitale et est plutôt faible même dans la région Maritime, où le CST fait jeu égal avec UNIR. Lui et son regroupement n'ont malheureusement pas réussi à capter les déçus de l'UFC, qui sont manifestement partis à UNIR dans le sud du pays ».

 

C’est en substance ce que disent les conclusions d’un rapport d’étude commandité par le Netask au cours des mois passés.

Qui veut aller loin, ménage sa monture. Depuis 2010, Fabre n’était pas sans savoir qu’en 2015, les togolais seront appelés à aller au vote et que le Togo ne se limitait pas seulement à Lomé.

 

 

 

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Après avoir fait échouer le dialogue : Le CST offre du spectacle dans les rues de Lomé les 26, 27 et 28 prochains

Publié le 16 Juin 2014 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Après avoir fait échouer  le dialogue : Le CST offre du spectacle dans les rues de Lomé les 26, 27 et 28 prochains

L'opposition togolaise se singularisera toujours. Non contente d'avoir fait capoter les assises de dernier espoir pour le peuple togolais, elle cherche, comme à son habitude, à jouer à la victime.

Pour nombre d'observateurs, l'attitude de l'opposition laisse perplexe. En effet, elle a toujours refusé de prendre part à un quel- conque dialogue ou elle pose des préalables ridicules. Les quelques rares fois où, contraint par la situation, elle se présente aux discussions, c'est pour claquer la porte juste après quelques instants. Pendant longtemps certains Togolais, dupes et embastillés par ces marchands d'aventure, ont cru que ces méthodes sur- années pouvaient faire fléchir le pouvoir sur les desiderata de dialogue et chargea son premier ministre d'entamer les contacts pour la tenue du dialogue.

A l'entame de ce dialogue, très vite la question d'un médiateur ou d'un facilitateur s'est posée avec acuité. Le pouvoir jugea qu'un médiateur ne serait utile qu'en cas de blocage et vu le climat de confiance et cordialité qui régnait en ce début des travaux tout semble dire que la suite sera heureuse. L'opposition, pour sa part, estimait que la présence d'un facilitateur sur place ferait avancer les choses. Deux noms ont circulé et toutes les deux personnalités pressenties font partie du clergé. Il y eut un petit blocage de soixante-douze heures, le pou- voir a fait une concession et à la reprise, Monseigneur Nicodème Benissan-Barrigah fut désigné, à l'unanimité, facilitateur du dialogue.

Dès le départ, nous avions vite fait de prédire que ce nouveau dialogue n'aboutirait à rien de concret et nous nous retrouverons comme avant.

En effet, une certaine classe politique est tellement réfractaire au dialogue qu'elle n'aime pas en entendre parler et préfère tout mettre en œuvre pour garder son statut. Nous parlons de l'opposition togolaise ou plutôt de sa frange radicale. Depuis la nuit des temps, elle a toujours agi dans le sens d'une confrontation ouverte avec le pouvoir. Si aujourd'hui, le Togo en est à se chercher des marques de repère cela est en partie dû à son étourderie, à ses turpitudes ou ses manigances. Il nous souvient que dans les années 90, elle avait tout orchestré pour obtenir la suspension de la coopération entre notre pays et l'Union Européenne avec toutes les mesures coercitives qui l'accompagnent. Elle était parvenue à ses fins et n'eut-été la carrure internationale, la diplomatie et la sagesse du chef de l'Etat de l'époque, Feu Gnassingbé Eyadema, il se peut que la situation soit plus dramatique qu'elle ne l'est aujourd'hui.

Le constat est là, très amer pour le peuple togolais que l'op- position ne cherche pas à participer à la normalisation de la vie sociopolitique du pays. Ceux qui pensaient que le miracle se produirait cette fois-ci à Togo Telecom en ont eu pour leurs frais. C'est clair pour tout le monde aujourd'hui que la solution ne viendrait pas du CST et consorts mais de la volonté affichée du président Faure de faire du Togo un pays normal qui deviendrait une référence dans l'Histoire.

Afin de bourrer encore le crâne du peu de militant qui lui reste, le CST lance des mouvements d'humour pour les 26, 27 et 28 Juin prochain. Ces rencontres seraient, à ne point en douter, des cadres de désinformation, d'intoxication, de manipulation et de mensonges grossiers. Jean-Pierre Fabre et ses sbires se feront le plaisir de mentir aux populations et de rejeter toute la responsabilité de l'échec du dialogue sur le parti au pouvoir. Ces surdoués du siècle dernier ne pourront faire autrement car même si un arbre séjourne vingt ans dans l'eau, il ne deviendra jamais un crocodile. Les leaders de l'opposition ont tellement menti, déformé les faits que cela les suit partout où ils vont.

Les mouvements de la fin de ce mois s'inscrivent dans la même démarche. A-t-on besoin de trois (03) jours pour expliquer à la population les raisons de l'échec du dialogue ? Cela démontre à suffisance que l'opposition est en panne d'idées et de stratégies pour la suite de la lutte. Elle cherche à s'abriter derrière des faux- fuyants pour essayer de berner encore le peuple. Ce qu'elle ignore, c'est que les Togolais se réveillent et ne croient plus aux mirages. En plus, ils savent maintenant lire dans le jeu politique et savent imputer à qui de droit les responsabilités dans tous les faits.

Le ridicule ne tue pas dit-on mais à trop se montrer sot, on finit par perdre de sa personnalité et de sa crédibilité. Certaines per- sonnes ont intérêt à se faire tout petit pour ne pas exhiber leur stupidité. Celles-là doivent se détourner de l'idée incongrue de retourner manifester trois jours de suite pour étaler leur niaiserie.

A bon entendeur, pas de sottises.

Arimiyao 

Nouvelle Opinion N°402 du 16 juin 2014

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ATTENTION : ABASS KABOUA ESCROQUE !

Publié le 10 Juin 2014 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

L’homme n’est plus à présenter. Véritable flagorneur, en plus d’être bouffon c’est un parasite humain, un importun. Tous ceux qui l'ont côtoyé nous diront que notre portrait de l’homme est plus que parfait. Abass kaboua, puisqu’il s’agit de lui, ne vit qu’aux dépens des autres. S’il n’a pas eu de scrupule devant la pauvre veuve du quartier, ce n’est pas devant ses compagnons de l’opposition qu’il manifestera une quelconque empathie. Abass KABOUA, la gueule grande ouverte tel un hippopotame est un homme qui sait bien combiner la ruse et la loufoquerie pour se remplir quotidiennement la panse.

Très tôt, il a compris qu’il pouvait mieux « manger » en créant son propre parti. Après avoir quitté en fracas le HACAME, il fonde donc le MRC, vitrine légale et formalisée pour mieux se vendre. Avec le MRC qui se dit Mouvement Républicain des Centristes, Abass KABOUA a toujours été au centre du parti où il y avait le plus à manger. Pour lui, les convictions politiques étaient reléguées au second plan. Seul compte à ses yeux l’aspect pécuniaire. Aujourd’hui proche du CST plus par intérêt que par conviction, Abass KABOUA sait sur quelle corde tirer pour se faire des sous comme à l’époque du timonier national. Faure ayant fermé le robinet de Lomé 2, Abass KABOUA sait qu’en s’associant à l’opposition, il pourrait s’attirer la sympathie des aigris et des déçus du camp de Faure Gnassingbé. Et ça marche pour lui. Pascal Bodjona, Kpatcha Gnassingbé rien qu’avec ces deux-là, le fils indigne de l’ancien ambassadeur du Togo peut dormir tranquille. L’argent coule avec ces deux messieurs surtout lorsqu’on sait bien vilipender le régime de Faure. Mais comme d’habitude, l’argent qui n’est pas gagné honnêtement s’envole rapidement, Abass KABOUA demeure toujours dans une vie peu enviable, traînant de location en location dans un éternel besoin. Pour pouvoir nourrir sa famille, il est obligé de jouer au guignol lors des manifestations du CST où après chacune de ses prestations, on fait circuler un panier pour récolter les dons pour l’ambianceur. Mais souvent la recette finit malheureusement dans les buvettes du quartier Totsi et d’Adewi. Tout récemment, c’est en complicité avec Olivier AMAH que le guignol a escroqué les personnes indemnisées dans l’affaire Kpatcha Gnassingbé.

D’après les informations, l’officier déchu et le politicien « podologue » ont exigé que les personnes indemnisées reversent au CST 500 000 francs chacune en guise de geste de reconnaissance pour ce que le regroupement aurait fait pour eux dans leur quête de justice. La dernière trouvaille de cet espiègle est de demander de l’aide à la diaspora togolaise qu’on sait prompte à mettre la main à la poche lorsque n’importe quel quidam se présente comme opposant. Deux comptes bancaires circulent actuellement sur le net et on appelle les bonnes volontés à caresser les poches pour cet opposant de circonstance qui, il y a quelques années, crachait sa bile sur tous ceux qui s’en prenaient au RPT. C’est une opération d’escroquerie qui est en train d’être organisée. Abass KABOUA aime trop l’argent facile et il faut vraiment le dire pour que les togolais sachent à qui ils ont à faire. C’est depuis trois ans qu’il a commencé par évoquer cette histoire de maladie et à chaque fois, il bénéficie des largesses des gens. Dieu seul sait combien il a gagné depuis 2011 avec sa « maladie » bizarre à la limite de l’imaginaire. Et même si Abass Kaboua était vraiment malade, le CST qui l’emploie aurait trouvé une meilleure stratégie de mobilisation de fonds à son profit.

Pourquoi Abass KABOUA n’est-il pas passé par le CST pour demander de l’aide. Ce qui aurait pu permettre à tous les éventuels donateurs de savoir à combien s’élève l’opération de charité à l’endroit de Kaboua. Tel que les choses sont faites actuellement, il n’y pas de doute qu’il s’agisse d’un vrai stratagème imaginé et exécuté par cet individu aux allures sombres. L’argent n’a pas d’odeur et même s’il faut s’inventer une maladie pour en avoir, il est prêt à le faire. Ne vaudrait-il pas mieux pour lui de chercher des voies et moyens qui lui permettront de gagner honnêtement sa vie que d’errer comme un mendiant de profession ?

 

ATTENTION : ABASS KABOUA ESCROQUE !
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Ils est temps qu'on se dise la vérité : ces gens là sont des incompétents.

Publié le 9 Juin 2014 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Aujourd'hui, grâce aux derniers développement politiques de notre pays le peuple togolais s'est en effet rendu compte de l'impasse dans laquelle se trouvait les responsables de l'opposition togolaise.

Le CST après de multiples refus de dialogue proposés par le régime en place depuis 2012 a opéré un virage assez étonnant pour finalement s'asseoir à une table de négociation. Mais cela n'a été que d'une très courte durée.
Ils ont fait d'assez grand bruit pour rien.

On dirait presque des gamins qui prennent du plaisir à jouer avec leurs parents.

On aurait penser que Fabre avait de grands argument à faire valoir d'où son insistance depuis 2014 pour un dialogue avec le pouvoir en place.

Notre déception est indescriptible, comme dans les négociations passées ce sont toujours les mêmes têtes qui sont les premiers à "fuir" les négociations. Durant toutes les rencontres politiques organisées dans ce pays, Patrick LAWSON, Jean Pierre Fabre et leur parti ont toujours été les premiers à claquer la porte des négociations.

Ils est temps qu'on se dise la vérité : ces gens là sont des incompétents.

Ils n'ont rien à proposer, ils sont incapables d'avoir
une vision globale de la politique de leur pays puisqu'ils refuser de collaborer avec qui que ce soit. Dans la diaspora plusieurs voies s'étaient illustrer pour demander que l'opposition elle même opère quelque changement en son sein. Ceux là ont été immédiatement traités de "vendus" et de collabo. Les leaders actuels de cette opposition pensent qu'ils sont les meilleurs et que sans eux il n'y aura pas d'alternance. C'était la conception de l'UFC de Gilchrist Olympio il y a quelques années. Mais au bout du compte il s'agit d'une attitude autodestructrice que de se renfermer sur soit et de considérer que sans vous rien ne marchera : le radicalisme.

Aujourd'hui les togolais en ont assez des discours creux, vaseux et haineux. Les togolais ont compris que seul une collaboration de toute les forces dans un esprit de compréhension et d'acceptation mutuelle peut amener notre pays sur les rives du développement. Les togolais sont épuisés par des discours stéréotypés vérolés jamais suivi d'effets. Les togolais veulent allez de l'avant. Les togolais veulent des gens qui parlent peu mais qui agissent beaucoup. Les faits sont témoins des efforts que ce peuple a consenti depuis dix ans pour se relever. Aujourd'hui les choses s'améliorent et nous pouvons se dire qu'on est sur le bon chemin. Que personne ne nous détourne de cette voie. Il est très facile de détruire, une seule journée suffit pour que nous revenions aux années 2000 où les artères de notre capitale rivalisaient avec les routes de nos campagnes. En une heure nous pouvons mettre à genoux tous le système électrique de notre pays et revenir aux années de pénurie énergétique où il fallait attendre son tour pour avoir droit à la lumière. Le peuple togolais peut décider de tout détruire oui comme ces centrafricains mais combien de temps mettra-t-il pour reconstruire ? Et qui payera la facture ? Dans ce monde où rien n'est gratuit, je crois fermement que nous avons aujourd'hui compris que la politique est un simple jeu auquel se livrent quelques individus avec au centre comme ballon le peuple. Au final c'est à nous que reviendra le plus lourd fardeau. Eux qu'ils soient opposants ou homme de pouvoir ils auront toujours leurs privilèges bien gardés. Togolais, lèves -toi et viens bâtir ta cité. Affirme toi contre les obscurantistes qui prêchent des discours teintés de faux. Peuple togolais tu es le seul artisan de ton bonheur.

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