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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

CES REFORMES DONT JEAN-PIERRE FABRE NE VEUT PAS !

Publié le 14 Janvier 2015 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

C’est avec une certaine incrédulité que les Togolais assistent de plus en à la position déroutante de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et de son président Jean-Pierre FABRE sur la question des réformes constitutionnelles et institutionnelles. En effet, l’intransigeance des ex amis de Gilchrist

OLYMPIO qui s’opposent à tout amendement à leur proposition de loi et refusent de fait, le consensus pourtant prôné par l’Accord Politique Global (APG) dont ils se pré- valent, équivaut en réalité à valider le statu quo favorable au pouvoir en place. Puisque, en l’état, il n’y a aucune chance que le texte soit adopté par la majorité parlementaire. Cependant à l’analyse, on se rend compte que l’immobilisme profite également à l’ANC

L’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) est née dans une situation de tension extrême et de conflit fratricide comme aiment à le rappeler certains de ses cadres.

Cette réalité est inscrite dans son « empreinte génétique » et détermine ses positions. De fait, à l’instar de l’UFC (Union des Forces de Change- ment) dont ils copient jusqu’à la caricature les postures et adoptent les stratégies même les plus inopérantes, le parti de Jean-Pierre FABRE prospère sur un terreau « crisogène » à défaut de proposer un projet. Les tensions politiques sont son moteur et les débats politiciens interminables son fonds de commerce, qu’il exploite à l’envi pour masquer les questions de fond. Ainsi, à quelques mois de l’élection présidentielle, la réalisation des réformes telles que débattues par la classe politique et envisagées par ses pairs de l’opposition, affaiblirait la formation orange en le privant de son fonds de commerce et en met- tant à nu son déficit pro- grammatique.

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En outre, l’adoption d’un mode de scrutin à deux tours rendrait caduque l’idée d’une candidature unique, même si celle-ci est déjà mise en échec. La multiplication des postulants serait une mauvaise nouvelle pour monsieur FABRE dans sa posture de chef de file autour du- quel devraient se réunir les autres formations et dans sa tendance hégémonique. D’autant plus qu’il doute de sa propre capacité à faire reporter pleinement les voix des autres candidats de l’op- position en cas de deuxième tour ; pour avoir traité avec beaucoup de condescendance voire de mépris, plusieurs d’entre eux.

Ensuite, l’ANC ne peut oublier que c’est avec plus de 63% de voix que Faure GNASSINGBE a gagné l’élection présidentielle de 2010. De fait, même en cas d’une élection à deux tours, il serait passé dès le premier avec un tel score.

Au vu de la configuration et de la sociologie politique actuelle, des résultats des dernières élections législatives, de la faible mobilisation de plus en plus avérée lors des manifestations de son parti, et de son absence quasi rédhibitoire du terrain, l’ex lieutenant de Gilchrist OLYMPIO est convaincu que ses chances de gagner sont faibles. Il se prépare donc déjà à une contestation qui est la position qui lui sied le mieux, lui garantit une assise politique et une visibilité médiatique. Pour ce faire, une élection à un tour est la mieux indiquée car la probable multitude de candidats grignotant son score potentiel, est un argument susceptible de lui être opposé en cas de contestation.

L’autre argument est celui-là financier. En gardant sa position de challenger principal dans une élection à un tour, il pourra accuser les autres de ne pas avoir fait l’union sacrée autour de celui le mieux placé. Mais surtout, il restera le principal destinataire des mobilisations de fonds venus essentiellement de femmes des marchés et de la diaspora, dans une totale opacité, sans aucune comptabilité.

Enfin, l’ANC qui campe depuis toujours une formation radicale et populiste, à la lisière régulièrement de la démagogie, est convaincue que seule cette ligne est électoralement payante dans sa compétition de leadership avec les autres formations de l’opposition. Accepter officiellement le compromis politique d’une disposition transitoire qui ne viendrait en réalité que rappeler les principes généraux de droit notamment le non rétroactivité de la loi pour aboutir à un consensus, seul gage de la réussite de la réforme, pourrait être interprété par son électorat comme une preuve de faiblesse, voire de trahison. Puisque Jean- Pierre FABRE a eu l’imprudence de promettre à ses partisans que le président sortant ne se représenterait pas et que lui et ses amis, l’en empêcheraient le cas échéant. Promesse qu’il ne pour- ra évidemment pas tenir mais dont il ne souhaite qu’on le lui rappelât, à quelques semaines de la présidentielle.

Sauf que beaucoup d’observateurs ont lu dans le jeu trouble de l’ANC et l’ont systématiquement sommée de s’expliquer, certains comme le secrétaire général du CAR (Comité d’Action pour le Renouveau) Jean KIS- SI ou encore le confrère Fulbert ATISSO n’hésitant pas à désigner ce parti comme constituant celui bloquant les ré- formes. Faisant référence par exemple au docu- ment que l’ANC a fait signer aux autres partis de l’opposition pour que ceux-ci ne proposent et/ ou ne s’associent à aucun amendement de la loi déposée sur le bureau de l’Assemblée nationale ; ce qui bien évidemment est aux antipodes des pratiques parlementaires et ne répond à aucun usage démocratique.

Ou encore aux prises de positions médiatiques de plusieurs des cadres du parti, dénonçant les propositions du Groupe dit de Médiation, qui offrait d’insérer dans la loi constitutionnelle une disposition transitoire qui permet de régler le problème de rétroactivité ou non de la loi. Celle –ci préciserait que le principe de la limitation s’appliquera à compter du mandat qui court de 2010 à 2015. Il n’en fallait pas plus pour que le président d’ADDI, le Pr Aimé GOGUE qui avait déjà émis des doutes sur la volonté de ses amis de toujours à accompagner les réformes, de s’interroger sur leur attitude en la dénonçant.

L’expression la plus marquante de la volonté de l’ANC de retarder les réformes fut le coup du refus que la Commission des Lois connaisse de ces questions. En effet, les discussions devant la dite commission ont commencé le matin du mercredi

24 conformément au règlement intérieur de l’assemblée et après que certains de ses membres issus de l’ANC aient fait repousser dans un premier temps sa tenue, pour cause de voyage à l’étranger. Curieux comporte- ment pour des personnes pro- clamant la nécessité absolue de réformes dans les meilleurs délais.

Dès l’ouverture des débats, maîtres Georges Latévi Lawson et Adama Doe-Bruce vont jouer au dilatoire, soulevant une motion de procédure en invoquant l’incompétence de cette commission à débattre des lois constitutionnelles. Argument motivé selon eux par le règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Ils soutiennent qu’une loi constitutionnelle ne peut pas être discutée en commission parce que la loi ne le dit pas expressément alors que la loi le fait dans le cas des autres textes. Ils proposent donc que le texte soit envoyé directement en plénière. La Cour Constitutionnelle saisie sans délai, les renverra à leurs chères études en leur donnant tort. Mais cela aurait fait perdre quelques jours au débat.

 

N°125 | du 14 au 28 Janv 2015
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Camouflet pour les ODDH et l'ANC

Publié le 14 Janvier 2015 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Camouflet pour les ODDH et l'ANC

On pouvait tout attendre de cette marche du 13 janvier 2015, organisée par les ODDH, les organisations de la société civile et appuyée par l’Alliance Nationale pour le Changement de Jean-Pierre Fabre, sauf, ce qu’on n’a vu hier. Tant la mobilisation était tellement faible, que les organisateurs ont dû changer de point de chute pour camoufler leur revers.

Au lieu de l’Immeuble FIATA, la marche d’hier qui a mobilisé peu de monde a plus tôt chuté au marché de Bè.

Un véritable camouflet pour Zeus Ajavon, Gil-Bénoit Afangbédji, Jean- Pierre Fabre et les autres, qui s’attendaient à une véritable démonstration de force avec dans les rues de Lomé des centaines de milliers de personnes mobilisées. Mais hélas, ils n’ont eu que leurs yeux pour constater leur échec. Et il ne pouvait en être autrement, lorsque le zèle et le mensonge s’emparent des responsables politiques, lorsque des responsables politiques et ceux qui se réclament de la société civile vont de l’exclusion leur leitmotiv.

On peut tromper le peuple une fois, mais pas le tromper indéfiniment.

Ils sont nombreux ces responsables politiques, médias et d’autres de la société civile qui, depuis longtemps ont attiré l’attention de Fabre et ses acolytes sur la banalisation qu’ils en font avec les marches, mais ils ont été incompris et traité de tous les noms d’oiseaux.

Aujourd’hui les faits sont là et leur donnent raison. Avec ce revers, l’on espère que les organisateurs vont tirer la leçon et changer de stratégie. Car, les togolais veulent autre chose que les marches qui en réalité ne sont qu’une perte de temps et qu’un moyen pour une minorité (opposants et société civile) de se faire des sous. L’échec de la marche d’hier traduit bien ce réveil des togolais qui ne sont plus prêts à se laisser faire.

Le Messager du 14/01/2015

 

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Discussions autour des réformes : L'extrémisme d'une rare férocité de l'ANC, bloque les travaux

Publié le 9 Janvier 2015 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Discussions autour des réformes : L'extrémisme d'une rare férocité de l'ANC, bloque les travaux

Après tant de tergiversations, la commission des lois constitutionnelles et de la législation de l’administration générale a enfin démarré ses travaux sur la proposition de lois de l’opposition portant réformes constitutionnelles et institutionnelles.

Malheureusement les échos qui nous parviennent de l’Assemblée Nationale ne sont pas très bons.

En effet, les travaux sont une fois de plus quasiment bloqués à cause de l’extrémisme et de l’intransigeance de l’ANC de l’ANC de Jean Pierre Fabre, qui veut tout à lui seul. Tout le débat est bloqué sur l’article 59 dont le libellé divise.

Pour l’ANC il faut revenir au libellé de la constitution de 1992 qui dit : " le Président de la République est élu au suffrage universel direct et secret pour un mandat de cinq (05) ans renouvelable une seule fois. En aucun cas nul ne peut exercer plus de deux (02)     mandat … "

Or en voulant insérer l’alinéa 2 "en aucun cas nul ne peut exercer plus de deux (02) mandats", UNIR pense que l’ANC vise le Chef de l’Etat actuel, le président Faure Gnassingbé et par la même occasion Président du Parti majoritaire. Ce que n’accepte pas les députés UNIR, la majorité car pour eux, la loi doit être impersonnelle. On comprend aisément que l’ANC n’a pas tiré leçons du rejet par la majorité des députés le 30 juin 2014 du projet de loi envoyé par le gouvernement. Puisqu’en réalité le point qui fâchait et qui avait obligé la majorité à rejeter en bloc le texte proposé par le gouvernement était justement cette portion de phrase qui mettrait hors course tout candidat ayant déjà brigué deux mandats antérieurement.

A toute la classe politique à l’exception de l’ANC bien sûr les leaders d’opinion, la société civile dans son ensemble, le clergé et autres proposent depuis lors, le verre à moitié plein pour tous. Autrement dit, les partis politiques pas des moindres, comme le CAR, ADDI, OBUTS rejoints par le groupe de médiation du Professeur Magloire Kouakouvi et de Jean DEGLI ont compris qu’il faut accepter de perdre pour faire avancer les choses. Raison pour laquelle ces entités sont allées jusqu’à proposer que l’on accepte une nouvelle candidature de Faure Gnassingbé en 2015. Mais l’ANC, minoritaire à l’Assemblée veut, avec seulement 17 députés sur 91, élus imposer ses désidératas à la majorité, ce qui naturellement ne peut avoir de chance d’aboutir. Personne ne peut comprendre, ni expliquer cette absurdité typiquement togolaise qui voudrais que ce soit la minorité qui impose sa loi à la majorité. Mais l’ANC doit garder à l’esprit qu’à force de tirer sur la branche elle finit par se casser et aussi qu’à vouloir tout, on risque de tout perdre. Pendant que tout le monde parle de consensus, l’ANC fait bande à part avec un rare extrémisme, une inouïe naïveté et un insensé amateurisme alors que sur le terrain le rapport de force est en sa défaveur. Les togolais qui ne demandent qu’à vivre en paix tiendront pour responsable, Jean Pierre Fabre et son parti si d’aventure les réformes ne venaient pas à être faire et si jamais le pays sombre dans la violence lors de la présidentielle de 2015.

Kpelafia Bivaa

Eveil de la Nation du 09/01/2015

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UNE OPPOSITION TOGOLAISE EN PLEIN NAUFRAGE ?

Publié le 7 Janvier 2015 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

UNE OPPOSITION TOGOLAISE EN PLEIN NAUFRAGE ?

Oui, en effet, on observe aujourd'hui que l'opposition la plus radicale et la plus extrémiste est en train de sombrer, minée de l'intérieure par ses propres défauts et ses égocentrismes.

Bien heureusement, les Togolais de l'intérieur comme de l'extérieur ont fini par comprendre, que si le Togo, n'est certes pas encore le paradis sur terre, c'est un pays en plein progrès, qui s'améliore dans de multiples points, et qu'ainsi à défaut de toujours soutenir son gouvernement actuel, il fallait prendre en compte les efforts et les progrès visibles pour pouvoir désormais juger de l'avenir du pays avec objectivité.

Beaucoup de grands travaux ont étés réalisés, la capitale comme les autres villes du Nord au Sud, se sont transformées ces dernières années, personne ne le conteste plus localement, il n'y a guère que certains internautes qui s'efforcent de faire encore croire a des chimères en répandant largement des photos montages abusifs...Et encore, ils se font même rares, et ne sont plus crédibles.

Faure Gnassingbé à été un bon président, il se démarque ainsi de beaucoup de politiciens, en posant des actes et des faits, là ou d'autres posent au mieux des projets, et au pire des appels au désordre sans projets alternatifs.

Les progrès économiques sont palpables, beaucoup d'entreprises se créent et se développent, de nouveaux hôtels sont en construction

Pour ce qui est de sa candidature, pourquoi faudrait-il l'interdire ? Puisque d'une part l'opposition n'est ni fédérée, ni porteuse de projet d'avenir, et que d'autre part la constitution l'y autorise, quelle est cette démocratie qui tendrait a favoriser le pire au détriment du mieux sur un seul principe de droit d'alternance ? .

Le peuple togolais ne s'y trompe pas, ce que les gens attendent localement c'est des actes et des améliorations dans beaucoup de domaines, et même si pour certains incrédules, ces actes paraissent ne pas exister, localement tout le monde les remarquent. Ainsi la "diaspora" revient massivement au pays, encouragés par ceux qui reviennent de congés et par les familles qui délivrent des commentaires plus objectifs et réalistes.

Alors bien sûr il y a les "comparatistes" et les "propagandistes" ceux qui comparent le Togo au Luxembourg, aux Usa, ou à la France, non sans être aussi paradoxalement "anti-impérialistes" et qui se mélangent les pinceaux entre appel a la guerre civile et démocratie...Ceux là se moquent de leurs frères togolais, disant qu'il se moquent de leur passeport, ils méprisent aussi tout ceux qui défendent une autre opinion notamment la paix, et traitent "anonymement" de traitres tous ceux qui pensent différemment, ils se disent pourtant "démocrates", sans savoir réellement ce que ce mot veut dire...

Je ne suis pourtant pas de ceux qui se réjouissent de la situation désespérée de l'opposition, car tout pouvoir nécessite une opposition raisonnée, une opposition constructive, porteuse de projets et d'idée, pour rester équilibrée. Aussi les opposants qui se désolidarise de leurs leaders, marquent une prise de conscience de la population et de la diaspora, qui se sentent manipulés au profit d'égos et de méthodes peu crédibles, et qui désormais attendent autre chose, de plus probant, de plus respectueux, de plus réaliste.

De toute évidence, les idées opposantes existent encore, c'est bien normal, et si les clivages extrémistes et haineux s'effacent de plus en plus et que l'objectivité gagne du terrain, cela n'empêche pas la différence d'opinion , il reste toutefois à espérer que désormais les débats et les partis prendront plus de hauteur et de responsabilité, et qu'a l'avenir nous puissions tous parler de positions certes différentes mais dans un respect mutuel, sans propagande, sans haine, sans insultes.

C'est par le dialogue, et par l'écoute que les hommes ont toujours progressé.

Le Togo avance, plus vite que beaucoup d'autres pays dans le monde, mais à son niveau, et à la hauteur de ses moyens actuels, et ça c'est une bonne nouvelle, et lorsque les uns et les autres iront voter demain, prions tous pour que leurs votes aillent vers le meilleur garant d'un avenir économique et social positif, un climat apaisé, une réconciliation nationale, propices a un essor économique qui ne peut pas être soudain mais progressif.

Il n'y a aucune recette miracle permettant de doubler les salaires, sans doubler les recettes, il n'y a pas de trésor cachés, pas de capacités d'emprunts sans obligation de remboursement, pas de progrès sans phase de transition, rien n'est jamais soudain, mondialement et historiquement, les vrais progrès durables, s'effectuent pas à pas.

Moi j'ai choisi mon camp, je le défendrais encore en 2015, mais je souhaiterais que désormais, plus d'opinions se révèlent, même si elles sont contradictoires, et que nous puissions désormais tous nous exprimer sur des projets de sociétés, sur des faits objectifs, sans comparer l'incomparable, sans stigmatiser les uns ou les autres, car en démocratie, il est permis de penser différemment, il est permis de l'exprimer, mais toujours en assumant sa propre responsabilité de parole, en s'appuyant sur des propositions réalistes et objectives.

La politique ne soigne pas tous les maux d'une société, elle fixe un cadre, un objectif et des règles, qui sont cohérentes avec des objectifs a moyen et long terme, mais il ne peut y avoir de résultat rapide sans la participation effective de la plus grande majorité du peuple, sans une évolution des pensées, sans une reconnaissance des réalités.

La politique réaliste, c'est de dire, on a tels moyens actuellement, et avec ces moyens, selon le budget voté, on peut faire et financer tel projet, si on veut faire plus, il faut d'autres moyens, et donc trouver d'autres sources de financements...La politique politicienne, c'est de tout contester sans rien proposer de mieux, de vouloir tout saboter pour empêcher les autres d'avoir des résultats et pour gagner le pouvoir a tout prix...

Aujourd'hui le Togo, qui renaît a besoin de "réalpolitik" , de politique réaliste et objective, car beaucoup d'efforts sont encore a faire, dans le chemin actuellement tracé.

Un pays est a l'égal des citoyens qui le peuple, toujours imparfait, et c'est du respect et de l'entente de ces citoyens, que tout progrès se construit...

Nul n'ignore mon positionnement, mais aujourd'hui, je salue les opposants qui appellent globalement à une rénovation de l'opposition, à de nouvelles méthodes, et à moins d'égocentrisme, et sans cynisme, même si demain je m'opposerais peut être encore à eux, je leur souhaite du courage, des projets et bonne chance.

Avoir des opinions différentes, ne dois pas signifier qu'on doive se haïr, se menacer et s'insulter, j'ai pour ma part des amis qui ont des idées différentes et cela m'a souvent enrichi.

Une petite phrase de Saint Exupery, gravé en lettre d'or, sur le parvis de ma maison familiale : Si tu diffères de moi mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis...

A méditer en 2015...

Auteur : Philippe Girard-reydet

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