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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

Articles avec #societe catégorie

Sans Pascal BODJONA, UNIR réussi son premier test.

Publié le 8 Octobre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, SOCIETE

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Nul n’est indispensable, nul n’est incontournable. UNIR premier test réussi sans Pascal BOJONA.

Lorsqu’il a été éjecté du gouvernement, certaines personnes ont tout de suite vu venir la fin de règne de Faure GNASSINGBE. Directeur du Cabinet du Président, ministre de l’Administration Territoriale et porte-parole du gouvernement, le natif de KOUMEA et membre du Comité central du Pouvoir de Lomé2, Pascal BODJONA a connu presque tous les arcanes du pouvoir. Au point d’être considéré par plusieurs personnes comme le vrai capitaine du bateau, le vrai détenteur du pouvoir au Togo.

Aux yeux de celles-ci, éjecter BODJONA du gouvernement équivaudrait à un péché mortel commis par Faure GNASSINGBE. Ce n’était pas une sinécure, se débarrasser d’un homme comme lui, imposant tant par son physique que par son implication dans plusieurs dossiers de l’Etat. Les chroniqueurs, les courtisans et autres analystes politiques de première heure ne vendaient pas cher le tout nouveau parti UNIR et le pouvoir de Faure lui-même sans le « manitou » Pascal BODJONA.

A l’époque de faits, en pleine année 2012, le régime en place était alors secoué sur tous les fronts par les mouvements de contestations sans précédents. A côtés de ces dossiers, il y avait aussi les élections législatives que se devait d’organiser notre pays. Un vrai challenge donc pour le « petit » qui était appelé à prendre des décisions difficiles dans un moment difficiles. Pascal BODJONA n’était pas si incontournable. Ancien activiste du RPT dans les années 90, parvenu dans les plus hautes sommités du pouvoir en 2005 grâce à Faure GNASSINGBE qui l’a ramené dans sa valise de Washington où il occupait le poste d’ambassadeur, Pascal BODJONA a profité de la discrétion de son mentor pour se présenter comme le capitaine du pouvoir de Lomé 2. Ainsi il faisait croire de part son omnipotence (aussi bien physique que réel) qu’il était le propriétaire de tous les dossiers, le seul capable de tout décider à la place du roi.

Régulièrement des plumes commanditées nous faisaient comprendre qu’en réalité le Président de la République, Faure GNASSINGBE n’était qu’un pantin, un Président qui ne contrôlait rien dans le pays et le vrai détenteur du pouvoir au Togo c’était bien le Ministre « Grand Format », le GROS. On a encore souvenance de ces articles tous frais payés repris mécaniquement dans la presse et qui faisait de lui le pilier, l’homme dont Faure ne pouvait jamais se débarrasser quelques soit la nature des dossiers qui pouvaient l’accabler.

Dès la création d’UNIR le même menu nous a été servi comme quoi c’est Pascal BODJONA qui a mis sur pied ce parti politique. Même les médias internationaux comme La Lettre du Continent’’ numéro 634 du 3 mai 2012, nous ont appris que c’est Pascal BODJONA la tête pensante de la nouvelle formation politique du président de la République.

Et donc Faure ne pouvait point l’éjecter du gouvernement sans que son pouvoir ne prenne un coup. Douze mois plus tard tout le monde constate qu’en réalité le pouvoir que prétendait détenir ce Ministre n’était que de la paille. Les togolais ont presque oublié qu’il y avait quelque temps aucune heure ne pouvait passer sans qu’on ne parle de Pascal Bodjona à la télé ou à la radio.

L’incontournable ministre de toutes les affaires n’est plus aux affaires au pays et le Togo va bien peut-être même mieux. Le déluge tant annoncé n’a jamais eu lieu. Et le pouvoir de Faure n’a jamais pris un coup. Le grand tournant où on s’attendait à de graves difficultés sans BODJONA était l’implantation d’Unir et son premier test en tant que nouveau parti candidat aux législatives. Le pari audacieux a été gagné. Le Parti UNIR née de la dissolution du RPT est parvenu à s’imposer sur l’échiquier politique national malgré les embûches et les tribulations. Mieux encore, c’est dans une ambiance paisible et de transparence que se sont déroulé les élections législatives, un autre point sur lequel des personnes s’attendaient à voir Faure trébucher sans « le gros ».

Comme quoi nul n’est indispensable dans ce pays.

Toutes les analyses et les supputations commanditées pour faire peur au premier magistrat du pays ont été déjouées.

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Célébration du 05 Octobre : Du populaire au populisme, l’opposition et la comédie politique togolaise

Publié le 7 Octobre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, SOCIETE

Célébration du 05 Octobre : Du populaire au populisme

L’opposition et la comédie politique togolaise.

Le 05 Octobre a été célébré le samedi dernier par ceux qui se sont spécialisés dans la récupération et l’instrumentalisation politique. Pour ceux-là qui incarnent la médiocrité politique dans notre pays, toutes les dates qui ont marqué l’histoire de notre indépendance ou du processus démocratique sont une occasion rêvée pour se mettre en évidence et fustiger le pouvoir à travers des marches dans les rues pour faire croire à la population qu’ils défendent leur cause. A la fin, cette comédie et triste et lassante.

Certes, le 05 Octobre 1990 est une date repère dans le parcours du peuple togolais pour plus de liberté et de justice, mais ceux qui ont organisé ce soulèvement populaire pour protester contre les effets néfastes de la dictature de l’époque sont encore vivant et ont compris, pour la plupart, que le contexte d’aujourd’hui n’a rien à voir avec les réalités étouffantes et crétinisantes de 1990. L’opposition togolaise qui a désormais pour chef de file Jean Pierre Fabre, est lessivée et en lambeaux. Il n’y a rien d’étonnant à cela. Au lendemain du scrutin législatif du 25 juillet 2013, il est clair dans l’esprit des observateurs de tous bords que la majorité des togolais n’est plus au diapason avec l’approche belliqueuse et les mots d’ordre des va-t’en guerre. A vrai dire, le manque de vision des responsables de l’opposition est la principale cause de cette pénalisation populaire. A force de répéter les mêmes âneries pendant 23 ans, les togolais qui constatent pourtant les transformations positives que subit tous les jours notre pays, ont compris que les marcheurs professionnels les prennent pour des idiots et font injure à leur intelligence. Depuis longtemps, l’opposition togolaise était menacée de ce funeste sort. Pour affligeant qu’il soit, ce qui leur arrive était prévisible dès lors que les hommes de qualité qui peuplaient cette opposition ont été combattus depuis des lustres au sein même de cette opposition pour être finalement éjectés du jeu politique comme des malpropres, à cause des dénigrement, de la délation et du mensonge érigés en stratégie de combat politique. Dès le début de cette lutte pour l’amélioration des conditions de vie du peuple togolais, les médiocres, tapis dans l’ombre, ne rêvaient que de fragiliser des hommes comme Edem KODJO pour leur prendre leur place. Le plus cocasse, c’est qu’ils se sont longtemps servis de Gilchrist OLYMPIO en raison de son absence sur le terrain avant de l’abattre au final. Pendant longtemps, les togolais ont cru à tort que Gilchrist OLYMPIO était le symbole du radicalisme c'est-à-dire de la négation politique. Mais au Combat du Peuple, nous savions depuis toujours que M. Olympio était prêt au compromis si les circonstances l’exigeaient. Il se trouve, malheureusement, que cet homme a été intoxiqué, manipulé et instrumentalisé parce qu’il était sous l’effet de la peur depuis son amère expérience à Soudou. L’expérience ayant montré qu’on n’est plus jamais le même lorsqu’on vous a tiré dessus une fois. Aujourd’hui, les soi-disant puristes de la politique ont montré leurs visages de médiocres. Ils sont passés du populaire au populisme suicidaire parce que leur démarche politique ne recueille plus l’adhésion populaire. Ils ne défendent plus l’intérêt du peuple. Ils ne pensent qu’à leur panse. En se comportant comme ils le font, ils ignorent que nulle part, la politique n’est linéaire. C’est ce que nous appelons la comédie politique fondée essentiellement sur la maladie togolaise « la rumeur malveillante » devenue l’arme favorite de ceux qui croient se rendre célèbre à force de jeter l’anathème sur les autres. En 1990 les perspectives d’avenir de notre pays étaient sombres. Mais, avec le galvaudage du combat pour l’avènement de la démocratie, nous avons touché le fond dans les années 2000. En 2005 contrairement à toutes les règles de la physique, nous avions commencé à nous enfoncer sous-sol et c’est avec l’arrivée de Faure GNASSINGBE au pouvoir que nous sommes en train de remonter à la surface. Aujourd’hui par exemple, l’espoir est permis parce que le changement est en cours. La liberté d’expression et de la presse est devenue la chose la mieux partagée entre les Togolais qui en usent et en abusent. Nous prenons un autre exemple très simple, celui de la réhabilitation des infrastructures routières notamment les routes nationales transversales. Sur tout le territoire national, de nombreux chantiers seront ouverts en 2014 pour désenclaver le pays. Nos partenaires ont donné leur accord et signé de nombreux accords financiers avec le Togo.

C’est le Togo tout entier qui est concerné, de Lomé jusqu’à Dapaong. Si nous voulons dresser un tableau de l’aide publique au développement, beaucoup comprendront que le pays a de l’avenir. Parallèlement, les grands projets en cours de réalisation tels que le 3ème quai au Port Autonome de Lomé, le nouvel aérogare, les voies de contournement à Lomé comme au Nord du pays seront achevés en 2014 et vont booster notre économie. L’électrification rurale est au centre des préoccupations du gouvernement qui ne ménage aucun effort pour trouver des financements. Sur le plan social, le dialogue est permanent et des avancées notables ont été enregistrées. Les travailleurs commencent par souffler, la tendance est donc bonne. Le grand projet du Corridor Sud-Nord véritable épine dorsale de notre développement économique est en train de prendre son envol. En 2005, personne ne parierait un kopeck sur le Togo. Toutes les sources de financement étaient asséchées à cause de la mauvaise gouvernance et de la dictature ambiante de l’époque. Face à cette situation, lorsqu’on lit le message livré depuis Bruxelles par M. Eloi KOUASSAWO qui se dit coordinateur général du MO5, on se demande tout simplement si ce dernier n’est pas simplement déconnecté des réalités de son pays d’origine. C’est triste de continuer à se comporter comme un conducteur de voiture qui a les yeux rivés sur le rétroviseur. M. KOUSSAWO doit savoir que hier appartient au passé. Aujourd’hui et un tout nouveau départ. C’est le commencement d’une nouvelle vie. Même si la vigilance doit être de mise, il faut éviter l’amalgame. C’est ce que nous avons de mieux à faire si nous sommes de vrais patriotes. L’histoire des hommes est dynamique et le Togo ne fait pas exception. La dernière fois nous avons entendu sur un média Logo DOSSOUVI appeler les Togolais à la cohésion et à l’espérance. En vérité, ce qui peut sauver notre pays, c’est le travail bien fait. Le Togo n’est plus le paria dans le concert des nations. Cela appartient au passé. Donc, notre frère KOUSSAWO veut être plus royaliste que le roi. Tout le monde sait que LOGO Dossouvi et LOGO Doglo étaient au centre des préoccupations des manifestations du 05 Octobre 1990. Nous ne le dirons jamais assez. L’autoflagellation doit être combattue au Togo. Ceux qui ont des oreilles mais refusent d’entendre et des yeux mais refusent de voir mettent la République en péril. Il faut le dire parce que c’est la vérité.

Rodrigue

C.P N°766 du 07 octobre 2013

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La presse togolaise se ridiculise : Le rôle d’un Ambassadeur n’est pas de s’occuper des élections.

Publié le 7 Octobre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, SOCIETE

La presse togolaise se ridiculise

Le rôle d’un Ambassadeur n’est pas de s’occuper des élections.

Depuis de nombreuses années, certains politiciens, avec l’accompagnement aveugle d’une presse militante aux ordres, s’imaginent naïvement que la solution à nos difficultés politiques viendra de l’extérieur. Ainsi chaque prise de position d’un Ambassadeur accrédité au Togo est interprétée comme une parole d’Evangile à laquelle les dirigeants de notre pays sont obligés de se conformer. En revanche, si les critiques sont dirigées contre ces hommes, rien n’est épargné au diplomate qui a osé. Il est traité de tous les noms d’oiseaux et fustigés sous tous les angles. Son outrecuidance est dénoncée et il est trainé dans la boue. A vrai dire, un diplomate dans un pays peut faire des observations sur des sujets politiques  d’intérêt général si les besoins se font sentir et surtout si ces observations sont en adéquation avec l’orientation politique de son propre pays. Par exemple, on ne verra jamais un ambassadeur de Chine parler de démocratie dans un pays où il est accrédité parce que la philosophie chinoise ne l’autorise pas à le faire. Les Américains qui sont les maîtres du monde, se croient tout permis. Ils ont la puissance militaire, économique et financière pour se permettre toutes sortes d’ingérences. Ils s’immiscent dans la vie de leurs propres alliés européens. Ils espionnent leurs voisins américains et en font de même avec les européens. Un cas qu’il faut retenir, les usa ne sont pas signataires du traité qui a institué la CPI. Mais ils en sont paradoxalement les garants. Dès lors que leurs intérêts sont en jeu, ils haussent le ton. L’union Européenne se bat partout sur la terre pour la démocratie. C’est connu. Même les pays membres de cette organisation sont parfois mis au pas lorsqu’ils violent les droits de l’homme. Il n’y a rien d’extraordinaire si leurs représentants prennent parfois des postures critiques vis-à-vis d’un dirigeant africain. L’Union Européenne a tendance à subordonner ses aides financières à certaines conditions drastiques surtout en ce qui concerne l’organisation des élections dans un pays donnée. C’est pourquoi, au nom de la souveraineté nationale, le Togo a courageusement pris ses responsabilités en décidant d’organiser sur fonds propres l’élection  législative du 25 juillet. Ce faisant, notre pays a apporté la preuve irréfutable de sa bonne volonté à se conformer, en matière électorale, aux normes internationales puisque les résultats finaux ont reçu l’onction de la communauté internationale. Souvent certains journaux en mission commandée reviennent de façon vicieuse et récurrente sur un rapport des experts indépendant de l’Union Européenne qui aurai condamné et dénoncé la mauvaise organisation du scrutin. En réalité il s’agit de deux experts qui ont écrit ce rapport qui n’est fondé sur aucun fait concret et sérieux.

Les cas signalés à Lomé n’ont rien de frauduleux, les deux experts ont fait de l’amalgame. C’est regrettable et il faut déplorer ces genres de situations. Quand on s’accroche à un tel rapport comme une bouée de sauvetage, c’est qu’on est un mauvais perdant. Lorsqu’un diplomate en partance recommande l’organisation des élections locales,, cela n’a rien de rédhibitoire. Si ces élections locales sont organisée au Togo et les élus locaux sont installés, tout le bénéfice reviendra au gouvernement parce que notre pays bénéficiera de nombreux financement en matière de coopération décentralisé et nos villes ou communes en profiteront. C’est dire que le  gouvernement n’a aucune raison d’être réticent puisqu’il n’a pas le choix de faire autrement. Mais il faut aussi tenir compte du contexte togolais et se  donner les moyens appropriés pour éviter les troubles post électoraux nés des contestations imaginaires et fantaisistes. L’organisation des élections ne fait pas partie de la mission d’un Ambassadeur. Son rôle est ailleurs. Ce que les Ambassadeurs demandent c’est la bonne organisation du scrutin pour que le résultat soit le reflet de la volonté populaire. C’est justement le cas du Togo. Un ambassadeur peut accompagner un gouvernement pour diverses raisons. Mais c’est le pays d’accueil qui décide en dernier ressort de ce qu’il faut faire ou ne pas faire. En organisant, le 25 juillet dernier, une élection libre et transparente, le Président Faure Gnassingbé a fait d’une pierre deux coups : prouver à ceux qui en doute encore que l’élection est une question de souveraineté nationale donc de dignité des Togolais. En même temps, il a infligé un camouflet cinglant et retentissant à ses détracteurs. Les ambassadeurs, en honnêtes représentants de leur pays, ont pris acte de cet heureux évènement. Ils n’ont d’autre choix que de reconnaitre une victoire méritée et sans ambages. La presse doit cesser de se ridiculiser en écrivant des choses qui montrent la limite intellectuelle de ses journalistes. Ce qu’un journaliste écrit doit contribuer à sa propre crédibilité.

RODRIGUE

C. P. N°766 du  07 octobre2013

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Incendie des marchés : Instruction bouclée

Publié le 29 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, SOCIETE

L’enquête sur les incendies criminels des marchés de Kara et de Lomé en début d’année se poursuit et le dossier ‘a bien avancé’, selon Blaise Essolizam Poyodi, le procureur de la République.

Republicoftogo.com : Où en est-on de l’enquête sur ces incendies ?

Blaise Essolizam Poyodi : Le processus suit son cours normal ; le dossier évolue. Le juge d’instruction poursuit son travail. La population sera bientôt informée.

Republicoftogo.com : Le grand Marché de Lomé est en cours de démolition. Certains affirment que des pièces à conviction vont ainsi disparaître

Blaise Essolizam Poyodi : La démolition du bâtiment ne met pas l’enquête en péril. Nous disposons déjà de tous les rapports réalisés par les experts, des prélèvements et des éléments iconographiques. La justice a ce dont elle a besoin pour mener les investigations.

Republicoftogo.com : Les avocats des inculpés indiquent que le maintien en l’état du bâtiment devait faire partie des éléments du dossier

Blaise Essolizam Poyodi : L’instruction sera bientôt achevée. La justice dispose de tous les éléments dont elle a besoin. Pour le reste, chacun est libre d’avancer ses arguments.

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ISABELLE AMEGANVI COMME PRESIDENTE DU GROUPE PARLEMENTAIRE ANC-ADDI : INSULTE OU PROMOTION DU MERITE ?

Publié le 25 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Les rumeurs sont devenues des clameurs. Ce que bon nombre d’observateurs redoutaient vient finalement de se produire : les députés de l’opposition, notamment ceux ayant pris part aux élections sous les couleurs du CST, viennent d’officialiser la création du groupe parlementaire ANC-ADDI dirigée par Isabelle AMEGANVI, une candidate battue dans son fief. En dépit des mises en garde renouvelées depuis quelques semaines contre les risques d’une initiative forcée, les responsables de l’ANC sont donc allés au bout de leur logique en se constituant en groupe parlementaire sous l’étiquette de l’ANC et de l’ADDI, les seuls partis ayant obtenu des voix à l’assemblée. Démarche suicidaire pour l’opposition toute entière parce que pouvant entrainer à la longue des contrariétés susceptibles d’effriter les murs de l’unité. Comme tout le monde peut le constater, le CST n’a pas seulement permis d’exister en rapportant des voix à l’Assemblée Nationale, mais par le CST, l’opposition a pris conscience des bienfaits de la nécessaire union qui doit prévaloir entre toutes les entités qui se battent pour sortir le pays du joug du régime des GNASSINGE. En créant un groupe parlementaire autre que le CST, les responsables de l’ANC sont donc conscients des risques de destruction de la dynamique unitaire dans laquelle tout le monde s’est engagé depuis lors. Pourquoi vouloir forcément créer un groupe parlementaire ANC alors que c’est sous la bannière du CST que les gens se sont présentés aux élections. Que faisons-nous alors des autres partis membres du CST qui n’ont pas obtenu des voix à l’Assemblée ? Doit-on conclure que ces autres partis n’ont été que de simples figurants, de simples individus dont on s’est servi pour se hisser au rang de leader de l’opposition ? La création du groupe parlementaire ANC-ADDI n’est-elle pas une manière détournée d’exclure les autres composantes du CST ? Cette démarche qui va dans le sens contraire des efforts de cohésion au sein de l’opposition ne confirme-t-elle pas les appétences hégémoniques de l’ANC sur les autres formations de l’opposition ? A la lumière de ce qui se passe, chacun a suffisamment d’éléments pour apprécier la situation. La situation aurait pu être moins grave si elle s’arrêtait là, c'est-à-dire à la seule formation d’un groupe parlementaire ANC-ADDI. Mais le fait de confier la présidence de ce groupe à Isabelle AMENGAVI, battue à plate couture aux élections dans son propre fief de Kpélé-Akata, n’est rien d’autre que la manifestation de la volonté de domination de toute l’opposition par la vieille garde de l’UFC reconvertie en ANC. Isabelle AMENGANVI qui a été proprement battue dans son fief de Kpélé-Akata, siège à l’Assemblée Nationale grâce au jeu des listes. Car en réalité, c’est le résultat du travail de fourmi dirigé par le candidat Louis Ségla dans le Kloto, qui a été ainsi usurpé au profit de cette femme belliqueuse qui, en lieu et place de la campagne électorale, était partie déployer ses cordes vocales à réveiller les démons de la division et de la haine tribale à Kpélé-Bodjé. On se demande si c’est avec fierté qu’elle occupe son siège au parlement puisque d’autres à sa place, auraient préféré céder leurs sièges à ceux qui le méritent véritablement puisque tout est question de confiance, de légitimité, de mérite et de représentation. En lieu et place d’Isabelle AMENGANVI, le candidat Louis Ségla aurait eu plus de mérite et de légitimité puisqu’au-delà de l’audience du parti, l’aura des candidats présentés a été déterminante dans le choix opéré par les électeurs. Certains partis n’ont-ils pas été sanctionnés dans certaines circonscriptions pour avoir osé présenter des candidats que les populations ne portent pas dans leur cœur ? C’est donc dire que c’est par accident que Isabelle AMEGANVI occupe son siège au parlement puisque si elle n’était pas tête de liste dans le Kloto, elle ne siègerait pas à l’assemblée. Tout comme Isabelle AMEGANVI, AGBEYOME Kodjo, n’est pas parvenu à se faire élire dans son fief mais le cas AGBEYOME peut s’expliquer parce qu’il a eu le malheur de perdre dans le Yoto où ses camarades n’ont pas daigné lui apporter leur soutien à un moment crucial des campagnes électorales. Isabelle AMEGANVI au contraire, a eu droit à un appui de taille de tout le FRAC mais cela n’a pas empêché sa base de lui réserver un vote sanction en raison de l’absence d’actions de reconnaissance depuis qu’elle a été élue au scrutin du 14 Octobre 2007. Elle aurait d’ailleurs vu le danger venir puisqu’elle avait tout mis en œuvre pour se faire positionner à Lomé mais cette prétention a été battue en brèche par une poignée de responsables qui ont manœuvré pour la contraindre à retourner nettoyer les écuries dans son Kpélé natal. La direction du groupe parlementaire ANC-ADDI par cette femme est donc une insulte aux autres formations membres du CST et témoigne que l’ANC, voire le CST, ne peut jamais prétendre incarner la vision alternative citoyenne qui pourrait servir de tremplin à l’avènement d’une alternance fondée sur la promotion de l’Etat de droit et la démocratie. C’est une forfaiture qui donne des signaux indéniables sur la capacité des responsables de l’ANC à faire pire que les tenants actuels du régime. Dans un regroupement politique où on délaisse des candidats qui ont reçu l’onction populaire au profit de ceux qui sont en mal de légitimité, qu’y a-t-il de mieux à faire que de promouvoir les médiocres même si cela hypothèque l’avenir collectif? Gérard Adja malgré la caution populaire qui lui a été donnée pour siéger au parlement, se retrouve aujourd’hui comme martyr du fait de la gloutonnerie des apôtres de la médiocrité. Jusqu’où nous laisserons-nous conduire par ce cynisme ravageur qui ne continue que de tapisser la voie à nos adversaires d’en face ?

ISABELLE AMEGANVI COMME PRESIDENTE DU GROUPE PARLEMENTAIRE ANC-ADDI : INSULTE OU PROMOTION DU MERITE ?
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L'économie togolaise court de graves dangers avec le Madoff togolais, SAMA Essohamlon

Publié le 9 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Sama DG de Redemare, le Madoff togolais

Sama DG de Redemare, le Madoff togolais

Le MCNP (Marché de Crédit en Nature Pérenne) de REDEMARE risque de plonger toutes l'économie togolaise dans le gouffre si les informations en notre possession se confirment. Commerçants et commerçantes, Journalistes, agents des banques et des micro finance, ils sont nombreux a avoir succombé aux chimères de Monsieur SAMA directeur de REDEMARE. Lorsque que des agents des institutions de micro finance s'associe à une entreprise comme REDEMARE, il y a lieu de craindre le pire pour l'économie togolaise. Les micro finances sont aujourd'hui devenus l'épine dorsale de notre économie et en tant que tel ceux qui gèrent ses structures doivent d'être des personnes honnêtes et responsables devant les millions des francs qui leur son confiés quotidiennement. Si les États-Unis ont frôlé le pire dans les années passées c'est parce que les banques et les traders se sont livrés à des jeux économiques très douteux mettant en péril le système économique de toute la planète. Bien que nous soyons dans un système économique qui autorise tout au nom de la liberté d'entreprendre, il est important de relever que ce n'est pas tous les produits qui sont vendus sur le marché qui sont viables et bons. Le MCNP que SAMA et ses pseudo économistes ont mis en place n'est basé que sur le système Ponzi du nom de ce célèbre escroc américain Charles PONZI qui n'est qu'un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Ici ceux qui ne comprennent rien dans le système me rétorqueront en disant que le MCNP ne propose pas l'argent mais les biens en nature. mais qui est con ? Les biens en nature sont -ils cueillis sur les baobabs au village de KOUMEA de SAMA ?


LE TOGO EST EN DANGER AVEC CE MONSIEUR et SON PRODUIT le MCNP.


Aujourd'hui nous sommes au 09 septembre 2013, je prends à témoin tous les togolais. Si des mesures ne sont pas rapidement prises pour mettre fin à cette entreprise, l'économie togolaise plongera dans une grave crise puisque même les directeurs et employés des structures de micro finance (la base même de l'économie dans les pays sous développés) engagent leurs institutions dans une aventure dont il ignore tous. Approché les employés de REDEMARE et vous comprendrez que le système de SAMA n'est que pure escroquerie. SAMA n'est plus ni moins le MADOFF togolais.
ce que SAMA propose au togolais ne comporte rien de nouveau et rien de très sophistiqué. Ce n'est que de l'escroquerie à la MADOFF.
Frères togolais, réveillez vous avant qu'il ne soit trop tard. Le diable a repris une autre forme c'est tout. Le système de SAMA n'est pas viable. Ne vous faites pas voler deux fois par le même sot. Approchez les économistes et les vrais, réfléchissez par vous même et prenez vos disposition. L'ordinateur est l'ancêtre de la calculatrice. Les journaux complices de cette escroquerie doivent raviser, ceux qui ont accepté la publicité venant de SAMA doivent savoir qu'ils auront participer indirectement à ruiner des familles.

Pour un aperçu de ce que c'est que le système PONZI lisez ceci

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Les réalités sur la lutte d'influence au sein de la STT

Publié le 2 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Depuis quelques jours, une affaire mettant en liaison les responsables de la STT avec Harry Olympio défraie la chronique aussi bien sur le net que sur les antennes des radios privées à Lomé.
Face à la confusion qui règne autour de cette information, il devenait plus qu’urgent d’aller vers les uns et les autres pour avoir une idée nette de ce qu’il en est et situer l’opinion.
Les témoignages obtenus auprès de certains membres du conseil et de la coordination de la Synergie des Travailleurs du Togo (STT) attestent d’une réalité qui échappait jusqu’ici à l’opinion publique : la STT est sérieusement prise en tenaille entre deux principaux courants qui se livrent une guerre silencieuse sans merci.

En effet, à l’analyse des syndicats de base qui se sont regroupés pour former la STT en janvier 2013, il se dégage que ce mouvement syndical repose sur une charpente dominée par trois secteurs : l’administration, l’éducation et la santé.
Les actions du mouvement auraient été lancées sous les auspices des praticiens hospitaliers réunis au sein du SYNPHOT, un mouvement corporatif qui avait effectivement fait parler de lui dans les revendications pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des personnels soignants.

Au fil du temps, le SYNPHOT, précédemment dirigé par le professeur David Dosseh, aurait pris l’habitude d’imposer son idéologie et ses manières de faire à la STT, à la grande désapprobation des membres de ce nouveau mouvement syndical qui relèvent du secteur éducatif. Ces derniers regroupés au sein de l’USET, s’estiment plus nombreux et plus actifs sur le terrain pour se laisser dicter par une poignée de médecins jugés très orgueilleux.

Cette guéguerre aurait donné lieu à de nombreuses crises qui ont été surmontées sans trop de bruit grâce à la neutralité et au tact de la coordinatrice Nadou Lawson qui, en plus d’être une femme à la tête du mouvement, relève, elle, de l’administration.
Il se dit même que les mots d’ordre de grève qui ont été lancés par ce mouvement syndical, étaient beaucoup plus suivis par le corps enseignant ou par le corps soignant selon que ceux qui ont présidé à leur lancement sont de l’enseignement ou de la santé.

Lors des assises qui ont été convoquées pour ramener la sérénité au sein de la coordination, des soupçons de tous genres ont commencé par fuser de part et d’autre.

Les docteurs Walla et Tsolenyanu, poulains du professeur Dosseh et représentants du SYNPHOT au sein de la coordination de la STT, accusent leurs homologues de l’enseignement d’avoir été corrompus par les autorités gouvernementales.
Les enseignants s’insurgent contre cette accusation et estiment pour leur part que les discussions syndicales ne doivent pas donner lieu à un affrontement entre employeur et employé au point de fermer la porte des discussions. A leur entendement, leur démarche devrait leur assurer une certaine progression dans la négociation pour leur permettre de revenir à chaque fois vers la base avec des résultats concrets. Ils estiment que les positions tranchées des médecins s’expliquent par la possibilité qu’ils ont de vivre, en l’absence de leur revenu mensuel, sur de nombreuses ressources provenant de prestations dans des cliniques privées.

Telle était la situation lorsque, courant Juillet 2013, le SYNPHOT, dans l’intention de se retirer de la STT pour continuer seul sa lutte, a envoyé Tsolenyanu au Gabon auprès de Harry Olympio pour redéfinir les termes d’une ancienne collaboration qui existait entre eux.

Ce déplacement qui est resté incompris dans l’esprit des enseignants, aurait été à l’origine de toutes les supputations au point de donner naissance à des affrontements entre certains membres du conseil le 20 Août dernier au siège de la STT. Approché pour obtenir plus d’éclaircissements sur son déplacement sur le Gabon qui fait tant de bruit, Tsolenyanu a préféré se réserver pour réagir en temps opportun.
S’il est vrai que les conflits sont inévitables dans tout groupe constitué, les résultats que la STT est déjà parvenue à obtenir pour les fonctionnaires togolais doivent interpeller ses responsables à mettre de côté les calculs partisans pour sauver tout ce qui peut aller dans l’intérêt commun, comme ils ont déjà eu l’occasion de le démontrer. Dans une pareille atmosphère propice aux manipulations, Nadou Lawson est appelée à faire usage de sa longue expérience de syndicaliste pour faire taire les velléités de part et d’autre et sauver la situation.

SEWONOU Armand K. Farma

 

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Interpellation de trois personnes pour traffic de drogue.

Publié le 24 Août 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Anita Binti Ahmad (à droite), Ukoha Dede Agu (au milieu) et Reyes Machay Carlos Andres (à gauche), respectivement de nationalité malaisienne, nigériane et équatorienne, ont été arrêtés par la Cellule aéroportuaire Anti-trafics (CAAT) et présentés à la presse ce vendredi dans l’enceinte de l’Office central de répression du Trafic illicite de drogue et du blanchiment (Ocrtib) à Lomé.

En effet, dame Anita Binti Ahmad a quitté la Malaisie pour Lomé depuis le 12 août 2013 sur invitation de son petit ami. Avant de partir de Lomé, l’un des amis de ce dernier, le nommé Ukoha Dede Agu, lui a préparé sa valise dans laquelle était dissimulé 1 kilogramme de méthamphétamine.

Le 18 août, à l’aéroport international Gnassingbé Eyadéma de Lomé, la dame a été interpellée par les éléments de la CAAT au moment où elle s’apprêtait à prendre le vol pour son pays de provenance.

Toujours ce 18 août à l’aéroport de Lomé, Reyes Machay Carlos Andres, après avoir quitté Quito en Equateur le 16 août en passant par Pérou, Paraguay et Sao Paulo au Brésil, atterrit à Lomé avec 1,9 kilogramme de cocaïne enfoui dans deux boîtes à pommade. Il a été lui aussi interpellé dans les mêmes conditions.

Prochainement, les présumés seront présentés au procureur de la République conformément aux dispositions de la loi n°98-008 du 18 mars 1998 portant contrôle des drogues au Togo.

Selon les autorités, « ces trafiquants de drogue font partie d’un vaste réseau ayant des ramifications dans la sous région ouest africaine, en Asie et en Amérique du Sud. »

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Le Ministre de la Sécurité le Colonel YARK met en garde les casseurs et fauteurs de troubles

Publié le 21 Août 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, SOCIETE

COMMUNIQUE:

Il nous a été donné de constaterbces derniers temps que certains individus à l’occasion des manifestations publiques à travers le territoire national se visent à la destruction et à la dégradation des infrastructures et édifices publiques et ils attaquent aussi aux biens privés.

Il en a été ainsi lors des manifestations publiques ponctuées de troubles à l’ordre public organisées à Lomé, Dapaong et Niamtougou.

Ces manifestations ont occasionné d’importants dégâts matériels, des exactions ainsi que des dégradations d’infrastructures publiques ; la destruction, le pillage et l’incendie de commissariat.

Récemment à kétao, les affrontements entre deux groupes religieux rivaux ont occasionné entre autre un nombre élevé des blessés, de destructions de maisons d’habitations, de boutiques ainsi que des motos et vélos.

Les importants dégâts enregistrés sont la plupart du temps des faits d’individus mal intentionnés qui n’ayant rien à avoir avec les dites manifestations en profitent pour commettre des actes crapules.

Au regard des incidents enregistrés et face aux conséquences néfastes qui en découlent notamment les dégradations et destructions des édifices publiques et privés, le recours systématique aux actes de vengeances et d’intolérance, les ministres en charge de l’administration territoriale et de la Sécurité tiennent à rappeler à toute la population que le droit et la liberté de manifester ne sauraient en aucun cas être synonyme de casses et de destructions.

Les individus qui sous le couvert de manifestations publiques ne visent pas à assouvir leurs intentions délictueuses, doivent s’attendre à répondre de leurs actes devant la loi.

Les instructions fermes ont été données aux forces de sécurité pour identifier et appréhender dorénavant les auteurs de ces actes répréhensibles.

Les deux ministres invitent tout initiateur organisateur des manifestations publiques à prendre toutes les dispositions pour préserver quelque soit les circonstances la paix sociale, la quiétude et la sécurité afin d’éviter toute sorte de destruction et de dégradation privée et toute atteinte à l’intégrité physique du citoyen.

Ont signé :

Yark Damehane

Ministre de la Sécurité 

Gilbert Bawara

Administration territoriale

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Football Féminin : Elom Anastasie YAWO wanted pour débloquer la délivrance de visa aux sportifs togolais

Publié le 5 Août 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Togo - Les relations sportives entre le Togo et l’Allemagne ont du plomb dans les ailes depuis presque une année à la suite d’une situation malheureuse qui est survenue. L’Allemagne qui a toujours favorisé les échanges sportifs et la formation des entraineurs de football togolais en Allemagne n’octroie plus de visa aux sportifs togolais.

La raison en est que Mlle Elom Anastasie YAWO, qui a suivi un stage d’entraineur de football à Lomé sous la supervision de la confédération olympique et sportive Allemande et la fédération Allemande de football en Décembre 2010, a été invitée pour une formation complémentaire à Francfort pendant le période de 12 Octobre – 05 Novembre 2012. Après la formation, Mlle Elom Anastasie YAWO a décidé de ne plus rentrer au pays. Les dernières informations font état de ce qu’elle séjourne illégalement en Europe et probablement en Belgique. Une situation qui constitue un précédent grave, et la FTF qui a servi de caution à ce professeur d’éducation physique et sportive, déplore l’abus de confiance d’Elom Yawo. Pour ce faire, il n’est plus possible pour l’Ambassade de l’Allemagne au Togo de délivrer des visas aux sportifs togolais qui souhaitent se rendre en Allemagne. Quatre personnes en ont déjà fait les frais et ont raté l’occasion d’aller suivre un stage d’entraîneur à Leipzig pour une période de 5 mois, stage qui a pris fin depuis le 31 juillet dernier.Comme un problème ne vient jamais souvent seul, l’Ambassade dit n’être plus dans la possibilité d’offrir un soutien supplémentaire dans le domaine du sport, avant la résolution positive du problème.

Une situation qui oblige le ministère et la FTF à demander l’aide de la famille de la jeune dame pour qu’elle revienne afin de débloquer la voie à d’autres sportifs togolais mais en vain. Vu la gravité de la situation, Mlle YAWO Elom Anastasie, née le 10 Février 1979 à Lomé et qui travaillait comme professeur d’EPS au lycée Agbonou-Atakpamé, est activement recherchée.

 

Il est demandé que tous ceux qui connaissent Mlle YAWO Elom Anastasie ou ont des informations qui peuvent amener à elle, saisissent la Fédération Togolaise de football, le ministère des sports et des loisirs ou envoyer quelque renseignements que ce soit sur cette adresse Mail : aider_nous@yahoo.com

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