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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

Max Carmel, DP d'un journal sans existence légale, voilà comment ces béninois sont faux jusqu'à la moelle

Publié le 30 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Max Carmel, DP d'un journal sans existence légale, voilà comment ces béninois sont faux jusqu'à la moelle

Procès Tribune contre la HAAC

La Cour de Justice de la CEDEAO a débouté le journal Tribune d’Afrique de Max Carmel

La cour de Justice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a débouté le journal Tribune d’Afrique dans le différend qui l’oppose à la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) le 18 avril dernier.

En effet, Max-SAVI Carmel directeur de Publication du journal béninois tribune d’Afrique dont l’impression avait été interdite ici à Lomé par la HAAC du Togo avait porté plainte devant la Cour de justice de la CEDEAO contre la HAAC et le Togo et avait réclamé deux cent millions (200 000 000) de dommages et intérêts pour dit-il violation de ses droits à exercer son métier à Lomé. En outre Max-Savi avait porté plainte contre le Service de Recherche et d’Investigation (SRI) où il a soutenu avoir subi un interrogatoire musclé de six heures de temps.

Les faits

Faut-il le rappeler, la HAAC du Togo, après des investigations faites auprès de son homologue du Bénin, il s’est avéré que le journal Tribune d’Afrique dont le siège se trouve à Porto-Novo et qui est censé être régi par le droit béninois, n’avait pas d’existence légale et n’est pas reconnu par la HAAC du Bénin. C’est ainsi que la HAAC du Togo a suspendu son impression ici à Lomé où il a élu domicile depuis des lustres et lui a demandé de se mettre en règle vis-à-vis de son pays avant toute publication au Togo.

Dans une autre affaire qui l’a opposé au président de l’Assemblée Nationale, Max-Savi a été conduit à la gendarmerie.

Pour ces faits, Max-Savi avait d’abord déposé plainte ici à la Cour Suprême du Togo pour abus d’autorité contre la HAAC et ensuite a amené le dossier devant la Cour de Justice de la CEDEAO qui statuant publiquement, contradictoirement en matière des droits de l’homme et en dernier ressort, l’a débouté. La Cour de la CEDEAO a estimé que le Journal Tribune d’Afrique « n’a pas d’existence légale et est donc dépourvu de la personnalité juridique nécessaire pour ester en justice ». Dans ces démarches notre confrère Max-Savio était assisté de Me Jil-benoit Afangbedji.

On espère que cette sentence de la CEDEAO mettra définitivement un terme à ce dossier Tribune d’Afrique-HAAC qui a occupé les débats dans les médias au Togo.

Dounia le Monde N°470 du 25 avril 2013

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Erreur manifeste ou mauvaise foi : Brigitte AMEGANVI de Synergie TOGO se perd au sujet du découpage électoral et trompe son auditoire

Publié le 30 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Erreur manifeste ou mauvaise foi : Brigitte AMEGANVI de Synergie TOGO se perd au sujet du découpage électoral et trompe son auditoire

Erreur manifeste ou mauvaise foi : Brigitte AMEGANVI de Synergie TOGO se perd au sujet du découpage électoral et trompe son auditoire.

Soit elle ne maîtrise pas l'actualité de son pays ou elle ne connait rien en arithmétique et en géographie soit elle agit intentionnellement juste pour irriter son interlocuteur.

Brigitte AMEGANVI, de Synergie-Togo une association de la diaspora (mais qui est en réalité le cache sexe de l'ANC) s’est fourvoyée sur les plateaux de AFRICA 24 au sujet du nouveau découpage électoral portant à 91 le nombre de sièges à l’Assemblée Nationale.

En face de Gilbert BAWARA, ministre de l’Administration Territoriale, Brigitte AMENGAVI sans aucun scrupule a tenté de faire croire aux invités et aux téléspectateurs, que le nouveau découpage électoral était en défaveur de la partie SUD du Togo, la plus dense en terme de population.

En réalité notre sœur se trompe sur toute la ligne. Non seulement Assoli n’est pas la plus petite des circonsciprtion électorale, mais il est un fait qu’elle semble ignoré : depuis des mois le gouvernement a procéder à la modification des circonscriptions tenant compte de la densité des populations et de la surface géographique. http://togoinfos.com/Deliberation-sur-la-repartition

Ainsi une nouvelle répartition a été faite et sur les 91 sièges les régions Maritime et celle des Plateaux s’en sortent avec 50 députés. selon les distributions suivantes - Maritime 25 : Lomé-Commune+ Golfe (Grand Lomé) 10 ; Avé 2 ; Lacs-Bas-Mono 3 ; Vo 3 ; Yoto 3 ; Zio 4.

- Plateaux 25 : Amou 3 ; Agou 2 ; Danyi 2 ; Ogou-Anié 4 ; Est-Mono 3 ; Moyen-Mono 2 ; Kloto-Kpélé 3 ; Wawa-Akébou 3 ; Haho 3.

Soit un total de 50 sièges pour les deux régions sur les 91.

SYNERGIE Togo est bien cette association qui est animée par des dirigeants de l’ANC section France et Belgique. Synergie pourvoie au financement de l’ANC par divers canaux et on comprend aisément l’attitude de cette dame qui ressemble à tout point de vue à celle de certaines personnes ici : ne jamais admettre qu’il y a des avancées dans le pays. Dresser un tableau sombre des situations et alarmer la communauté internationale. Bien que se disant apolitique les rencontres de SYNERGIE Togo sont souvent des moments où s’assemblent les conseillers officiels et officieux de l’ANC.

Camille Lawson Body ne cache pas d’ailleurs son militantisme à l’ANC.

Brigitte AMEGANVI qui nie tout lien avec l'ANC n'est elle pas la sœur d'Isabelle AMEGANVI, la vice présidente de l'ANC ?

Qui trompe qui ? Brigitte AMEGANVI va-t-elle aujourd’hui nous dire qu’elle ne roule pas pour sa sœur Isabelle AMEGANVI, vice présidente de l’ANC ? Elle veut nous prendre pour des bêtes ou quoi

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Sortie de route pour Harry Olympio

Publié le 27 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Harry Olympio, un obscur politicien togolais (cousin lointain de Gilchrist Olympio, le président de l’UFC), tente un difficile come back. Plusieurs fois ministre d’Eyadema, candidat à la présidentielle de 2005 (0.55% des suffrages !), poursuivi par la justice pour des délits, il avait pris la tangente et quitté le pays avant de décider de revenir récemment.

L’homme est inaudible et discrédité tant du côté du pouvoir que des opposants.

Mais qu’à cela ne tienne. Il s’est mis en tête d’aller prêcher la bonne parole en Europe pour expliquer à ceux qui veulent bien l’écouter - ils ne sont pas très nombreux – sa vision de la politique togolaise.

A Bruxelles mercredi, Olympio a accusé le président Faure Gnassingbé d « ’avoir planifié et froidement exécuté en 2005 dans une logique génocidaire plus de 500 Togolais ». Et la suite de son intervention est du même acabit : « (…) face aux revendications des syndicats et des élèves, des militaires, sur instruction directe de Faure Gnassingbé (…) ont ordonné l’usage d’armes à feu contre des populations civiles non armées (…) ».

Des propos qui ne méritent que le mépris et, accessoirement, une condamnation par les tribunaux.

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Pas d’amalgame entre les droits des travailleurs et les agendas politiques

Publié le 27 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

L’Assemblée générale de la Synergie des travailleurs du Togo (STT), un groupement de syndicats de base de la fonction publique, a entériné vendredi l’accord conclu avec le gouvernement et décidé de « suspendre » son mot d’ordre de grève. Atchi Walla, le coordonnateur adjoint de la STT, tient à cette précision. « Le mot d’ordre n’est pas levé, il est juste suspendu », a-t-il déclaré.

De la sémantique pour tenir les adhérents mobilisés.

Des discussions doivent reprendre en début de semaine avec les autorités pour évoquer les questions relatives à l’augmentation des salaires, à l’âge du départ à la retraite, et aux paiements d’indemnités, notamment.

« Nous voulons faire confiance au gouvernement mais nous restons sur nos gardes. », a prévenu Acthi Walla.

Vendredi, le président Faure Gnassingbé avait souligné que les efforts financiers consentis par l’Etat pour aider certaines catégories de fonctionnaires étaient systématique accueillis par de nouvelles exigences, insistant sur le fait que le Togo n’a tout simplement pas les moyens de répondre aux revendications excessives de certains.

Il avait aussi mis en garde contre « L’instrumentalisation des aspirations des travailleurs, la surenchère politicienne, l’amalgame entre les droits des travailleurs et les agendas politiques qui sont des pratiques nocives. Nous devons leur tourner résolument le dos, car elles desservent notre pays ».

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Le CST a enfin trouvé ce qu'il recherchait depuis un an : des morts

Publié le 26 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Le CST a enfin trouvé ce qu'il recherchait depuis un an : des morts

A travers la mort du petit Anselme, le Collectif Sauvons le Togo vient d’atteindre son objectif tant recherché par l’intermédiaire de son acolyte, le professeur David DOSSEH du SYNPHOT.

Ce n’est pas l’un des nombreux morts issus de ces ratés sur la table d’opération mais plutôt le pauvre enfant instrumentalisé pour combler le vide politique dû à l’épuisement des méthodes qu’ils ont jusque là utilisées.


Tout ce passe comme si notre opposition attendait le décès du petit.

C'est hideux l'exploitation et la récupération qui en est faite. C'est vraiment dégouttant.

On va jusqu'à organiser une simulation d'enterrement pour marquer les esprits. Mais Dosseh, Fabre, votre attelage que vous avez constitué n'atteindra pas ses objectifs parce que Dieu veille sur la terre de nos aïeux. Repose en paix Anselme et du Ciel, maudit tout ceux qui exploite ton corps et ton âme pour des buts malsains.

Le CST a enfin trouvé ce qu'il recherchait depuis un an : des morts
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La liberté de presse en danger : Bonero LAWSON et Justin ANANI, la racaille, à l'oeuvre de la destruction.

Publié le 25 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

La liberté de presse en danger : Bonero LAWSON et Justin ANANI, la racaille, à l'oeuvre de la destruction.

La presse togolaise est aujourd’hui minée par des maux jamais connus auparavant. La situation politique de notre pays a impacté négativement la presse privée au point que la confraternité qui doit être le maitre-mot au sein de la corporation tend à disparaître. Il aura suffi que vous exprimez votre pensée à travers vos écris qu’on vous marginalisme et vous  désormais vu comme un gibier à abattre nécessairement. Le comble a été atteint la semaine dernière avec l’agression d’un confrère par un autre confrère. Une situation qui nous amène à nous demander si le journaliste agresseur était en possession de tous ses sens.  Autrement dit, tout laisse à croire que la HAAC délivrerait des récépissés à des fous puisqu’un journaliste normal qui connait bien la déontologie du métier et a un profond respect pour l’opinion des autres et la liberté d’expression ne peut pas se permettre d’aller aussi loin en portant la main sur son confrère au lieu de reportage. D’ailleurs la loi punit la vengeance privée et aucun argument ne saura justifier cet acte quelque soit les circonstances.

Le métier de l’information au Togo tend aujourd’hui à perdre  sa valeur. Et pour cause, il y a actuellement une bipolarisation au sein de la corporation des journalistes due à la situation de crise politique permanente de notre pays. Surtout avec la naissance du Collectif Sauvons le Togo ainsi que les derniers développements de l’actualité du pays, cette bipolarisation  va grandissante avec ses conséquences préjudiciables à la loi de la confraternité.

Dans la corporation, il existe deux catégories de journalistes : la première catégorie est composée de « super journalistes » qui s’arrogent tous les droits et tous les titres. Ils sont extrêmement libres d’écrire et de dire (et plus haut d’ailleurs) tout ce qu’ils pensent sur la situation sociopolitique de notre pays. Dans cette catégorie, tous les travers sont permis et toute autorité qui oserait intervenir pour les recadrer est automatiquement défiée car leur vérité est la vérité Universelle (sic). Pour cela, ils font tout pour que leur propos soit pris comme des paroles d’évangile. C’est ainsi que certains parmi ces super journalistes se permettent même de menacer leurs confrères pour les obliger à regarder dans la même direction qu’eux. Une véritable entrave à la liberté d’expression et d’opinion.

La seconde catégorie de journaliste  est celle surnommée des « bitosards » ou des journalistes « ventrocrates » par la première catégorie puisque ces confrères font croire à qui veut les entendre qu’ils sont le nombril du journalisme au Togo et dans le monde entier. La situation sociopolitique aidant, les journalistes de la seconde catégorie compte tenu de leur ligne éditoriale sont permanemment vus comme des moutons de Panurge, mieux, des gibiers à abattre à tout prix.  Cette seconde catégorie n’a pas la voix et plusieurs parmi celle cci sont considérés comme des taupes, des espions au service  au service du pouvoir par les supers journalistes. Même à l’heure actuelle, il nous revient que certains journalistes ciblés et supposés être proches du pouvoir ou ne soutenant pas le CST seraient permanemment visés par un plan d’agression physiques lorsqu’ils oseraient mettre   pied à certains en droits ou quartiers. L’autre confrère chroniqueur (suivez nos regards) ne nous démentira pas. Il lui aurait été révélé de ne plus jamais mettre pied dans un quartier de Lomé supposé être le fief de l’opposition au  risque de se faire lyncher et d’être livré à la vindicte populaire. Pas plus que longtemps, votre directeur de publication de l’hebdomadaire « Le Perroquet » a été sévèrement menacé au téléphone par un autre directeur de publication dont nous osons taire  le nom.

Celui-ci  lui reprocherait de critiquer à tout bout de champ l’opposition en général et surtout le CST. Pour ce super journaliste, Directeur de Publication  de son état, son confrère qui ne ménage pas le CST est un bitosard, un vendu, un corrompu et doit cesser  de critiquer le CST, mieux le soutenir plutôt même si dérive il y a. Au même moment, il a tout de go oublié que dans un passé récent, le confrère qu’il traite aujourd’hui de vendu a longuement soutenu l’opposition et le CST même plus que celui qui se croit aujourd’hui être le nombril du journalisme au Togo. Pour mémoire, votre journal, Le perroquet avait même demandé en 2010 que départ de Faure Gnassingbé du pouvoir. Pourtant le directeur de publication n’a jamais été inquiété par qui que ce soit. Au lendemain de la toute première manifestation du Collectif sauvons le Togo, où s’est éclatée la guerre des chiffres, c’est le "perroquet " qui a estimé le nombre des manifestants à plus de 500 milles ! Un chiffre record qu’aucun organe de presse n’a publié à l’époque. Et si aujourd’hui, le même journal critique les actions du CST, en quoi voudrait on le condamner jusqu’au point de menacer son directeur ? Ne sommes-nous pas dans un Etat de droit et de liberté ? Où se trouve finalement la liberté d’expression à laquelle tient tant toute la corporation de journaliste ?  La question reste posée. Passons. Aujourd’hui, le tiraillement entre les politiques a gravement affecté les journalistes dont la mission première est l’information, l’éducation et la sensibilisation. Beaucoup sont ces journalistes qui veulent ses substituer aux politiques alors qu’ils sont tenus au devoir d’observer et de restituer. Pis encore, cette bipolarisation  de la corporation va grandissante et dépasses les menaces verbales pour donner suite aux attaques et agressions physiques de toute nature. Le summum a été atteint la semaine  dernière avec l’agression d’un confrère par un autre au cours de la messe demandées par la Synergie des travailleurs du Togo (STT) en mémoire du jeune élève tué à Dapaong. Le reporter d’images a essuyé plusieurs gifles de la part d’un confrère directeur de  publication de son état, avant d’être livré à la vindicte populaire. N’eut été l’intervention d’un doyen, ce reporter aurait laissé sa peau sous la colère de certains militants en état d’ébriété. Comme si cela ne lui suffisait pas et pour montrer qu’il détient à lui seul le monopole de la violence, le même journaliste a eu le culot d’agresser au cours de la même soirée, le même journaliste a eu le culot d’agresser au cours de la même soirée un autres confrère de la radio Kanal FM. AU lendemain de ce pugilat, des assocaitiosn de presse à l’instar du CONAPP et de l’UJIT ont élevé leur voix pour condamner vivement cette agression  et appeler à la confraternité. Au même moment, certaines organisations de défense de la liberté de presse hautement connues dans notre pays et dans notre corporation pour leurs habituels communiqués lors de tels évènement sont demeurées muettes comme une carpe et rechignent à condamner cet acte généralement condamné dans la corporation. Qu’est ce qui explique ce silence coupable de ces associations de presse qui pourtant, se disent défendre la liberté d’expression au sein de notre corporation ?

Si aujourd’hui un journaliste se permet de porter la main sur son confrère et le livrer à la vindicte populaire à cause de sa ligne éditoriale, où est alors la confraternité tant clamée dans notre corporation ? ne dit-on pas souvent que chacun voit le midi à sa porte ?  C’est pour renchérir cette assertion que le philosophe mathématicien Blaise pascal a affirmé que « vérité en deçà des Pyrénées, erreur de là » comme pour dire que ce n’est pas nécessairement ce que l’on conçoit chez soi comme vérité qui est la même chose chez l’ autre.  Les hommes étant différents les uns des autres, les pensées aussi diffèrent et ce que vous affirmez comme vérité peut être mensonge chez les autres. Nul ne détient le monopole de la vérité et nul l’a le monopole de la violence. C’est la raison pour laquelle seules la confraternité et la retenue doivent guider touts les journalistes quelques soit le bord. Loin de nous toute intention de donner des des leçons de moral, nous devons savoir que le climat sociopolitique est très tendu et notre travail devrait plutôt amener toute la classe politique à faire des concessions pour l’apaisement de la tension sans toutefois  dévier de nos lignes éditoriales.

La HAAC délivrerait elle des récépissés à des fous ?

Le métier de plume tend aujourd’hui à perdre ses lettres de noblesse. Comme dans toute profession, n’est pas journaliste qui veut. Mais tout porte à croire que le landerneau médiatique est grugé de toute sorte d’espèce d’arrivistes d’ambitieux et même des individus à profils très bas. Le métier de la communication exige quand même un certain niveau pour faire passer convenablement le message et travailler dans le respect scrupuleux des règles éthiques et de déontologie comme l’exige le code de la presse. Par quelle alchimie un charpentier, un menuiser, « affairiste », un « fou mal guéri » ou un parvenu par exemple peut il convenablement exercer  ce métier noble après avoir reçu un récépissé de la haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication ? Loin de nous toute idée de discrimination, quand certains comportements prêtent à la malhonnêteté et à la barbarie d’n autre âge, on  ne peut que l’analyser sous cet angle. Le fait pour ce journaliste de prendre à  partie son confrère, de saisir son matériel de travail et de le livrer à la vindicte populaire nous amène  à nous demander si l’agresseur est il en possession de tous ses sens et connait il réellement ce que signifie la confraternité ? Ce sont des comportements qui discrétisent  aujourd’hui la presse, le 4ème pouvoir aux yeux de l’opinion  nationale et internationale. Le journaliste est de nos jours vu dans notre société comme un brut, un mendiant, un parvenu, un nullard… Même au temps sombre d’Eyadema, on n’a jamais assisté à de pareils évènements au sein de la corporation des journalistes. C’est vraiment triste car cela constitue un grand recul des mentalités et un comportement qi n’est pas digne de ce 21ème siècle où la démocratie et le respect de l’opinion des autres sont portés en flambeau. Au demeurant les organisations de défense de la liberté de presse doivent s’assigner cette lourde tâche pour ramener la confraternité au sein de la corporation afin que le journalisme retrouve sa lettre de noblesse.

  Faustin KPOTOWOGBO

Le Perroquet du 25 Avril 2013 (N°225)

 

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Piste criminelle confirmée

Publié le 25 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Dans le cadre de l’enquête ouverte suite aux incendies qui ont ravagé les grands marchés de Lomé et de Kara, et divers autres édifices publics et privés, courant mois de janvier 2013, le parquet a requis l’avis des experts étrangers français et israélien. Il s’agit pour les experts français, dénommés Hervé Bazin et Major François Deblasi et pour l’expert israélien, Shlomo Maor. Ceux-ci avaient pour mission de donner leurs avis sur l’origine et la cause de ces incendies. Il leur était également demandé de procéder aux prélèvements et analyses pouvant intéresser l’enquête.

Le rapport de l’expert israélien porte exclusivement sur les grands de Lomé et de Kara. Celui des deux français se rapporte non seulement à l’incendie des deux grands marchés, mais également à celui du marché d’Adidogomé.

En ce qui concerne l’origine des incendies, les experts sont unanimes. Ils concluent à des incendies criminels, en raison de multiples foyers sans « séquence de feu » entre eux constatés sur les lieux.

S’agissant du dispositif de mise de feu, les experts sont aussi unanimes que la matière utilisée comme accélérant d’incendie des grands marchés de Lomé et de Kara, est un liquide inflammable.

Sur la nature du liquide, les experts les français estiment qu’il s’agit d’un produit de type « kérosène » alors que l’expert israélien indique avoir constaté des vapeurs de benzène/essence.

Pour le marché d’Adidogomé, les experts français ont confirmé la découverte sur les lieux de plusieurs dispositifs de mise de feu réalisés à l’aide de cigarettes associées à des allumettes et à des sacs remplis de carburant. Ils indiquent que ces dispositifs étaient destinés à différer l’inflammation du carburant posé à proximité immédiate du dispositif de mise de feu. Ils soulignent que l’analyse de l’échantillon prélevé sur le sol a permis de mettre en évidence une essence pour automobile et que la présence de plusieurs dispositifs de mise de feu associés à ce type d’accélérant, c’est-à-dire l’essence pour automobile permet d’associer la cause du sinistre à une intervention humaine délibérée. En clair, il s’agit d’un incendie criminel.

Au regard de ce qui précède, il y a lieu de faire observer que ces rapports sur l’origine et les causes des incendies survenus dans notre pays courant mois de janvier 2013, confortent la procédure en cours qui a retenu pour qualifications principales les destructions volontaires par incendie ou explosifs. Il s’agit, à n’en point douter, des incendies criminels déclenchés à l’aide des dispositifs de mise de feu constitués essentiellement de matière inflammable.

La procédure suit donc son cours.

Fait à Lomé, le 24 avril 2013
Essolissam POYODI

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Violente agression contre Tony SODJI : SOS Journaliste en Danger muet comme une carpe face aux dérives de Bonero LAWSON

Publié le 22 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Au Togo, il y a des individus qui sont atterris dans le métier de journalisme par défaut. C’est une affirmation qui avait suscité des critiques mais dont la teneur n’était pas de nature à battre en brèche les arguments qu’on a avancés.

Il y a environ deux semaines Fredo Attipou journaliste photo reporter a été victime d’un accident sur la route. Très vite certains de nos confrères devenus aujourd’hui des politiciens affichés comme Francis PEDRO, Bonero LAWSON, Ferdinand AYITE, Justin ANANI se sont lancés dans la récupération du malheureux accident en montant toute une histoire qui ne tient pas la route devant un esprit doué de raison.

Se fondant sur les déclarations d’une seule personne, on nous a fait croire qu’il s’agissait d’une agression perpétrée sur la personne de Fredo ATTIPOU par des hommes de main du pouvoir en place.

SOS Journaliste en Danger de Ferdinand AYITE, et RASOJEP d’un certain Sylvio Combey Combetey s’étaient empressés de sortir des communiqués pour condamner cette agression qui en réalité n’a existé que dans l’imagination de certaines têtes.

Durant cette période, j’ai tenu à faire remarquer aux uns et aux autres qu’il régnait au sein de la corporation une tension nauséabonde marquée par un traitement inégal des cas de violence contre les journalistes.

Avec SOS Journaliste en Danger et le SYNJIT, on se fout éperdument qu’un confère comme Tony SODJI soit agressé ou violenté.

De ta ligne éditoriale dépendra du soutien émanent de tes confrères. C’est comme ça au SOS Journaliste en Danger et au SYNJIT. Quand un journaliste est dans une difficulté, avant de bénéficier du soutien des autres, on regarde d’abord sa ligne éditoriale. Et quand celle-ci ne cadre pas avec celle soutenue par les ténors de SOS J Danger, on passe sous silence son cas.

Mais au même moment on est prêt à sortir des communiqués et à prendre d’assaut les antennes des radios pour condamner des agressions qui n’ont jamais existées. Il suffit qu’une mouche effleure un peu un Bonero, ou un Anani ou un Ferdinand que vous les verrez sortir à tout va des communiqués.

Tony SODJI porte encore les séquelles de cette manière de traiter les situations au sein de la corporation. Lorsqu’il a été menacé ouvertement par AGBEYOME et le Georges TOMETTY à la plage de Lomé (les bandes sonores sont encore là) dans le courant du moi de mars, personne au sein de la corporation des journalistes n’a trouvé rien à dire. Pire ce sont les confrères tels Ferdinand AYITE, Zeus AZIADOUVO, Maxime DOMEGNI, TADEGNON, Augustin AMEGA, donneurs de leçons et tous membres de SOS Journaliste en Danger qui ont publié sur les réseaux sociaux les photos de ce journaliste et de sa famille avec des commentaires mettant sa vie en danger.

A l’époque on avait parlé de deux poids deux mesures dans la gestion des cas.

Mais cela ne dérange personne au sein de cette association qui s’apparente plus à un parti politique. Ferdinand AYITE qui la dirige fait bon ce qui lui plait. Aujourd’hui son objectif est d’évincer le CONAPP et l’UJIT. Depuis quelques mois il (Ferdinand AYITE) dirige et coordonne des attaques contre ces deux anciennes organisations.

Il manœuvre par la calomnie et la médisance au sujet de ceux qui dirigent actuellement ces organisations. Partout il passe il se démerde pour présenter ces deux organisations (CONAPP et UJIT) comme non représentatives des journalistes togolais.

Alors si SOS Journaliste en Danger et le SYNJI se veulent les plus crédibles, qu’elles assument donc leur position en faisant preuve d’impartialité dans le traitement des cas.

Si nous dénonçons la partialité des dirigeants de SOS Journalisme en Danger et du SYNJIT c’est que, au fur et à mesure que l’on avance, les faits prouvent que nos inquiétudes sur la division et la déchéance du métier de journalistes sont justifiés.

Voilà, bientôt une semaine que Bonero LAWSON a violement agressé des journalistes au cours de l’exercice de leur profession. Le mercredi 17 avril 2013 lors de la messe pour le repos de l’âme du petit Anselme célébrée à mercredi à l’église catholique Saint Antoine de Padoue de Hanoukopé, ASSILENOU Kokou (assistant de Tony SODJI) et David AGBOATI, journaliste de Radio Kanal FM, ont été physiquement pris à parti par Lawson BONERO.http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Medias/Bonero-Lawson-journaliste-ou-boxeur Le matériel de travail (enregistreurs, appareils photographique et autres) des deux journalistes a été bloqué par ce Bonero aidé dans ce vilain comportement par Justin ANANI, lui aussi journaliste et membre de SOS Journaliste en Danger.

Comme si cela ne suffisait pas, le dimanche 21 avril, LAWSON Bonero qui avait promis d’en découdre avec Tony SODJI est parvenu à ses fins.

En effet le dimanche 21 avril par un hasard, les deux personnes se sont retrouvés dans le quartier Nykonakpoe. Comme il fallait s’y attendre, Lawson Bonero n’a pas manqué cette occasion pour démontrer à son confrère qu’il un vrai pugiliste et que sa venue dans le corps des journalistes n’était qu’une erreur. Tony SODJI a eu al vie sauve que grace à l’intervention des riverains qui ont compris que Bonero gardait une dent contre son confrère puisqu’il avait sur lui une des ses parutions dans laquelle il le livre à la vindicte populaire.

Comment comprendre que depuis là, Ferdinand AYITE, Augustin AMEGAN, Maxime DOMEGNI restent muets face à ce comportement ?

Pourquoi cette divergence dans le traitement des situations portant sur les journalistes. SOS Journaliste en Danger, RASOJEP et SYNJIT cautionnent t-ils le comportement de Lawson BONERO et de Justin ANANI à l’encontre de leur confère Tony SODJI.

Où sont l’objectivité et l’impartialité dont ils se parent dans la rue ?

Notre profession est en péril. Beaucoup d’imposteurs y ont élu siège.
Ferdinand AYITE tout comme Bonero Lawson sont des gens qui dans d’autres pays ne méritent pas de devenir des directeurs de publication. Ils peuvent détenir des actions dans une entreprise de presse, mais on ne doit pas leur confier la direction d’un titre.

Ferdinand AYITE tout le monde connait son parcours au sein de l’UFC et de la NDP. C’est un homme politique née. Bonero LAWSON pareillement.

Ce n’est pas parce qu’on côtoie les journalistes qu’on devient journaliste. Le protégé de Horatio Freitas et Kofi YAMGNANE doit le savoir. Tout le monde sait qu’il est un homme qui a pris la plume par opportunisme. Bonero fait la honte de ses mentors.

Que ceux qui sont venue à la dernière heure se ressaisisse pour que le journalisme au Togo ne devienne pas un métier poubelle.

Les organisations de presse internationales doivent essayer de ramener à la raison certaines personnes. Le journalisme est un métier noble et il ne faut pas qu’à cause de quelques individus, tous les efforts des autres pour harmoniser et relancer la profession tombent à l’eau.

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Les enseignants en face de leur responsabilité.

Publié le 22 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

En dépit de l’annonce de la réouverture des écoles lundi et de la présence des élèves dans les établissements, de nombreux professeurs n’ont pas rejoint leur travail. Conséquence, collégiens et lycéens ont du repartir à la maison.

Une situation étonnante d’autant que la Synergie des travailleurs du Togo (STT) s’était déclarée dimanche favorable à une reprise des cours, à la condition qu’aucune retenue ne soit faite sur le salaire des enseignants grévistes. Or cette question n’a même pas été évoquée avec le ministère de l’Enseignement.

On ne peut que regretter une telle situation. Défendre les fonctionnaires est une chose, compromettre le bon fonctionnement de l’éducation en est une autre.

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Bonéro Lawson membre de SOS Journaliste en danger agresse un confère dans une église.

Publié le 19 Avril 2013 par @Abdel-L'investigateur

Le Conseil national des patrons de presse (CONAPP) et l’Union des journalistes indépendants du Togo (UJIT) ont déploré jeudi les violences exercées par Bonéro Lawson, directeur de La Nouvelle, journal au tirage confidentiel, sur deux de ses confrères, Kokou Assilenou et David Agboati.

Ces deux organisations professionnelles condamnent le comportement de Bonéro Lawson « qui viole gravement les règles de la confraternité et crée un climat de méfiance aigue dans la corporation ».

Le CONAPP et l’UJIT rappellent qu’aucun journaliste ne peut être agressé compte tenu de la ligne éditoriale de sa rédaction ou pour ses prises de position.

Voici le communiqué publié par les deux organisations

Le Conseil National des Patrons de Presse (CONAPP) et l’Union des Journalistes Indépendants du Togo (UJIT) ont appris avec consternation et indignation les violences exercées par le confrère Bonéro LAWSON, Directeur de la Publication de LA NOUVELLE sur le reporter d’images ASSILENOU Kokou assistant de Tony SODJI, photojournaliste hier Mercredi 17 Avril 2013 aux environs de 13H30 au cours de la messe demandée par la Synergie des travailleurs du Togo (STT) en mémoire du jeune élève tué à Dapaong.

Selon le récit du reporter d’images ASSILENOU Kokou : « J’étais dans l’église quand Bonéro en présence de Justin ANANI s’est approché de moi sur un ton menaçant me demandant de sortir. Tout d’un coup, il s’est jeté sur mon appareil de reportage professionnel de marque NIKON et me poussa de sortir. Etant un chrétien et ne voulant pas perturber un si grand événement, je suis sorti sous son escorte. Aussitôt dehors, il me donnant deux coups de point d’où un dans le ventre l’autre à la figure ce qui a cassé ma lunette médicale et lui a permis de retirer mon appareil photographique, mon enregistreur de marque OLYMPUS. Au même moment il a crié :« c’est l’envoyé de Tony SODJI »et les militants toujours surexcités d’un parti politique dont je préfère taire le nom se sont jetés sur moi avec des jets de pierre suivi des coups de point partout sur mon corps. Même un confère de la radio légende Fm venu à mon secours n’était pas épargné. Nul n’a été l’intervention du doyen PEDRO, je ne saurai mon sort. En partant il me disait d’aller transmettre à mon DG Tony SODJI que bientôt c’est sa maison qu’ils vont mettre à sac ».

Le Conseil National des Patrons de Presse (CONAPP) et l’Union des Journalistes Indépendants du Togo (UJIT) ont également appris que le même confrère Bonéro LAWSON du journal LA NOUVELLE a exercé des voies de violence sur un autre confrère de la rédaction de Radio Kanal FM en la personne de David AGBOATI le même jour et au cours de la même activité saisissant son appareil photo et confisquant sa carte mémoire. Nous avons par ailleurs appris ce matin auprès de la direction de Radio Kanal Fm que le confrère Bonéro LAWSON a restitué la carte mémoire confisquée mais en prenant soin d’effacer toutes les images s’y trouvant.

Le Conseil National des Patrons de Presse (CONAPP) et l’Union des Journalistes Indépendants du Togo (UJIT) condamnent avec la dernière vigueur ces actes d’une autre époque du confrère Bonéro LAWSON qui viole gravement ainsi les règles de la confraternité et crée un climat de méfiance aigue dans la corporation.

Le Conseil National des Patrons de Presse (CONAPP) et l’Union des Journalistes Indépendants du Togo (UJIT) tiennent à préciser qu’aucun journaliste ne peut être agressé compte tenu de la ligne éditoriale de sa rédaction ou pour ses prises de position. Et de surcroit être agressé par son propre confrère et le jetant ainsi à la vindicte populaire.

Au moment où nous luttons et dénonçons les violences exercées par d’autres mains étrangères à la profession contre les journalistes, nous ne pouvons admettre que des journalistes privilégient la violence sur leurs confrères pour quelques raisons que ce soit.

Le Conseil National des Patrons de Presse (CONAPP) et l’Union des Journalistes Indépendants du Togo (UJIT) attachent du prix au libre exercice de la profession et invitent tous les confrères à la retenue, à un sens élevé de responsabilité et surtout à cultiver la confraternité.

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