Au Togo, il y a des individus qui sont atterris dans le métier de journalisme par défaut. C’est une affirmation qui avait suscité des critiques mais dont la teneur n’était pas de nature à battre en brèche les arguments qu’on a avancés.
Il y a environ deux semaines Fredo Attipou journaliste photo reporter a été victime d’un accident sur la route. Très vite certains de nos confrères devenus aujourd’hui des politiciens affichés comme Francis PEDRO, Bonero LAWSON, Ferdinand AYITE, Justin ANANI se sont lancés dans la récupération du malheureux accident en montant toute une histoire qui ne tient pas la route devant un esprit doué de raison.
Se fondant sur les déclarations d’une seule personne, on nous a fait croire qu’il s’agissait d’une agression perpétrée sur la personne de Fredo ATTIPOU par des hommes de main du pouvoir en place.
SOS Journaliste en Danger de Ferdinand AYITE, et RASOJEP d’un certain Sylvio Combey Combetey s’étaient empressés de sortir des communiqués pour condamner cette agression qui en réalité n’a existé que dans l’imagination de certaines têtes.
Durant cette période, j’ai tenu à faire remarquer aux uns et aux autres qu’il régnait au sein de la corporation une tension nauséabonde marquée par un traitement inégal des cas de violence contre les journalistes.
Avec SOS Journaliste en Danger et le SYNJIT, on se fout éperdument qu’un confère comme Tony SODJI soit agressé ou violenté.
De ta ligne éditoriale dépendra du soutien émanent de tes confrères. C’est comme ça au SOS Journaliste en Danger et au SYNJIT. Quand un journaliste est dans une difficulté, avant de bénéficier du soutien des autres, on regarde d’abord sa ligne éditoriale. Et quand celle-ci ne cadre pas avec celle soutenue par les ténors de SOS J Danger, on passe sous silence son cas.
Mais au même moment on est prêt à sortir des communiqués et à prendre d’assaut les antennes des radios pour condamner des agressions qui n’ont jamais existées. Il suffit qu’une mouche effleure un peu un Bonero, ou un Anani ou un Ferdinand que vous les verrez sortir à tout va des communiqués.
Tony SODJI porte encore les séquelles de cette manière de traiter les situations au sein de la corporation. Lorsqu’il a été menacé ouvertement par AGBEYOME et le Georges TOMETTY à la plage de Lomé (les bandes sonores sont encore là) dans le courant du moi de mars, personne au sein de la corporation des journalistes n’a trouvé rien à dire. Pire ce sont les confrères tels Ferdinand AYITE, Zeus AZIADOUVO, Maxime DOMEGNI, TADEGNON, Augustin AMEGA, donneurs de leçons et tous membres de SOS Journaliste en Danger qui ont publié sur les réseaux sociaux les photos de ce journaliste et de sa famille avec des commentaires mettant sa vie en danger.
A l’époque on avait parlé de deux poids deux mesures dans la gestion des cas.
Mais cela ne dérange personne au sein de cette association qui s’apparente plus à un parti politique. Ferdinand AYITE qui la dirige fait bon ce qui lui plait. Aujourd’hui son objectif est d’évincer le CONAPP et l’UJIT. Depuis quelques mois il (Ferdinand AYITE) dirige et coordonne des attaques contre ces deux anciennes organisations.
Il manœuvre par la calomnie et la médisance au sujet de ceux qui dirigent actuellement ces organisations. Partout il passe il se démerde pour présenter ces deux organisations (CONAPP et UJIT) comme non représentatives des journalistes togolais.
Alors si SOS Journaliste en Danger et le SYNJI se veulent les plus crédibles, qu’elles assument donc leur position en faisant preuve d’impartialité dans le traitement des cas.
Si nous dénonçons la partialité des dirigeants de SOS Journalisme en Danger et du SYNJIT c’est que, au fur et à mesure que l’on avance, les faits prouvent que nos inquiétudes sur la division et la déchéance du métier de journalistes sont justifiés.
Voilà, bientôt une semaine que Bonero LAWSON a violement agressé des journalistes au cours de l’exercice de leur profession. Le mercredi 17 avril 2013 lors de la messe pour le repos de l’âme du petit Anselme célébrée à mercredi à l’église catholique Saint Antoine de Padoue de Hanoukopé, ASSILENOU Kokou (assistant de Tony SODJI) et David AGBOATI, journaliste de Radio Kanal FM, ont été physiquement pris à parti par Lawson BONERO.http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Medias/Bonero-Lawson-journaliste-ou-boxeur Le matériel de travail (enregistreurs, appareils photographique et autres) des deux journalistes a été bloqué par ce Bonero aidé dans ce vilain comportement par Justin ANANI, lui aussi journaliste et membre de SOS Journaliste en Danger.
Comme si cela ne suffisait pas, le dimanche 21 avril, LAWSON Bonero qui avait promis d’en découdre avec Tony SODJI est parvenu à ses fins.
En effet le dimanche 21 avril par un hasard, les deux personnes se sont retrouvés dans le quartier Nykonakpoe. Comme il fallait s’y attendre, Lawson Bonero n’a pas manqué cette occasion pour démontrer à son confrère qu’il un vrai pugiliste et que sa venue dans le corps des journalistes n’était qu’une erreur. Tony SODJI a eu al vie sauve que grace à l’intervention des riverains qui ont compris que Bonero gardait une dent contre son confrère puisqu’il avait sur lui une des ses parutions dans laquelle il le livre à la vindicte populaire.
Comment comprendre que depuis là, Ferdinand AYITE, Augustin AMEGAN, Maxime DOMEGNI restent muets face à ce comportement ?
Pourquoi cette divergence dans le traitement des situations portant sur les journalistes. SOS Journaliste en Danger, RASOJEP et SYNJIT cautionnent t-ils le comportement de Lawson BONERO et de Justin ANANI à l’encontre de leur confère Tony SODJI.
Où sont l’objectivité et l’impartialité dont ils se parent dans la rue ?
Notre profession est en péril. Beaucoup d’imposteurs y ont élu siège.
Ferdinand AYITE tout comme Bonero Lawson sont des gens qui dans d’autres pays ne méritent pas de devenir des directeurs de publication. Ils peuvent détenir des actions dans une entreprise de presse, mais on ne doit pas leur confier la direction d’un titre.
Ferdinand AYITE tout le monde connait son parcours au sein de l’UFC et de la NDP. C’est un homme politique née. Bonero LAWSON pareillement.
Ce n’est pas parce qu’on côtoie les journalistes qu’on devient journaliste. Le protégé de Horatio Freitas et Kofi YAMGNANE doit le savoir. Tout le monde sait qu’il est un homme qui a pris la plume par opportunisme. Bonero fait la honte de ses mentors.
Que ceux qui sont venue à la dernière heure se ressaisisse pour que le journalisme au Togo ne devienne pas un métier poubelle.
Les organisations de presse internationales doivent essayer de ramener à la raison certaines personnes. Le journalisme est un métier noble et il ne faut pas qu’à cause de quelques individus, tous les efforts des autres pour harmoniser et relancer la profession tombent à l’eau.