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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

Incendie des marchés : Instruction bouclée

Publié le 29 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, SOCIETE

L’enquête sur les incendies criminels des marchés de Kara et de Lomé en début d’année se poursuit et le dossier ‘a bien avancé’, selon Blaise Essolizam Poyodi, le procureur de la République.

Republicoftogo.com : Où en est-on de l’enquête sur ces incendies ?

Blaise Essolizam Poyodi : Le processus suit son cours normal ; le dossier évolue. Le juge d’instruction poursuit son travail. La population sera bientôt informée.

Republicoftogo.com : Le grand Marché de Lomé est en cours de démolition. Certains affirment que des pièces à conviction vont ainsi disparaître

Blaise Essolizam Poyodi : La démolition du bâtiment ne met pas l’enquête en péril. Nous disposons déjà de tous les rapports réalisés par les experts, des prélèvements et des éléments iconographiques. La justice a ce dont elle a besoin pour mener les investigations.

Republicoftogo.com : Les avocats des inculpés indiquent que le maintien en l’état du bâtiment devait faire partie des éléments du dossier

Blaise Essolizam Poyodi : L’instruction sera bientôt achevée. La justice dispose de tous les éléments dont elle a besoin. Pour le reste, chacun est libre d’avancer ses arguments.

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ISABELLE AMEGANVI COMME PRESIDENTE DU GROUPE PARLEMENTAIRE ANC-ADDI : INSULTE OU PROMOTION DU MERITE ?

Publié le 25 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Les rumeurs sont devenues des clameurs. Ce que bon nombre d’observateurs redoutaient vient finalement de se produire : les députés de l’opposition, notamment ceux ayant pris part aux élections sous les couleurs du CST, viennent d’officialiser la création du groupe parlementaire ANC-ADDI dirigée par Isabelle AMEGANVI, une candidate battue dans son fief. En dépit des mises en garde renouvelées depuis quelques semaines contre les risques d’une initiative forcée, les responsables de l’ANC sont donc allés au bout de leur logique en se constituant en groupe parlementaire sous l’étiquette de l’ANC et de l’ADDI, les seuls partis ayant obtenu des voix à l’assemblée. Démarche suicidaire pour l’opposition toute entière parce que pouvant entrainer à la longue des contrariétés susceptibles d’effriter les murs de l’unité. Comme tout le monde peut le constater, le CST n’a pas seulement permis d’exister en rapportant des voix à l’Assemblée Nationale, mais par le CST, l’opposition a pris conscience des bienfaits de la nécessaire union qui doit prévaloir entre toutes les entités qui se battent pour sortir le pays du joug du régime des GNASSINGE. En créant un groupe parlementaire autre que le CST, les responsables de l’ANC sont donc conscients des risques de destruction de la dynamique unitaire dans laquelle tout le monde s’est engagé depuis lors. Pourquoi vouloir forcément créer un groupe parlementaire ANC alors que c’est sous la bannière du CST que les gens se sont présentés aux élections. Que faisons-nous alors des autres partis membres du CST qui n’ont pas obtenu des voix à l’Assemblée ? Doit-on conclure que ces autres partis n’ont été que de simples figurants, de simples individus dont on s’est servi pour se hisser au rang de leader de l’opposition ? La création du groupe parlementaire ANC-ADDI n’est-elle pas une manière détournée d’exclure les autres composantes du CST ? Cette démarche qui va dans le sens contraire des efforts de cohésion au sein de l’opposition ne confirme-t-elle pas les appétences hégémoniques de l’ANC sur les autres formations de l’opposition ? A la lumière de ce qui se passe, chacun a suffisamment d’éléments pour apprécier la situation. La situation aurait pu être moins grave si elle s’arrêtait là, c'est-à-dire à la seule formation d’un groupe parlementaire ANC-ADDI. Mais le fait de confier la présidence de ce groupe à Isabelle AMENGAVI, battue à plate couture aux élections dans son propre fief de Kpélé-Akata, n’est rien d’autre que la manifestation de la volonté de domination de toute l’opposition par la vieille garde de l’UFC reconvertie en ANC. Isabelle AMENGANVI qui a été proprement battue dans son fief de Kpélé-Akata, siège à l’Assemblée Nationale grâce au jeu des listes. Car en réalité, c’est le résultat du travail de fourmi dirigé par le candidat Louis Ségla dans le Kloto, qui a été ainsi usurpé au profit de cette femme belliqueuse qui, en lieu et place de la campagne électorale, était partie déployer ses cordes vocales à réveiller les démons de la division et de la haine tribale à Kpélé-Bodjé. On se demande si c’est avec fierté qu’elle occupe son siège au parlement puisque d’autres à sa place, auraient préféré céder leurs sièges à ceux qui le méritent véritablement puisque tout est question de confiance, de légitimité, de mérite et de représentation. En lieu et place d’Isabelle AMENGANVI, le candidat Louis Ségla aurait eu plus de mérite et de légitimité puisqu’au-delà de l’audience du parti, l’aura des candidats présentés a été déterminante dans le choix opéré par les électeurs. Certains partis n’ont-ils pas été sanctionnés dans certaines circonscriptions pour avoir osé présenter des candidats que les populations ne portent pas dans leur cœur ? C’est donc dire que c’est par accident que Isabelle AMEGANVI occupe son siège au parlement puisque si elle n’était pas tête de liste dans le Kloto, elle ne siègerait pas à l’assemblée. Tout comme Isabelle AMEGANVI, AGBEYOME Kodjo, n’est pas parvenu à se faire élire dans son fief mais le cas AGBEYOME peut s’expliquer parce qu’il a eu le malheur de perdre dans le Yoto où ses camarades n’ont pas daigné lui apporter leur soutien à un moment crucial des campagnes électorales. Isabelle AMEGANVI au contraire, a eu droit à un appui de taille de tout le FRAC mais cela n’a pas empêché sa base de lui réserver un vote sanction en raison de l’absence d’actions de reconnaissance depuis qu’elle a été élue au scrutin du 14 Octobre 2007. Elle aurait d’ailleurs vu le danger venir puisqu’elle avait tout mis en œuvre pour se faire positionner à Lomé mais cette prétention a été battue en brèche par une poignée de responsables qui ont manœuvré pour la contraindre à retourner nettoyer les écuries dans son Kpélé natal. La direction du groupe parlementaire ANC-ADDI par cette femme est donc une insulte aux autres formations membres du CST et témoigne que l’ANC, voire le CST, ne peut jamais prétendre incarner la vision alternative citoyenne qui pourrait servir de tremplin à l’avènement d’une alternance fondée sur la promotion de l’Etat de droit et la démocratie. C’est une forfaiture qui donne des signaux indéniables sur la capacité des responsables de l’ANC à faire pire que les tenants actuels du régime. Dans un regroupement politique où on délaisse des candidats qui ont reçu l’onction populaire au profit de ceux qui sont en mal de légitimité, qu’y a-t-il de mieux à faire que de promouvoir les médiocres même si cela hypothèque l’avenir collectif? Gérard Adja malgré la caution populaire qui lui a été donnée pour siéger au parlement, se retrouve aujourd’hui comme martyr du fait de la gloutonnerie des apôtres de la médiocrité. Jusqu’où nous laisserons-nous conduire par ce cynisme ravageur qui ne continue que de tapisser la voie à nos adversaires d’en face ?

ISABELLE AMEGANVI COMME PRESIDENTE DU GROUPE PARLEMENTAIRE ANC-ADDI : INSULTE OU PROMOTION DU MERITE ?
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Quand Jean Pierre FABRE titube, Francis PEDRO délire

Publié le 23 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Quand Jean Pierre FABRE titube, Francis PEDRO délire

Quand Jean Pierre FABRE titube, Francis PEDRO délire.

Exercice difficile pour le CST ou disons mieux l'ANC a du mal à communiquer autour de son programme de société, clé de voute de toute formation politique assez sérieuse et qui se veut assez responsable.

Apparemment la question de programme de société met mal à l'aise les opposants du CST qui n'arrivent pas à apporter un début de réponse pour rassurer les détracteurs qui pensent que l'opposition togolaise n'a jamais été sérieuse.

Ainsi prenant toujours les choses essentielles avec légerté , Jean Pierre Fabre n'a pas hésité une seule seconde a débitr à la place publique le samedi dernier que c'est quand il aura le pouvoir qu'il va mettre en place son programme pour conduire ce pays et qu'il s'agissant d'un programme qu'il améliorera tous les jours ...

Au lieu de corriger le tir, Francis PEDRO AMOUZOU le chargé de communication du CST, l'un des doyens de la presse qui a préféré troquer sa journal contre les billets du CST déclare dans la suite de son mentor que :

« Nous avons à l’esprit qu’en prenant le pouvoir, les routes vont être construites par les forces de l’ordre qui perdent leur temps à gazer les populations. Nous allons les utiliser pour faire des activités champêtres après qu’on leur aurait trouvé des tracteurs puisque nous avons beaucoup de terres qui ne sont pas exploitées »

Voilà qui est "bien" dit et qui remet chacun à sa place avec ses idées. Demain ne soyez pas surpris du score du petit devant ces messieurs qui méritent bien qu'on les appelle des aventuriers

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QUERELLES AU SEIN DU CST : ZEUS AJAVON L’HOMME A ABATTRE A TOUT PRIX

Publié le 11 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

L’information est gérée avec beaucoup de discrétion tant l’ambiance était électrique en ce jour de samedi 07 Septembre lors de l’Assemblée Générale élective du nouveau bureau du Collectif des Associations en lutte Contre l’Impunité au Togo (CACIT).

Dans l’arène, deux enseignants s’affrontaient pour occuper ce poste : Zeus Ajavon que l’on ne présente plus, et Spéro Kodjo Mahoulé dont le nom, a priori, ne dit pas grand-chose aux togolais qui ont l’habitude du sensationnel.

A l’entame des opérations de vote que d’aucuns pensaient être juste une formalité pour remettre Zeus Ajavon en scelle, un coup de théâtre vient planter l’assistance : le décompte final révèle un équilibre des voix entre Zeus Ajavon et son concurrent Spéro Mahoulé; un ballottage donc.

Comme l’exigent les règles démocratiques, les choses se mettent en place pour un deuxième tour. Mais d’un coin de la salle, quelqu’un grommelle, et du grommellement, le ton monte et finalement, la personne qui grommelait explose en public : « C’est un complot ! ». Tous les regards se rivent vers le côté d’où venait cette exclamation. Dans le champ visuel de tous, un homme qui ramassait ses affaires comme pour quitter la salle. Il s’agissait bien de Zeus Ajavon. A la surprise générale, il souffle quelques mots à peine audibles à l’oreille d’un des assistants avant de quitter comme un bossu.

Entre désistement et retrait de sa candidature, les officiants ne se sont pas donnés trop de peine avant de plébisciter Spéro Mahoulé à la grande satisfaction d’une grande partie de l’assistance.

A la fin de la séance, les commentaires ont fusé comme en ateliers.

D’aucuns ont interprété la réaction de Zeus Ajavon comme étant la manifestation d’un esprit qui l’aurait envahi comme c’est souvent monnaie courante dans certaines régions de notre pays en cette période de Epé-Ekpé.

Certains quant à eux, pensent que cette réaction n’est qu’une des nombreuses boutades auxquelles Zeus Ajavon est coutumier.

D’autres trouvent que cette réaction n’est que le signe clinique d’un mauvais perdant en désarroi, étant entendu que Zeus n’a réussi à présenter aucun bilan positif durant les nombreuses années qu’il a été au CACIT.

Cette dernière raison aurait été décisive dans la décision prise par certains amis de Zeus qui juraient depuis de lui retirer leur confiance à la toute première occasion qui se présentera.

En effet, il était reproché à Zeus Ajavon d’avoir poussé le CACIT dans des aventures périlleuses au point de mettre le collectif en difficulté auprès de ses partenaires. Ces derniers à un moment donné, avaient de la peine à comprendre les positions floues voire contradictoires des responsables du CACIT dans certains dossiers épineux.

Tout a commencé avec les nombreuses plaintes que Zeus Ajavon a, au nom du CACIT, portées contre Kpatcha Gnassingbé sur les violences postélectorales de 2005.

En 2009, le même Zeus Ajavon qui a engagé des poursuites judiciaires contre Kpatcha Gnassingbé pour des crimes commis en 2005, se constitue pour défendre le même Kpatcha Gnassingbé dans une affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat.

Les partenaires du CACIT ne comprenant pas cette contradiction flagrante faite de mélanges de genres et de pédales, ont sonné les responsables nationaux du CACIT de clarifier leur position au risque qu’ils mettent fin à leur collaboration. C’est sans compter que Zeus Ajavon avait déjà mangé dans les mains de Kpatcha jusqu’à un niveau où il lui était impossible de faire marche arrière.

Face au danger que ce comportement faisait courir à l’association, les autres responsables du CACIT se sont sentis dans l’obligation d’adopter une position ferme pour rassurer leurs partenaires, quitte à mettre Zeus dans une position inconfortable.

C’était d’ailleurs dans cette même ambiance de division que Zeus Ajavon avait amené le CACIT à adhérer malgré lui au CST.

A l’époque, une bonne partie des responsables du CACIT redoutant que leur aventure avec le CST dénature leur statut en tant qu’organisation de la société civile, avait émis des réserves par rapport à cette démarche. Mais Zeus Ajavon a vite fait de recourir au chantage en faisant profiler le risque pour les défenseurs de cette position, de se faire lapider par les militants de l’ANC réputés dans le lynchage de tous ceux qui rament dans le courant contraire aux intérêts de leur parti politique. Pour illustration, Zeus leur aurait servi l’exemple de l’épreuve de lapidation dont Gilchrist Olympio avait été victime à la plage.

Bon gré, mal gré, le CACIT a été faite composante du CST sans que les collaborateurs de Zeus au CACIT ne sachent que le poste de coordinateur général du CST lui avait été promis au cas où il réussissait à porter ce mouvement sur les fonds baptismaux.

Bien plus que ses maladresses et ses négligences au poste de coordinateur du CST, l’on sait toutes les boutades et les goinfreries que Zeus Ajavon s’est permises au nom du CACIT.

Le dernier épisode qui s’est soldé par son humiliation lors de l’élection du 07 Septembre 2013 a commencé par se jouer au lendemain des élections législatives avec la polémique qui a été créée autour de la question de savoir celui à qui revient le titre de chef de l’opposition togolaise.

Il nous en souvient qu’au lendemain de cette élection, les responsables de l’ANC clamaient sur tous les toits que les résultats des élections législatives démontrent clairement que Jean-Pierre Fabre est le chef de fil de l’opposition et que les autres formations politiques qui se réclament de l’opposition ont intérêt à venir s’aligner derrière lui. A l’époque, les formations politiques qui se sont regroupées au sein de la Coalition Arc-en-ciel ont cru à tort qu’ils étaient les principales personnes à qui s’adressaient ces propos. Erreur d’appréciation!

Car Zeus Ajavon est la principale personne que ces propos visaient. C’était pour les responsables de l’ANC, une manière détournée de faire comprendre à Zeus Ajavon qu’il devrait à présent descendre du haut de son piédestal et s’avaliser pour laisser prospérer l’hégémonie de Jean-Pierre Fabre et donc de son parti, dès lors que les résultats des élections législatives de Juillet 2013 le consacrent chef de file de l’opposition.

Pour accélérer les choses, l’idée de la création d’un groupe parlementaire a été injectée au sein de l’opinion par les responsables de l’ANC avec pour objectif d’en mesurer les effets. Voyant le danger venir, Zeus Ajavon, avec l’appui de certains candidats malheureux des autres partis membres du CST, ont mis la presse à contribution pour faire entendre raison à Jean-Pierre Fabre et son parti.

Or, les responsables de l’ANC étaient décidés d’aller jusqu’au bout d’une tactique qu’ils avaient mise sur pied et qu’ils entendaient déployer au cas où les résultats des élections législatives feraient d’eux, les principaux interlocuteurs du pouvoir en place. Cette tactique baptisée « la tactique matricide des ovovivipares », consiste à organiser le deuil du CST dès que l’ANC aurait réussi à prendre son ascension sur les autres formations de l’opposition.

A ce titre, le principal personnage qui fait obstacle à la réalisation de ce plan est bien Zeus Ajavon avec son titre de coordinateur alors qu’il n’a aucune base politique.

Disposant de plusieurs cordes à leur arc, les responsables de l’ANC ont saisi l’occasion du remplacement de la direction du CACIT pour mettre leurs réseaux en branle aux fins de mettre Zeus Ajavon hors d’état de nuire et de le déconnecter de sa structure de base.

Très vite, la connexion a été faite avec certains proches collaborateurs de Zeus qui ont accepté de tirer les ficelles dans le mauvais sens pour que Zeus puisse être éjecté.

Le CACIT est la principale Organisation de la Société civile au sein du CST tout comme l’ANC est la principale formation politique au sein de ce collectif.

A présent que la déconnexion du CACIT a commencé avec l’éjection de Zeus Ajavon, l’ANC, désormais seul maître à bord, peut espérer donner libre cours à sa volonté de créer un groupe parlementaire qui lui laisserait les coudées franches pour agir en son propre nom et non au nom du CST.

La « tactique matricide des ovovivipares » risque donc de réduire indéniablement le CST à une coquille vide, et ce sera sans surprise que ce collectif ira rejoindre le FRAC déjà classé dans les tiroirs de l’histoire.

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L'économie togolaise court de graves dangers avec le Madoff togolais, SAMA Essohamlon

Publié le 9 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Sama DG de Redemare, le Madoff togolais

Sama DG de Redemare, le Madoff togolais

Le MCNP (Marché de Crédit en Nature Pérenne) de REDEMARE risque de plonger toutes l'économie togolaise dans le gouffre si les informations en notre possession se confirment. Commerçants et commerçantes, Journalistes, agents des banques et des micro finance, ils sont nombreux a avoir succombé aux chimères de Monsieur SAMA directeur de REDEMARE. Lorsque que des agents des institutions de micro finance s'associe à une entreprise comme REDEMARE, il y a lieu de craindre le pire pour l'économie togolaise. Les micro finances sont aujourd'hui devenus l'épine dorsale de notre économie et en tant que tel ceux qui gèrent ses structures doivent d'être des personnes honnêtes et responsables devant les millions des francs qui leur son confiés quotidiennement. Si les États-Unis ont frôlé le pire dans les années passées c'est parce que les banques et les traders se sont livrés à des jeux économiques très douteux mettant en péril le système économique de toute la planète. Bien que nous soyons dans un système économique qui autorise tout au nom de la liberté d'entreprendre, il est important de relever que ce n'est pas tous les produits qui sont vendus sur le marché qui sont viables et bons. Le MCNP que SAMA et ses pseudo économistes ont mis en place n'est basé que sur le système Ponzi du nom de ce célèbre escroc américain Charles PONZI qui n'est qu'un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Ici ceux qui ne comprennent rien dans le système me rétorqueront en disant que le MCNP ne propose pas l'argent mais les biens en nature. mais qui est con ? Les biens en nature sont -ils cueillis sur les baobabs au village de KOUMEA de SAMA ?


LE TOGO EST EN DANGER AVEC CE MONSIEUR et SON PRODUIT le MCNP.


Aujourd'hui nous sommes au 09 septembre 2013, je prends à témoin tous les togolais. Si des mesures ne sont pas rapidement prises pour mettre fin à cette entreprise, l'économie togolaise plongera dans une grave crise puisque même les directeurs et employés des structures de micro finance (la base même de l'économie dans les pays sous développés) engagent leurs institutions dans une aventure dont il ignore tous. Approché les employés de REDEMARE et vous comprendrez que le système de SAMA n'est que pure escroquerie. SAMA n'est plus ni moins le MADOFF togolais.
ce que SAMA propose au togolais ne comporte rien de nouveau et rien de très sophistiqué. Ce n'est que de l'escroquerie à la MADOFF.
Frères togolais, réveillez vous avant qu'il ne soit trop tard. Le diable a repris une autre forme c'est tout. Le système de SAMA n'est pas viable. Ne vous faites pas voler deux fois par le même sot. Approchez les économistes et les vrais, réfléchissez par vous même et prenez vos disposition. L'ordinateur est l'ancêtre de la calculatrice. Les journaux complices de cette escroquerie doivent raviser, ceux qui ont accepté la publicité venant de SAMA doivent savoir qu'ils auront participer indirectement à ruiner des familles.

Pour un aperçu de ce que c'est que le système PONZI lisez ceci

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Kofi YAMGNANE donne des coups de boutoir au populiste FABRE

Publié le 8 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique

Décidément Jean Pierre Fabre doit se résoudre à admettre qu'il n'est pas vraiment le bien aimé au sein de l'opposition. Tout le monde conteste son leadership. Voilà donc quelqu'un qui avant même d'arriver au pouvoir, n'arrive pas à créer l’unanimité autour de sa personne.
Après les flèches dégainées par ci et par là au Togo contre sa personne, c'est le tour de quelques voix de la diaspora notamment celle de l'ancien ministre franco togolais de  s'élever l'éternel marcheur de la plage. En effet Kofi YAMGNANE a déclaré lors d'un passage sur les antennes de la Radio Kanal FM que le leader de l'opposition qui soit crédible et consensuel peut être trouver en dehors de Jean Pierre FABRE. Appelant du coût à une remise à plat de toutes les stratégie pour mieux combattre le système de Faure GNASSINGBE. 

Cette sortie qui écorne davantage le statut de FABRE comme chef de fil de l'opposition fait suite à une série de reproche dont est l'objet Jean Pierre FABRE depuis qu'il a déclaré publiquement que c'est autour de lui que devrait se greffer les autres forces pour parvenir à l'alternance.

Bien que schématiquement il est le responsable du parti arrivé en seconde position suite aux élections législative, Fabre dernier est en train de payer chèrement son entêtement et son radicalisme forcené qu'il a toujours affiché depuis qu'il a fait son entré sur la scène politique aux côtés de Gilchrist OLYMPIO. Si ce dernier a à un moment de sa vie reconnu sa fausse route, son ancien lieutenant continue de patauger avec les vielles recettes du radicalisme et de l'éternel refus.

Que peut apporter un tel homme politique dans un combat politique où ne compte pas seulement le nombre de militants drainé quotidiennement dans la rue mais aussi la finesse de l'intelligence, la pertinence des choix ?

Il est de notoriété publique que Jean Pierre Fabre est un homme politique qui souffre cruellement de manque de connaissance en stratégie politique, la seule qu'il connait étant la rue et la quelle d'ailleurs : la plage qui d'ailleurs se désempli de jours en jours sans que l'homme ne veuille changer au moins de point de chutte, histoire de relancer le mouvement . Nul en diplomatie, nul en communication, il est souvent comparé à un simple homme de la rue incapable de prendre de la hauteur et de la mesure dans ses actes. Ainsi même avec ses collègues de l'opposition l'union n'est que légère et fugace. Même si officiellement personne n'a le courage de lui avouer en face qu'il n'est pas l'homme de la situation, dans les coulisses et chacun dans son retranchement sait que FABRE ne parviendra pas à se hisser à la plus haute marche de la nation togolaise. Ceux qui osent le dire publiquement, comme Kofi YAMGNANE qui une fois encore vient d'assener un coup à son ancien allier, savent que les campagnes de dénigrement s'en suivront. Mais ne vaut il pas mieux de dire la vérité à ses amis que de faire semblant de le suivre ? Les autres Leaders de l'opposition doivent suivre l'exemple de Kofi en cessant de jouer à l'hypocrisie devant leur camarade Fabre. Pareil pour les autres membres du parti politique ANC qui ont longtemps côtoyé Fabre et qui savent que ce monsieur n'a pas un destin présidentiel. Vaut mieux tard que jamais. Suivez Koffi YAMGNANE

 

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Les réalités sur la lutte d'influence au sein de la STT

Publié le 2 Septembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans SOCIETE

Depuis quelques jours, une affaire mettant en liaison les responsables de la STT avec Harry Olympio défraie la chronique aussi bien sur le net que sur les antennes des radios privées à Lomé.
Face à la confusion qui règne autour de cette information, il devenait plus qu’urgent d’aller vers les uns et les autres pour avoir une idée nette de ce qu’il en est et situer l’opinion.
Les témoignages obtenus auprès de certains membres du conseil et de la coordination de la Synergie des Travailleurs du Togo (STT) attestent d’une réalité qui échappait jusqu’ici à l’opinion publique : la STT est sérieusement prise en tenaille entre deux principaux courants qui se livrent une guerre silencieuse sans merci.

En effet, à l’analyse des syndicats de base qui se sont regroupés pour former la STT en janvier 2013, il se dégage que ce mouvement syndical repose sur une charpente dominée par trois secteurs : l’administration, l’éducation et la santé.
Les actions du mouvement auraient été lancées sous les auspices des praticiens hospitaliers réunis au sein du SYNPHOT, un mouvement corporatif qui avait effectivement fait parler de lui dans les revendications pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des personnels soignants.

Au fil du temps, le SYNPHOT, précédemment dirigé par le professeur David Dosseh, aurait pris l’habitude d’imposer son idéologie et ses manières de faire à la STT, à la grande désapprobation des membres de ce nouveau mouvement syndical qui relèvent du secteur éducatif. Ces derniers regroupés au sein de l’USET, s’estiment plus nombreux et plus actifs sur le terrain pour se laisser dicter par une poignée de médecins jugés très orgueilleux.

Cette guéguerre aurait donné lieu à de nombreuses crises qui ont été surmontées sans trop de bruit grâce à la neutralité et au tact de la coordinatrice Nadou Lawson qui, en plus d’être une femme à la tête du mouvement, relève, elle, de l’administration.
Il se dit même que les mots d’ordre de grève qui ont été lancés par ce mouvement syndical, étaient beaucoup plus suivis par le corps enseignant ou par le corps soignant selon que ceux qui ont présidé à leur lancement sont de l’enseignement ou de la santé.

Lors des assises qui ont été convoquées pour ramener la sérénité au sein de la coordination, des soupçons de tous genres ont commencé par fuser de part et d’autre.

Les docteurs Walla et Tsolenyanu, poulains du professeur Dosseh et représentants du SYNPHOT au sein de la coordination de la STT, accusent leurs homologues de l’enseignement d’avoir été corrompus par les autorités gouvernementales.
Les enseignants s’insurgent contre cette accusation et estiment pour leur part que les discussions syndicales ne doivent pas donner lieu à un affrontement entre employeur et employé au point de fermer la porte des discussions. A leur entendement, leur démarche devrait leur assurer une certaine progression dans la négociation pour leur permettre de revenir à chaque fois vers la base avec des résultats concrets. Ils estiment que les positions tranchées des médecins s’expliquent par la possibilité qu’ils ont de vivre, en l’absence de leur revenu mensuel, sur de nombreuses ressources provenant de prestations dans des cliniques privées.

Telle était la situation lorsque, courant Juillet 2013, le SYNPHOT, dans l’intention de se retirer de la STT pour continuer seul sa lutte, a envoyé Tsolenyanu au Gabon auprès de Harry Olympio pour redéfinir les termes d’une ancienne collaboration qui existait entre eux.

Ce déplacement qui est resté incompris dans l’esprit des enseignants, aurait été à l’origine de toutes les supputations au point de donner naissance à des affrontements entre certains membres du conseil le 20 Août dernier au siège de la STT. Approché pour obtenir plus d’éclaircissements sur son déplacement sur le Gabon qui fait tant de bruit, Tsolenyanu a préféré se réserver pour réagir en temps opportun.
S’il est vrai que les conflits sont inévitables dans tout groupe constitué, les résultats que la STT est déjà parvenue à obtenir pour les fonctionnaires togolais doivent interpeller ses responsables à mettre de côté les calculs partisans pour sauver tout ce qui peut aller dans l’intérêt commun, comme ils ont déjà eu l’occasion de le démontrer. Dans une pareille atmosphère propice aux manipulations, Nadou Lawson est appelée à faire usage de sa longue expérience de syndicaliste pour faire taire les velléités de part et d’autre et sauver la situation.

SEWONOU Armand K. Farma

 

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