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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

La consécration de la division de la presse au TOGO : Ils sont aux commandes, AYITE MENSAH et Komi Aziadouvo Zeus

Publié le 29 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

La consécration de la division de la presse au TOGO : Ils sont aux commandes, AYITE MENSAH et Komi Aziadouvo Zeus

Grande a été ma déception aujourd’hui à l’occasion de l’Assemblée Générale des journalistes qu’organisait une partie de la presse togolaise.
Deux sujets essentiels étaient à l’ordre du jour : l’inculpation de Komi Aziadouvo Zeus et la loi polémiqué de la HAAC.
Déjà tout est dit et fait : la presse togolaise fait elle le procès de ses propre membres. Le cas de Tony SODJI, journaliste photographe reconnu n’intéresse pas les organisateurs. Cela se comprend, ni l’un ni l’autre n’était disposé à parler de ce monsieur placarder, fiché dans les rédactions comme un traitre.
d’ailleurs, est ce que c’est un journaliste ? c’est un simple photographe. Ces genres de propos, on les a bien entendu sur les radio de la place. Tony SODJI n’est plus un journaliste voilà ce qui justifie son traitement par les « tout puissants » de la corporation : Zeus AZIADOUVO et Ferdinand AYITE.
désormais après la HAAC il faudrait passer par eux pour obtenir son statut de journaliste.
ainsi va ce métier pourtant respecté sous d’autres cieux.
Que serait la presse sans images ?

Une fois encore les nouveaux arrivés dans le métier et pilotant deux organes qui surfent sur l’inculture de la population pour se faire une audience, ont encore participé à la dépréciation du journaliste.
Bah ! je ne comptais pas trop sur toi Ferdinand Ayite encore moins sur le porc de Zeus pour évoquer ce cas abondamment à cette AG !
Mais sachez que l'histoire vous attend au tournant. Il y a des traces de tout ce que l’on a fait qui résisteront à l’usure du temps.
Vous avez livrez un de vos confrères à la vindicte populaire. Vous avez inondé vos colonnes et sur la toile d’articles diffamatoires et incriminant à l’endroit d’un citoyen togolais qui plus est un journaliste.
Si Ferdinand a fait au moins semblant de retirer sur son profil facebook (personnel) l’appel à la mise à mort du reporter (pour le placarder sur son blog peupleobservateur) Zeus a quant à lui décider de régler directement ses comptes à son confrère dans sa propre presse, enchainant publications sur plusieurs jours avec en une la photo de l’homme dont le seul tort est de chasser les images.
Voila comment va le journalisme au Togo.
On se contente du minimum, on se complait dans la médiocrité. Aucun effort vers la cohésion, celle qu’on recherche dans tout corps de métier pour mieux faire face à l’environnement !
Au lieu donc de se remettre en cause, ce vieux porc (Zeus, jugez en vous-même de par sa forme) a préféré cracher son venin sur le reporter qu’il pense être à l’origine de ses déboires avec la justice togolaise.
Le Procureur de la République avait pourtant été clair. Quand une affaire est en instruction, même le journaliste quel qu’il soit doit savoir comment l’aborder. La dépénalisation de la presse n’est pas synonyme d’impunité.
Ce que l’on constate avec émoi c’est cette autosatisfaction à la destruction (du métier) dont fait preuve certains égarés qui croient faire du journalisme.
Nous nous adresserons à toutes les organisations de presse (nationales et internationales) avec les publications des uns et des autres sur ces genres de cas afin que tout le monde sache effectivement ce qui se passe dans la corporation.
Pourquoi dans un corps de métier aussi noble qu’est le journalisme on cultive ouvertement l’esprit de la division et de la haine.
Quand certains journalistes sont agressés dans la rue par les militants et sur des plateaux des radios par des hommes politiques, personne ne trouve à réagir, aucune organisation n’ose condamner. Mais il suffit d’une seule rumeur sur d’autres et vous les verrez déferler sur les antennes, hurler comme des crapauds. Depuis que certains sont venus dans la corporation, les murs de la division que les doyens du métier s’efforçaient à dissiper sont réapparus au grand jour.
Toi Ferdinand AYITE Mensah depuis que tu a crée SOS journaliste en Danger et le SYNJIT, la corporation des journalistes est plus que divisée. C’est bien vrai, ayons le courage de l’affirmer. Depuis quelques temps les murs de la divisons sont réapparus et grandissent à une allure inquiétante. Dans tes structures que tu diriges en y exerçant une influence directe sur les membres, on fait plutôt l’apologie de la désunion. On encourage directement les actes de haines et les propos diffamatoire ce qui tu t’en doutes sape les efforts des uns et des autres pour sauver ce qui peut l’être dans une corporation qui se meurt.
Le journalisme n’est pas née avec toi, monsieur AYITE ni avec Zeus.
Avant vous, les gens se sont battus au pris de leur vie pour arracher la liberté d’expression sous l’ère du timonier Eyadema. Depuis que Faure est arrivé au pouvoir combien de journaliste ont été emprisonné ?
Savez-vous combien l’ont été sous Eyadema.
Vous devez procéder à une analyse de votre propre comportement à l’égard des autres qui ne pensent pas comme vous : soit vous décidez de vous conduire en homme immature en posant des actes qui ne contribuent pas à donner une bonne aura de votre métier ou bien vous revenez sur terre et, avec toutes les composantes du monde des médias, on s’assoit pour repenser le journalisme togolais.
Les organisations internationales de presse se moquent trop de nous ces derniers temps parce que nous agissons exactement comme les politiciens. Bien que notre travail soit celui de communiquer, nous ouvrons trop nos bouches pour détruire nos confrères qui ne partagent pas notre opinion. Nous devons nous en tenir à notre strict rôle : informer et éduquer.
On a marre de lire des attaques et des contre attaques personnelles dans nos presses. J’en ai marre et souvent honte de voir que ces papiers traverseront nos frontières.
On ne doit pas agir en politicien : quand on estime qu’un confrère a mal agit, on se doit de lui faire des reproches avec confraternité et sagesse afin que notre métier ne soit pas la risée de l’opinion.

Soit on décide de faire du journalisme ou de la politique, les deux ensembles c’est impossible.

Ferdinand AYITE et Zeus, est ce que vous vous êtes une fois posée la question de savoir pourquoi vos manifestations que vous organisez finissent comme celles des partis politiques de l'ANC, c'est-à-dire par la répression ? Je ne veux pas parler de leur opportunité. Je dis est ce que vous avez remarquer que toute les fois que vous sortez dans la rue, vous faites l’objet de répression ?
Logiquement vous êtes des gens intellectuels (même si d’entre vous deux personnes n’a fait le journalisme à proprement parler. C’est peut-être au Togo que vous pouvez avec vos diplômes de sociologie et d’histoire, vous retrouvez dans le journalisme). Ce n’est pas peut-être votre faute. Vous avez occupez l’espace laissé vacant parce qu’il revient à l’Etat de produire des journalismes. S’il existait une école de journalisme au Togo digne de ce nom, vous peut-être, vous ne serez pas là, parce que vous n’avez pas fait ces études.
Aujourd’hui on a un brin d’espoir parce que l’ISICA et l’ESTAC tentent de combler le vide. Mais là encore vous qui vous paradez dans les rues comme des journalistes, vous faites piètre prestation et cela risque de marquer les générations futures. Ce qui veut dire que le Togo ne connaîtra pas le vrai journalisme dans un avenir proche si rien n’est fait pour recentrer le rôle de chacun.

Tout récemment vous avez conduit un vieux retraité à la marche où il s'est retrouvé avec une mâchoire déboitée : tout ceci aurait pu être évité si le raisonnement et la réflexion avaient pris le pas sur l’instinct d'agitateur politique que vous avez acquis durant vos longues années de militantisme a l'UFC (à l'époque). Je ne veux pas ici rappeler le parcours politique de Ferdinand AYITE. Une autre occasion nous sera offerte. Mais ceux qui ont milité dans l’UFC de Gilchrist avant 2010, savent que ce garçon était le prototype du militantisme aveugle. Bon c’était entre parenthèse. Ah j’espère que tu as encore quelques rudiments du kung-fu ! Tu en auras besoin surement pour finir avec Tony SODJI si les chiens de l’ANC ne l’ont pas jusque là achevé. Ah ! le pauvre Tony, j’imagine qu’il ne dort plus à la maison à cause de ces propres confrères à qui il n’hésitait pas à rendre service au péril de sa vie.
Jurez que Tony ne vous a jamais rapporté des images.
Aujourd’hui au lieu d’aider le confrère, de l’aider à se défendre, c’est plutôt vous qui le noyeaz, lui et sa famille.
Vous estimez aujourd’hui qu’il n’est pas un journaliste mais un simple photographe comme il y en a partout dans tous les coins de la ville.
Pour vous le journaliste c’est seulement celui qui écrire un article. Ah oui, ce n’est pas de votre faute. Le Togo c’est aussi ça. Donc à vos yeux celui qui chasse les images pour ensuite les mettre à la disposition des organes de presse n’est pas un journaliste donc peut être traité comme tout vulgaire citoyen.
Et pourtant il a suffit d’une simple engueulade avec un blanco, pour que Ledoux se la coule douce en France. Tony SODJI tu souffres aujourd’hui parce que quelque part quelqu’un n’a pas bien fait son travail. Tu n’es nullement pas responsable des mésaventures de Zeus AZIADOUVO. Tout le monde traine des casseroles, hey, attention, le Togo est un petit pays.

Source : Thierry A.

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Après Gaston Edeh et Gaston Vidada, il veut la peau de Tony SODJI.

Publié le 29 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

Après Gaston Edeh et Gaston Vidada, il veut  la peau de Tony SODJI.

Agbeyome KODJO profère des menaces de mort contre le journaliste reporter Tony Sodji.

Et bien, les « démoncrates » à l'œuvre.

Après avoir trainé dans la boue par ses propres confrères, Tony se trouve être au centre des préoccupations diaboliques de l'ancien Premier Ministre Agbeyome KODJO, assassin du Député Edeh Gaston

Agbeyome KODJO, ce nom toujours associé à des affaires sordides, est l’homme qui tire les ficelles partout dans cette affaire d’incendie.

Grand manipulateur recruté pour servir et soutenir le régime chancelant du vieux Eyadema à l’époque, AGBEYOME n’a jamais perdu ses réflexes malgré son nomadisme politique qui l’a amené a fondé son propre parti politique qui souffre toujours d’impopularité criarde eu égard au passé sulfureux de cet accroc à la cigarette et à l’alcool.

On a encore en mémoire la mort tragique du jeune Gaston VIDADA avec qui il a eu de démêlés judiciaires ayant entre-temps entraîné la dissolution du parti OBTUTS.

L'ancien premier ministre, commanditaire du massacre de Fréau Jardin n'a jamais pardonné à Gaston VIDADA cet affront qu'il lui a fait subir.

Habitué à commanditer des crimes, pour beaucoup de personnes la mort de Gaston VIDADA porte la signature du Président de l’OBUTS. Comme quoi les Gaston n’ont pas droit de vie devant Gabriel.

Gabriel Agbeyome KODJO ne signe pas ainsi son premier crime sur la terre de nos aïeux. La famille du député Edeh Gaston garde encore des souvenirs très amers de l'entrée de notre pays dans l'ère du multipartisme.

Les actuelles menaces qui planent sur le journaliste reporter Tony SODJI sont à prendre au sérieux parce que, celui qui est à la manœuvre n'est pas un enfant de chœur malgré ses pleurs lors de la Conférence Nationale dite Souveraine.

S'il a réussi à gravir rapidement les échelons dans le pouvoir du Général Eyadema, c'est parce que l'enfant de Tokpli était un homme capable de tout voire de l'impossible.

Aujourd'hui encore, les anciens ténors de l'opposition (AGBOYIBOR et GNININVI) souffrent toujours de la cruauté d'Agbeyome Kodjo ; un aliéné mentale qui trahit ses amis et ses frères pour se hisser au sommet au prix de les faire tuer.

Des qu'il se retrouve devant un dilemme, il cherche un bouc émissaire à qui il va faire porter le chapeau. Présentement c'est tout trouver c'est Tony SODJI qui l’a mis dans le pétrin des incendies. Et pourtant il avait sablé du champagne quand le marché de Lomé brûlait ; Cigarette à la bouche, vers 01h de ce fameux samedi noir, alors que tout le monde accourait vers le grand marché, le grand manitou , à travers un tweet sur son compte se livrait à cœur joie de ce que le pays deviendrait ingouvernable pour son adversaire.

Que Dieu éloigne du peuple Togolais ces genres d’individu maléfique.

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HARRY OLYMPIO rattrapé par l'histoire

Publié le 28 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

HARRY OLYMPIO rattrapé par l'histoire

Des sources proches de la justice indiquent que des manœuvres seraient actuellement en cours pour réactiver le dossier d'accusations contre Harry OLYMPIO, ancien ministre sous Eyadema aujourd’hui exilé à l’étranger (plus précisément au Gabon) suite à des attaques organisées contre la gendarmerie nationale togolaise.

On se souvient qu’en 2006 la gendarmerie togolaise avait subi une très violente attaque au cocktail Molotov.
Les personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête avaient clairement indiquées qu’elles ont agit pour le compte de Harry Olympio.
Redoutant sans doute la prison eu égard à la gravité de ces accusations, le cousin au leader historique de l’opposition d’alors avait pris la poudre d’escampette se retrouvant comme son oncle à l’époque, en exil politique.
Ses récentes interventions publiques ont probablement conduit la justice togolaise aidée sans doute par le Ministère de la Sécurité du Colonel YARK Damehane, celui là qui était à l’époque le Commandant de la Gendarmerie Nationale, a réactiver le dossier d’accusation trublion politique.
Harry Olympio est attendu de pied ferme par le Capitaine AKAKPO qui se fera le plaisir de l’interroger sur son rôle dans les attaques contre le camp de gendarmerie de Lomé.

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Incendies des marchés de Kara et de Lomé : Jean-Pierre FABRE joue à la roulette russe

Publié le 28 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

Incendies des marchés de Kara et de Lomé : Jean-Pierre FABRE joue à la roulette russe

Le Togo est un pays bizarre où il se passe, malheureusement et trop souvent, des choses étranges.

Depuis les incendies des grands marchés de Kara et de Lomé, beaucoup d’eau a coulé sous le pont.

L’enquête en cours a permis d’interpeller et d’écrouer de nombreux suspects. De même, certains présumés coupables ont été interpellés, mis en examen, placés sous contrôle judiciaire et laissés en liberté à cause de la présomption d’innocence.

Mais l’interpellation et l’inculpation de Jean-Pierre FABRE a sonné le glas à l’impunité insolente dont le président de l’ANC a toujours joui jusqu’à présent dans sa carrière politique mouvementée, désordonnée et faite de rebondissements fantasmagoriques.

Dans l’opinion, ses fans ont toujours cru que Jean Pierre Fabre est au-dessus de la loi et qu’il n’était pas possible de l’interpeller et de l’inculper. C’est toujours ainsi lorsque pour des raisons folkloriques, certains citoyens privilégient le mythe à la réalité tout simplement parce qu’ils prennent leur rêve pour réalité.

Et ce n’est pas fini. Après son inculpation, Jean-Pierre FABRE aurait fait parvenir à la rédaction de certains journaux réputés proches de son parti, une supposée lettre qui lui aurait été adressée directement par le Sieur Toussaint TOMETY arrêté depuis le 18 janvier 2013 et actuellement placé sous mandat de dépôt mais gardé à la Gendarmerie Nationale. Il convient ici de noter que si l’intéressé avait été transféré à la prison civile de Lomé, on aurait cru qu’il ait pu disposer de facilités pour écrire et envoyer sa lettre à Jean-Pierre FABRE qu’il aurait préalablement dénoncé. Or, il se trouve qu’il est toujours gardé à la Gendarmerie. Avouons qu’il faut être téméraire sinon insensé pour écrire contres ses geôliers au moment où l’on est encore entre leurs mains. Toux ceux qui ont été gardées à la Gendarmerie savent qu’écrire une lettre à la Gendarmerie n’est pas une sinécure. En l’espèce, si ce qui est dit est vrai, il s’agirait d’un véritable tour de force. Dans ce cas nous tirons chapeau à ce gibier de potence.

Au-delà de ces considérations d’ordre général, ce qui a le plus retenu notre attention, c’est que, Jean-Pierre FABRE que la lettre publiée disculpe, n’a pas jugé nécessaire, en l’état actuel de l’enquête, de la verser au dossier comme pièce maîtresse pour sa défense.

Et les journalistes qui on eu ce document sous la main n’ont pas hésité à en publier une interprétation fantaisiste alors qu’une information judiciaire est ouverte contre son auteur supposé. L’inculpation de notre confrère Zeus AZIADOUVO nous a perturbé par ce que l’authenticité de cette lettre peut être sujette à caution. Ce qu’il avait affirmé n’engage que lui. C’est là où le bât blesse. Et tous les journalistes qui gèrent le dossier des incendies doivent savoir que lorsqu’une affaire est en instruction, il faut prendre les précautions d’usage nécessaires en la circonstance d’autant plus que le risque de la violation du secret d’instruction est réel et grand.

Nous savons tous que Jean-Pierre FABRE est coutumier des situations abracadabrantes qui lui permettent de s’illustrer sur le plan politique comme une victime et se mettre en vedette. Jean-Pierre Fabre aime faire monter les enchères à cause de son égo démesurer.

En ce qui nous concerne, nous pensons que cette affaire de lettre ne prouve strictement rien et que c’est un épisode de plus.

Nous attendons la suite de l’enquête pour nous prononcer. Car ce n’est pas la presse qui a pour rôle de blanchir les présumés coupables. Tout ce qui se dit et se propage dans les journaux répondent à des préoccupations hautement politiciennes alors que nous sommes dans un dossier éminemment criminel. Nous osons croire que les éléments concordants qui ont permis l’arrestation et l’inculpation de Jean-Pierre FABRE et tant d’autres n’émanent pas de Toussaint TOMETY seul. De même, le doyen des Juges d’instruction ne peut pas se fier aveuglement aux auxiliaires de Justice que sont le Capitaine AKAKPO et ses collaborateurs.

Nous avons lu la lettre en question et nous avons relevé certaines incohérences frappantes mais une fois encore, nous nous refusons de commenter un document qui à notre point de vue, peut être un couteau à double tranchant. En faisant publier cette lettre, Jean-Pierre FABRE a fait la démonstration de ses propres carences. Ce qui fait dire qu’il joue à la roulette russe. Les conséquences peuvent s’avérer suicidaire pour lui. Dans une affaire criminelle, il ne faut pas se faire des illusions. Il suffira d’un moindre détail pour faire tout basculer.

Si les juges instruisent à charge et à décharge, nous ne perdons rien à attendre le jugement qui peut encore apporter des éclaircissements nécessaires et des surprises de taille. Que n’avons-nous pas entendu dans le dossier KPATCHA ? Et c’est seulement au jugement que tout le monde a compris ce qui s’était réellement passé. Le mea-culpa de KPATCHA en est une illustration.

Si Toussaint TOMETTY revient sur ses déclarations antérieures, d’autres retournements de situation sont possibles. Car un menteur n’est jamais cru même lorsqu’il dit la vérité. Son revirement à 180 degrés qui a provoqué tant de remous médiatiques, n’est que le reflet de la personne inculpée. Lorsqu’on mange du haricot avec les enfants, il faut s’attendre à voir le dos de sa main sali d’après un proverbe de chez nous.

Cette affaire de lettre adressée à FABRE est pour nous, un épiphénomène et un jeu de poker menteur destiné à amuser la galerie en attendant mieux. Ce n’est pas une affaire du siècle. C’est une tempête dans un verre d’eau. La suite nous édifiera.

Rodrigue Combat du Peuple N°747 du 25 mars.

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La politique par omission : Fabre se moque des Togolais

Publié le 28 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

La politique par omission : Fabre se moque des Togolais

Interrogé le lundi 18 mars sur radio Victoire FM au sujet de l’appel lancé par le CST et les autres partis de l’opposition pour inviter les Togolais à aller s’inscrire sur la liste électorale, alors qu’ils ont refusé de désigner leurs représentants à la CENI et ses démembrements c’est à dire les CELI, Jean Pierre FABRE a déclaré : « j’appelle nos militants à la vigilance. » Cette réponse laconique dénote de sa ^part un sens évident d’irresponsabilité.

En effet, la politique est un tout. Elle ne doit pas se faire de façon sélective ou parcellaire. Se faire inscrire sur une liste électorale est le premier pas vers l’élection. C’est un acte citoyen certes pour tout Togolais, mais c’est aussi un processus politique pour l’acteur politique. Un acteur politique ne peut pas compter sur la vigilance des électeurs pour ne pas se faire représenter au sein des structures qui ont vocation à organiser les élections. Le refus de désigner leurs représentants à la CENI et aux CELI est synonyme de la politique par omission. C’est le lieu de dire, sans ambages, que Fabre se moque des Togolais parce qu’il fait injure à leur intelligence. La démarche de Fabre et les siens ne peut s’expliquer que par le fait qu’ils préparent le terrain pour une contestation future, sans aucune preuve, de la liste électorale issue de ce recensement. Le Togo a besoin d’homme politiques responsables, réaliste et dignes qui nourrissent de l’ambition pour leur pays. Le Togo n’a pas besoin de négationniste toujours en quête d’alibis pour contester ce qui se fait pour le plaisir de le faire. Fabre est obnubilé par la fraude mais force est de constater qu’au jour le jour, il ne fait concrètement rien pour limiter ou juguler les fraudes éventuelles. Faire croire à l’opinion que Faure et son parti ne peuvent pas gagner à la loyale une élection au Togo, c’est méconnaître la réalité sur le terrain aujourd’hui. Fabre et les siens se sont fait hara-kiri et puisque en politique, les effets boomerang d’une faute sont immédiats et instantanés, les membres du CST sont en train de découvrir, à leur dépens, qu’à force de s’amuser avec le feu, on se brûle fatalement le doit.

Abuser de la liberté d’expression ne peut conduire qu’à la liberté de répression dès lors que la loi est violée.

Tout récemment, au Kenya, au terme du scrutin présidentiel, le système électronique mis en place à grands frais n’a pas fonctionné. On est revenu au seul système manuel, mails le perdant a emprunté la voie de la légalité pour contester et on attend la suite. C’est cela, la responsabilité d’un homme politique qui aime son pays. Fabre, le pyromane, n’est pas dans cette logique. Pour lui tout est bon pour mettre le feu. Nous ne parlons pas des incendies qui ne sont qu’un événement de dernière heure. Depuis qu’il était à l’UFC, Fabre a toujours troublé l’eau pour y pêcher. Pour lui la politique consiste à voir le piège partout et à laisser l’adversaire jouer seul sous prétexte qu’il fait de l’antijeu.

Pour notre part, nous considérons que l’opposition togolaise n’existe que de nom puisqu’elle n’est pas capable de faire ce qu’elle doit faire au moment qu’il faut.

Elle ne se donne pas les moyens de ses ambitions. Elle joue à la cigale « la cigale et la fourmi » de la Fontaine. Cette façon de faire la politique ne peut conduire qu’à l’échec et à l’impasse. C’est ce que nous vivons tous les jours au Togo.

Rodrigue dans Combat du Peuple N°747 du 25 mars.

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MENSONGE EHONTE DES LEADERS DE L'ANC AU SUJET LOUM

Publié le 27 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

MENSONGE EHONTE DES LEADERS DE L'ANC AU SUJET LOUM

Depuis quelques jours, toute l'actualité politique du pays s'est focalisée sur la fameuse lettre qu'aurait envoyé Mohamed Loum à Jean Pierre Fabre leader de l'ANC. Dès la publication de cette lettre, les responsables du Cst ont commencé par crier à la victoire. Pour les uns, les personnes interpellés doivent être libérés mais pour d'autres, il y a nécessité de prouver l'authenticité de cette lettre et moi, je me situe sur cet angle d'où ma question: Fameuse lettre de M. Loum à J. P. Fabre: révélations, manipulations ou mensonges? Depuis que cette histoire de lettre est lancée dans le public je me suis posée plusieurs questions: Peut-on attribuer sans se tromper la paternité de cette fameuse lettre à Mohamed Loum? Par quel canal la fameuse lettre est-elle parvenue à Jean pierre Fabre? L'existence de cette fameuse lettre disculperait-elle les inculpés aujourd'hui?
Voici quelques questions que je me pose afin d'être plus éclairé dans cette affaire des incendies. Tout compte fait moi je reste pessimiste quant à l'authenticité de cette lettre. et en plus, il n'est pas aisé d'écrire et de faire acheminer une correspondance manuscrite soit-elle à une tierce personne sans préalablement avoir reçu l'aval des autorités pénitentiaires qui sont tenus d'en prendre connaissance et d'en juger surtout l'opportunité.

Il est alors nécessaire que les autorités judiciaires se saisissent rapidement de cette affaire en confrontant les deux acteurs principaux: Fabre et Mohammed Loum

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De nouveaux commissariats sur toute l'étendue du territoire pour plus de sécurité

Publié le 16 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

Une police de proximité, mieux implantée à Lomé et plus réactive. C’est l’objectif du ministre de la Sécurité, Yark Damehane. La capitale comptera bientôt 9 commissariats de quartier et les habitants disposeront d’un numéro unique, le 115, pour appeler les services de sécurité. Ces dispositions devraient à terme concerner l’ensemble du Togo.

Voici le communiqué publié par le ministère de la Sécu

Dans le souci d’optimiser la couverture sécuritaire du pays et rendre les services de sécurité plus accessibles aux populations, certaines mesures pratiques ont été prises. Il s’agit de la réorganisation du déploiement de la police nationale et la mise en service d’un numéro d’urgence 115.

Dorénavant, en plus du commissariat central, la ville de Lomé est organisé organisée en 9 commissariats d’arrondissement de police dont trois nouvellement créés à Adamavo, Logopé et Adidogomé.

D’autres commissariats d’arrondissements sont créés à Atakpamé, Sokodé et Kara. L’implantation de ces nouveaux commissariats de police répond au souhait du gouvernement de rapprocher les services de sécurité des populations.

Aussi, pour permettre aux populations de joindre facilement les forces de police et de gendarmerie, il est mis en service, un numéro d’urgence gratuit à savoir le 115.

A compter du 15 mars 2013, aussi bien à Lomé que dans toutes les préfectures, il est possible de joindre en cas d’urgence la police ou la gendarmerie en composant le numéro 115 à partir des réseaux Togocell et Moov puis bientôt d’un téléphone fixe illico. Sa mise en service ne met pas un terme aux 117 et 172 et aux numéros araignée.

S’agissant du 118 (secours incendie), si l’appelant se trouve à Lomé ou dans la préfecture de la kozah, il a directement accès aux centres de secours des sapeurs pompiers de Lomé ou de Kara.

Lorsque l’appelant se trouve dans une autre préfecture, son appel sera reçu au commissariat ou à la brigade de gendarmerie au chef lieu de la préfecture d’où il émet.

Dans tous les cas, en composant le 118 à partir d’une localité couverte par les réseaux de la téléphonie, l’appelant tombera sur une unité des forces de sécurité.

Le ministre de la sécurité et de la protection civile saisit l’occasion pour appeler au sens de la collaboration de patriotisme et de civisme de la population afin d’aider les forces de sécurité dans les missions. Il invite les uns et les autres de s’abstenir de tout usage abusif des numéros d’urgence ainsi mis leur sa disposition

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Petits rappels sur les fondements de la démocratie

Publié le 10 Mars 2013 par @Abdel-L'investigateur

Se faire recenser sur les listes électorales afin de pouvoir voter est un devoir civique. C’est une démarche qui n’est pas dictée par des consignes émanant de tel ou tel parti politique.

Mais ça, Jean-Pierre Fabre, le chef de l’ANC, semble l’avoir oublié.

Lors de sa manifestation hebdomadaire à laquelle assistaient quelques dizaines de badauds, il a déclaré : « Inscrivez-vous sur les listes électorales. Tout le monde doit avoir son nom sur les listes. Mais sachons que l’inscription n’est pas synonyme du vote. Nous devons séparer le recensements des élections ».

On rappellera également à M. Fabre que ni lui, ni les autres responsables politiques, ne sont propriétaires des voix des électeurs togolais.

Des élections législatives et locales seront organisées dans quelques semaines au Togo.

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La lutte démocratique est une lutte qui doit être inscrite dans le temps et non vouloir tout au même moment

Publié le 4 Mars 2013 par Linvestigateurtogolais

La lutte démocratique est une lutte qui doit être inscrite dans le temps et non vouloir tout au même moment

La lutte démocratique est une lutte qui doit être inscrite dans le temps et non vouloir tout au même moment. Les occidentaux sont tous passés par des étapes avant d'arriver au stade où ils sont actuellement. La soif d'un véritable état de droit ne doit pas être confondue avec des positions très radicales. Malheureusement, le constat est amer qu'au Togo certains pensent qu'ils sont les seuls détenteurs des voix et moyens pour aboutir à un État de droit. Je veux nommer le parti ANC avec ses satellitaires. Aujourd'hui, il y a unanimité pour dire que le parti ANC est victime de sa position trop radicale.

Un grand responsable du parti ANC a confié en coulisse à un grand homme politique de ce pays qu'ils sont arrivés à une partie où ils ne peuvent plus se reculer sinon le peuple va les traiter de tous les noms. Cet homme a continué en donnant l'exemple de Gilchrist Olympio qui selon lui n'est que coquille vide aujourd’hui. Il a terminé en disant qu'il veut apporter un changement dans leur lutte mais il a peur d’être rejeté par leurs compagnons de lutte et par le peuple aussi.

Voilà là ou le radicalisme peut amener. Un leader est celui là qui sait donner la direction à suivre quand il le faut et expliquer à ses partisans le pourquoi ce changement. C’est ce qui a manqué au niveau de l'Ufc avec le déchirement qui a conduit à la création de l'ANC

On constate amèrement que l'ANC au lieu de conduire ses partisans est devenu aujourd'hui un otage de ses propres partisans.

Même quand Jean pierre Fabre a envie de raconter le président Faure, il ne peut pas car il a peur que ses partisans vont le traiter de traite ou de vendu. C'est triste là ou l'ANC est arrivé aujourd'hui.

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