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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

Kpatcha BASSAY, DG de CENTRO réagit suite au rapport du CST, ramassis d’absurdités pour semer de la confusion au sien de l’opinion.

Publié le 27 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie, Politique

Mise au point de MR Kpatcha Bassayi, Directeur Général de l’Entreprise CENTRO, sur les accusations graves et infondées du Collectif Sauvons le Togo sur les incendies des marchés de Kara et de Lomé

 

Le 11 novembre 2013, le Collectif Sauvons le Togo(CST) a rendu public un soi-disant rapport sur l’incendie criminel des marchés du Togo dans les nuits

des 10 au 11 janvier 2013 à Kara et du 11 au 12 janvier 2013 à Lomé. « Rapport » qui a été repris dans les colonnes de certains médias privés de la place. Ainsi, à la lecture de ce que le collectif sauvons le Togo appel une contre-enquête, mon nom a été cité parmi ceux que le CST considère comme étant les principaux instigateurs de cet acte criminel. « Au terme de ces investigations qui lui ont permis de collecter, de recouper et de vérifier de nombreuses informations, le CST rend public ce rapport d’enquête qui permet de confirmer, de manière formelle et indiscutable, que l’incendie criminel des marchés de Kara et de Lomé relève bien d’une machination politique orchestrée par de hautes autorités togolaises, donc, membres du régime UNIR/RPT. On compte parmi ses instigateurs : ….4°) Mr Raoul Kpatcha BASSAYI, Directeur général (DG) de l’entreprise de bâtiments et travaux publics CENTRO ».

En attendant d’examiner d’autres voies contre les auteurs de ce « rapport »,

je tiens à préciser ceci :

1- Les accusations dont je fais l’objet dans ce soi-disant rapport sont graves et dénuées de tout fondement. Elles n’apportent d’ailleurs aucune preuve. Et donc, je tiens à démentir de façon formelle mon implication dans une quelconque préparation et / ou exécution des incendies des marchés de Kara et de Lomé.

2- Un rapport d’enquête respecte un certain nombre de principes de base. Et le plus connu de tous est le recueil de la version de celui -là qui est cité ou soupçonné d’avoir participé au crime. Je n’ai jamais été approché par le CST, ni par sa cellule d’enquête sur les incendie s des marchés de Kara et de Lomé. Même si j’avais été approché, j’auraitrouvé à redire, car le CST n’est pas une unité d’enquête à ce que je sache. Et donc je considère que ce « rapport » est un ramassis d’absurdités pour semer de la confusion au sien de l’opinion.

 

3- Depuis les années 90 jusqu’à ce jour, j’ai toujours joué ma partition en tant que citoyen togolais qui aime son pays, en apportant ma petite contribution. Et donc je ne peux détruire ce que j’ai contribué à construire. Car mon éducation ne me le permet pas.

 

4- Quant au fait que je sois un bras droit de Mme Ingrid Awadé, la Directrice Générale des Impôts, et que je suis un proche du régime, laissez-moi vous dire, Messieurs les membres du CST, la vie est un choix. J’ai choisi d’appartenir à UNIR et à travailler pour ce parti, parce que je suis convaincu des actions de son Président Fondateur pour le développement du pays. C’est donc un choix que j’assume et je ne le regrette pas. J’en suis d’ailleurs fière.

 

5- Enfin, je voudrais en toute humilité joindre ma voix à celles de nombreuses personnes, pour apporter ma compassion et ma solidarité aux commerçantes et commerçants des marchés de Kara et de Lomé

qui ont vu leurs marchandises emportées par les flammes de ces incendies criminels. Seul l’éternel Dieu saura les calmer dans cette épreuve difficile. Quant au CST et à ses responsables auteurs du soidisant rapport, nous pensons que ce n’est pas la peine de procéder à une fuite en avant. Car, comme le dit un adage, « le mensonge se lève tôt, mais la vérité finie toujours par le rattraper en un seul t rait ». A mes proches et à tous ceux qui ont été touchés en voyant mon nom cité dans ce soi-disant rapport, qu’ils en soient rassurés. Je reste tel qu’ils m’ont connu. Dévoué et ayant un amour pour le travail.

Fait à Lomé le 26 novembre 2013

Raoul Kpatcha BASSAYI,

Directeur Général de l’Entreprise CENTRO

 

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Une mise au point du CST qui confirme le cafouillage dans son rapport d’enquête sur les incendies : Officier de police KPEMISSI ou Officier de police adjoint BIMIZI ?

Publié le 27 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie, Politique

Le décryptage de Peter Tchalawou et les nombreuses critiques sur le rapport d’enquête du CST sur les incendies sèment la panique au sein des responsables de ce mouvement. Ce rapport d’enquête a été sujet à beaucoup de commentaires venant aussi bien des membres de ce collectif que des journalistes et observateurs de la scène politique togolaise.

Jugé plein de contradictions et de légèreté, il avait fait l’objet d’un décryptage sérieux et assez objectif de la part d’un journaliste qui s’est appliqué à relever cinq zones d’ombre qui jettent du discrédit sur sa fiabilité et les procédures mises en œuvre pour aboutir à son élaboration.

Au rang de ces zones d’ombres figuraient les fantômes cités comme instigateurs des incendies de Lomé et de KARA.

En guise d’illustration, le cas de l’officier de Police KPEMISSI avait été soulevé suite à une mise au point que le Commissaire KPEMISSI Paya avait faite pour situer l’opinion sur les accusations gratuites portées contre sa personne par les auteurs de ce rapport.

En guise de réaction, Me Zeus Ajavon avait crié sur tous les toits, notamment sur Victoire FM, que le rapport d’enquête du CST n’a pas fait mention d’un commissaire de police KPEMISSI mais de «L'officier de police KPEMISSI, chargé des audiences du Président de la République, Faure Essozimna GNASSINGBE à Kara, en service au Commissariat de Police de Kara, originaire du même village de Pya que le Président de la République dont il est un parent. Cet Officier, un des principaux exécutants de l'opération de l'incendie du marché de Kara, a suppléé le Commissaire TCHALLA, commissaire central de la Police de la ville de Kara qui est habituellement l'homme des basses besognes du régime UNIR/RPT dans cette ville mais qui n'a pas pu prendre part aux réunions de formation du complot parce qu'il était malade..." »

Aussi miraculeux que cela puisse paraître, le CST dans sa mise au point du 26 Novembre 2013, ajuste les choses en indexant plutôt « l’Officier de police adjoint BIMIZI (et non KPEMISSI), en charge de la gestion des audiences du président de la République Faure Essozimna GNASSINGBE à Kara » comme étant un des instigateurs de l’incendie de Kara.

Comme pour donner raison au décryptage de notre confrère Peter Tchalawou, le CST vient par cette mise au point confirmer que le présumé officier de police KPEMISSI cité dans son rapport d’enquête, est réellement un fantôme qu’il a vite fait de substituer par l’Officier de police adjoint BIMIZI qui, lui, serait physiquement repérable.

Sans trop chercher à savoir le contenu des autres inquiétudes soulevées par Peter Tchalawou et certains observateurs de la scène politique togolaise, cet acte de plus vient confirmer l’improvisation, l’amateurisme et la légèreté de ce travail d’enquête du CST dont le contenu et la qualité demeurent sujets à caution.

Qu’est-ce que les responsables du CST voudraient-ils faire comprendre aux populations togolaises et à l’opinion internationale ? La mise au point du 26 Novembre 2013 qui apporte de nouveaux éléments à la compréhension sera-elle annexée au rapport d’enquête publié le 11 Novembre 2013 ou s’agit-il d’un travail à reprendre ? Dans leur déclaration du 26 Novembre 2013, les responsables du CST ont demandé au procureur ou au doyen des juges d’instruction à qui le rapport original a été transmis, « d’y faire suite conformément aux dispositions de l’article 195 du code pénal relatif à la dénonciation de criminels ». Doit-on comprendre que le procureur ou le doyen des juges d’instruction devraient se référer aux journalistes pour se procurer une copie de la mise du 26 Novembre 2013 au risque d’aller interpeller un certain officier de police KPEMISSI qui n’existe nulle part au Togo ?

 

 

Une  mise au point du CST qui confirme le cafouillage dans son rapport d’enquête sur les incendies : Officier de police KPEMISSI ou Officier de police adjoint BIMIZI ?
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Urgent : LE CST EN REUNION DE CRISE §

Publié le 26 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie, Politique

LE CST EN REUNION DE CRISE !

Suite aux déballages et aux rétropédalages survenus depuis la publication de leur rapport, le Collectif SAUVONS LE TOGO traverse une zone de forte turbulence avec des vagues de critiques qui font craindre le pire pour l’avenir de cette organisation atypique. Pour sauver le peu d’unité qui reste au sein du groupe, le coordonnateur du CST, celui-là même qui du haut de son titre d’avocat a tenté sur les médias de redresser les maladresses contenues dans ce rapport, a appelé ses collègues à une réunion de crise ce matin même au centre CESAL (à la Paroisse des Saints Martyrs de l'Ouganda à Tokoin). La piètre qualité du rapport et le manque de preuves matérielles pouvant étayer une argumentation solide contre les actions en justice qui s’annoncent, auraient poussé les acteurs du CST à revenir en arrière pour tenter de corriger ce qui peut l’être. Si sur le plan national les voix se sont élevées pour exprimer publiquement les désaccords, au sein de la diaspora, on a plutôt opté pour une démarche beaucoup plus pédagogique mais non moins vexatrice pour enjoindre les responsables du CST à plus de professionnalisme et de rigueur dans leur combat de tous les jours. Point n’est besoin de rappeler l’ambiance qui prévaut actuellement au sein du Collectif où visiblement, Me AJAVON semble être l’objet de manipulation de la part de l’ANC, principale organisation politique présente au sein de ce regroupement.

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Le Rapport d'enquête du CST qui devient un article de commerce : les 19 pages à 1000 FCFA

Publié le 25 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur

Un rapport d’enquête qui devient un article de commerce

Aussitôt la publication du rapport d’enquête du CST sur les incendies des marchés de Lomé et de kara, un comité de gestion a été spontanément créé avec Claude Améganvi comme trésorier principal. Ce comité de gestion avait pour rôle de récupérer l’argent issu de la vente de ce rapport dont une multitude de copies avait été faites et mises en vente aussitôt sa publication. Les marches suivies de meetings des 16 et 23 Novembre 2013 avaient été de vraies occasions de débouchés où ce rapport avait été vendu à 500FCFA le 16 et à 1000FCFA le 23 Novembre 2013. De là, la question reste de savoir si ce rapport est un ouvrage destiné à la vente ou s’il s’agit d’un travail scientifique destiné à éclairer l’opinion sur les vrais auteurs des incendies qui ont endeuillé nos mamans des grands marchés. La question vaut son pesant d’or quand on sait que dans cette affaire se sont invitées des personnes reconnues cupides comme Claude Améganvi qui, il y a un an, s’était définitivement désolidarisé du CST le 15 Novembre 2012 pour désaccord de principe. Lire l'analyse claire et objective du rapport du CST sur le blog de Peter

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Faussément mis en cause dans le rapport du CST, le Commissaire KPEMISSI réagit à travers une déclaration

Publié le 21 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur

Croyant être en possession du scoop du siècle, certaines rédactions se sont précipitées pour publier le rapport du CST au contenu aussi imaginaire que diffamatoire et mensonger.

Voici l'exemple d'un commissaire qui se voit cité dans le rapport de Claude AMEGANVI et Ajavon ZEUS comme auteur des incendies à KARA voir extrait ci contre.

Réaction du  COMMISSAIRE KPEMISSI K. Paya  que laude AMEGANVI et Ajavon ZEUS présentent dans leur rapport comme  chargé des audiences du Président de la République à Kara en service au commissairiat de police de Kara principal exécutant de l'incendie du marché de Kara.

 

Lomé ce 18 Novembre 2013

Déclaration:

Suite au rapport du CST sur les incendies des marchés de Lomé et de Kara dont certaines autorités ont été cités dont moi-même comme étant les auteurs, informations parues dans certaines presses, entre autres, le Correcteur du 14 Novembre 2013, Liberté, du 12 Novembre 2013 ; etc….

J’ai l’honneur de déclarer ce qui suis : Moi commissaire de Police KPEMISSI K. Paya, en service de Police à Lomé, déclare n’avoir jamais servi au Commissariat de Kara ; et encore moins chargé des audiences du présidence de la République.

Je demande donc que ces allégations soient rectifiés par les presses qui ont fait cette diffusion.

Commissaire de Police KPEMISSI K. Paya

Faussément mis en cause dans le rapport du CST, le Commissaire KPEMISSI réagit à travers une déclaration
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Les correspondances de GOGUE et de Clumson-Eklou ETSRI à Zeus AJAVON

Publié le 20 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie, Politique, Incendie Togo

Copie du mail de Aimé GOGUE à Zeus AJAVON sur sa position et celle de ADDI vis-à-vis du "rapport d'enquête" du CST sur les incendies des marchés.

Ci-dessous le fac similé de la correspondance de Simeon Etsri Hihedeva Clumson-Eklu en réaction à la figuration de son nom et celui de son organisation (ATDH) parmi les signataires du rapport du CST sur les incendies des marchés.

Source: http://www.focusinfos.net/index.php?option=com_content&view=article&id=1746%3A2013-11-20-16-00-02&catid=2%3Apolitique

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Etsri Clumson et Aimé GOGUE suivent les pas d'Agbeyome KODJO. Ils prennent leur distance vis-à-vis du rapport du CST

Publié le 20 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie, Incendie Togo, Politique

Etsri  Clumson et Aimé GOGUE suivent les pas d'Agbeyome KODJO. Ils prennent leur distance vis-à-vis du rapport du CST

Embarqué sans son consentement comme co-auteur d’un rapport d’enquête sur les incendies du Grand Marché de Lomé et de Kara, publié par le CST (Collectif Sauvons le Togo) au cours de sa conférence de presse du 11 novembre dernier, le patron du parti au symbole du football, Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo, a exprimé son étonnement à un de nos confrères sous le couvert d’une confidence. Nous avons par devoir rapporter cette information qui nous a valu des anathèmes et des condamnations des amateurs de sensations. Nous fûmes traités de magiciens et torpilleur du grand Collectif Sauvons le Togo qui s’est donné comme noble ambition de sauver le Togo et de l’inscrire définitivement dans les nations modernes démocratiques, où la gouvernance vertueuse viendrait mettre un terme définitif à la misère et à l’injustice qui ont érigé droit de cité au Togo. Nous étions loin d’imaginer que nous ouvrons là un véritable feuilleton à rebondissement.

 

Face aux condamnations qui fusaient de partout sur les réseaux sociaux qui traitaient le Président National de OBUTS, Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo, de coupable d’un acte de déloyauté vis-à-vis du CST pour des raisons obscures, celui-ci entrepris de rendre public sur la toile la mise au point qu’il adressa à Me Zeus Ajavon pour dénoncer la légèreté de la démarche et le caractère discourtois à l’égard de l’entité politique qu’il incarne au sein du CST. Il apporta ainsi confirmation du scoop dont nous sommes à l’origine dans ce qu’il convient désormais d’appeler AJAVONGATE qui embarrasse l’opinion car il est impensable que le CST puisse s’embarquer dans une aventure de ce genre avec tant de désinvolture et de misère prudentielle.

La confirmation de cette légèreté vient en début d’après-midi de ce mardi 19 novembre de la part du patron de l’ADDI (Alliance Démocratique pour le Développement Intégral), le professeur Aimé Tchaboré Gogué qui, au travers d’une correspondance (courrier électronic)qu’il aurait adressée au Coordonnateur du CST, Zeus Ajavon, fait constater que suite à la publication du courrier du natif de Tokpli à l’endroit du CST, qu’il est logé à la même enseigne que Agbéyomé Kodjo, et a fustigé cette gouvernance et affirmé que le patron de OBUTS avait raison fondamentalement de marquer ses distances par rapport à un dossier dont il est totalement étranger. Aimé Gogué n’a signé ce rapport et ignore tout de ce rapport et n’a obtenu la moindre explication avant sa publication. C’est ce qui ressort de cette correspondance citée plus haut. Outre cette sortie de l’ancien Doyen de la faculté des Sciences Economiques de Lomé, député à l’Assemblée nationale dont le parti est membre du FRAC de Jean Pierre Fabre, c’est le tour du Président de l’ATDH (Association togolaise pour les droits de l’Homme), Etsri Hihédéva Clumson-Eklu, membre du CST de confirmer n’avoir signé aucun rapport, contrairement aux allégations qui faisaient de lui co-auteur du prétendu rapport d’enquête du CST. Contacté par un membre de la rédaction de Telegramme228, il a déclaré qu’il se réserve la conduite à tenir dans les prochains jours et a d’ailleurs promis fournir quelque document au cas où il se décidait à intenter une action en justice. Il faut signaler que Me Zeus Ajavon depuis son éviction du CACIT a trouvé refuge au sein de son organisation dans laquelle il assume désormais le poste de 2ème Vice-Président. Au moment du bouclage de cet article, d’autres informations qui nous sont parvenues indiquent que l’ASSVITO (Association des Victimes de Torture au Togo) que dirige provisoirement le Kao Atcholi depuis l’incarcération du Commandant Olivier Poko Amah à la prison d’Atakpamé, n’aurait pas non plus eu connaissance de ce rapport avant sa publication.

Nous poursuivons nos enquêtes et reviendrons vers vous dès que nous aurons de nouveaux éléments de ce dossier. La question que tout le monde se pose est de savoir, est-ce un canalur, un coup politique ? Quand on sait que c’est autour de ce rapport que le FRAC a organisé son dernier meeting à la plage en exigeant la traduction en justice des barons du régime impliqués dans cette sale affaire. A suivre !

 

G.K, Lomé Source : | Horizon news

 

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L'étau se resserre, inexorable, sur Zeus AJAVON et le CST !

Publié le 19 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie, Politique, Incendie Togo

DAVID IHOU

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Me ZEUS AJAVON est une "calamité juridique ", tout comme ses confrères Jil-Bénoît Afangbédji et Raphaël Kpandé- Adzaré, tous les trois, membres fondateurs du " Collectif Sauvons le Togo " ! J'ai lu leur rapport relatant la soi-disant " contre-enquête ", dans le torchon de Zeus AZIADOUVO, à qui j'ai décerné récemment la " médaille de l'imbécilité journalistique "… De sources concordantes, l'étau se resserre sur les signataires du rapport de cette blague juridique pondue par le tricheur du concours d'agrégation du CAMES (selon Forum) !

A) Sur les points III.2, intitulé " Sur les motivations du complot "

1°) Il faudrait être con comme un sabot pour croire le CST, qui accuse Mme AWADE Ingrid Nana, de vouloir s'accaparer le terrain sur lequel est bâti le grand marché de Lomé, qui est une propriété de l'Etat et de la municipalité de Lomé ! Si le Dr IHOU voulait s'accaparer ce terrain, je propose au gouverne- ment de lui racheter ce terrain pour vingt milliards FCFA, avec pour obligation, de construire un nouveau marché de la même capacité que l'actuel, dans un délai de deux ans ! Je fais faire le plan du nouveau marché que je fais publier et demande aux commerçant(e)s de pré-louer les magasins et les échoppes ! C'est ce qu'a fait un fauché guinéen, en construisant un " moll " à MADINA ! Tout le monde a couru pour prendre livraison des magasins, en payant trois, cinq, dix, vingt ans de pré-loyer ! Le record a été battu par un commerçant qui a payé 50 ANS de loyer d'avance pour ses enfants ! Le propriétaire du projet a trouvé deux fois le prix de son moll, sans dépenser un sou !

Mme Awadé INGRID est plus intelligente que tous les signataires du rapport bidon de ZEUS AJA- VON et aurait procédé ainsi, étant donné qu'elle est proche du régime! Pas besoin de faire brûler le marché de Lomé ! Directrice des Impôts depuis quelques années, elle a sensiblement augmenté les recettes fiscales du gouvernement, et sait exactement combien les femmes et commerçants du marché versent chaque année comme Impôts dans ses services ! Les femmes du grand marché ne sont que des locataires et non propriétaires des lieux ; Si l'Etat décide de vendre, elles déguerpissent après un pré- avis de deux ans par exemple ! L'esprit confus et diffus des signataires du rapport n'a pas l'intelligence minimale pour penser que Mme Ingrid AWADE, n'a aucun intérêt à ce que le marché de Lomé brûle ! C'est donc par pure jalousie que ces minables du CST signataires du rapport s'en prennent à Mme AWADE!

2) L'argument stupide du CST est que les femmes financent l'opposition !

Zeus Ajavon, les femmes du marché financent le pouvoir, et non l'op- position, et ce, depuis Sylvanus OLYMPIO ! Exemple concret : pour financer le cinquantenaire de l'indépendance du Togo, c'est une commerçante du marché qui a préfinancé cash, pour 230 millions, l'achat des pagnes qui ont servi au défilé du cinquantenaire, sur toute l'étendue du territoire national ! Une autre femme a payé cash, pour 140 millions, des pagnes et des gadgets hauts gamme, pour faire des cadeaux aux chefs d’Etat étrangers, aux dignitaires, aux diplomates ! Chers amis j'étais le Président de la Commission " PAGNE-LOGO-GAGDETS " du CPDC, qui a organisé les festivités du cinquantenaire, et je sais de quoi je parle ! Mieux, ZEUS AJAVON, sais-tu combien les femmes du marché ont financé UNIR pendant les dernières législatives du 25 juillet dernier, malgré l'incendie des marchés de Kara et de Lomé? Si je te le disais, tu vas aller demander des miettes pour faire des implants capillaires,…si tu veux, bien sûr ! Et tu sais pourquoi les femmes font cela ? Par esprit commercial, tout simplement, pour 90 % d'entre elles ! Quand tu seras Président, les femmes te financeront aussi, pour avoir par exemple, facilement, des marchés d'Etat de trois, quatre, cinq milliards de Francs ! CAPITO, Maître ? Dire donc que Mme AWADE est jalouse des femmes du marché parce qu'elles financent l'opposition, ce sont des niaiseries que seuls les dirigeants du CST peuvent débiter aux esprits confus et diffus de certains togolais ! Messieurs du CST, si les femmes du marché finançaient l'opposition, pourquoi le candidat de l'ANC, Jean- Pierre FABRE, était tellement fauché, à la dernière élection présidentielle de 2010, qu'il a fallu que ce soit un chef d'Etat ami de Faure Gnassingbé, qui lui donne des sous pour faire sa campagne électorale, bien sûr, naïf Zeus AJAVON, après avis favorable ? Si deux commerçantes de Lomé pouvaient sortir cash, 370 MILLIONS pour l'opposition, Fabre pourrait même s'acheter un hélicoptère de campagne !

 

B) Sur les points III, 3.1 : Des exécutants

A propos des " sept artificiers, véritables militaires professionnels ", il faut nous donner les noms, leurs No matricules ! C'est cela qu'on appelle une enquête, Me AJAVON ! Il faut donner aussi les noms des " miliciens du parti au pouvoir UNIR/RPT adjoints aux militaires professionnels " ! En plus, vous donnez la chronologie des faits comme si vous y étiez acteur ! Où étiez- vous cette nuit-là Zeus AJAVON ? Êtes vous sûr que vous ne faites pas partie du commando, ou que vous n'avez aucun de vos hommes parmi eux ? C'est la question que vous posera le procureur, le jour du procès !

C) Sur le point III.3.4 de votre contre-enquête, vous vous êtes enfoncé dans la bêtise et l'idiotie, en reliant l'affaire des incendies des marchés, avec des miliciens " au service de Toyi Gnassingbe, demi- frère du Président de la République ", alors que vous êtes l'avocat de son frère jumeau dans l'affaire d' " atteinte à la sûreté de l'Etat " !

D) Concernant Toussaint TOMETY, alias Mohamed LOUM, Mr le grand avocat Zeus AJAVON, pourquoi dans tout ce grand Lomé, c'est cet individu seul qu'on a " arrêté le 18 janvier, par des éléments de la SRI de la gendarmerie, qui l'ont sauvagement torturé pour lui arracher de fausses déclarations mettant en accusation des responsables et militants du Collectif Sauvons le Togo… " ! Pourquoi ces éléments n'ont pas plutôt arrêté ta mère ou ta femme ? Ce serait plus crédible pour leurs accusations !

E) A propos du Général ATCHA TITIKPINA, chef d'Etat-major des FAT. Messieurs du CST, un chef d'Etat-major Général d'une armée africaine a une prime annuel- le colossale ! Dans un pays voisin, c'est trois milliards CFA ! C'est six milliards dans un autre pays ! En France, c'est au moins vingt millions d'euros ! Tout ceci en dehors de leur salaire, qui est le plus élevé de tous les salaires publics, civils et militaires, à part ceux du Président de la République, du Premier Ministre, du Président de l'Assemblée Nationale et de certains directeurs de certaines sociétés d'ETAT ! Pourquoi un tel officier va tremper, selon vous, dans un incendie de marchés ? Vous marchez sur la tête, Maître !...

En conclusion : L'étau se resserre sur le CST ! Si j'étais le procureur, je vous poserai la question suivante, à votre procès :

" Qui a donné le nom " les derniers tours de Jéricho " aux manifestations du CST des 10, 11, et 12janvier 2O13 ? Et pour quel but ? " Et je ne vous lâcherai pas tant que vous ne me donnerez pas une réponse satisfaisante ! Moi, je vois une pluie de procès vous tomber sur le cul…à moins que vos 8 accusés (cinq officiers des FAT et trois civils) vous prennent pour des clowns et vous disent :

" Laissez mourir les cancres de leur propre poison ! "

Dr IHOU

LE MÉDIUM N° 0102 DU 19 AU 25 NOVEMBRE 2013
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Mise au point d'Agbeyome KODJO

Publié le 18 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans incendie

Maître Ata Zeus AJAVON
Coordinateur Général
Collectif Sauvons le Togo (CST)
LOME

Lomé, le 15 Novembre 2013

Monsieur le Coordonnateur Général du CST,

Nous avons lu avec beaucoup d’intérêt et une attention soutenue le rapport d’enquête relativement aux incendies de Lomé et de Kara rendu public le 13 novembre 2013 par le Collectif Sauvons le Togo, au cours de sa conférence de presse au Centre Communautaire de Bè, sous votre présidence effective.

Le Bureau Politique de OBUTS constate non sans étonnement que notre formation politique n’a été nullement associée ni à la résolution du Collectif Sauvons le Togo, tendant à entreprendre des investigations sur la cabale politico-judiciaire dont les leaders de notre Mouvement citoyen sont victimes. Elle n’a été non plus associée à aucune des étapes relatives à la collecte des informations ayant conduit à la production du rapport et à sa publication.

Le caractère délicat de cette mission voudrait qu’en amont soit pris en compte le rôle et la position de notre formation politique au sein de notre Mouvement citoyen afin de requérir sa pleine adhésion au travail d’investigation visant à situer les responsabilités dans cet important traumatisme national.

Pire ce n’est qu’à cinq minutes avant l’ouverture de la conférence de presse que les émissaires de la formation politique OBUTS ont été informés du contenu du rapport rendu public. Jugez-en par vous-même !

Il faut utilement rappeler que dans ce procès en sorcellerie, qui les priva de liberté pendant plusieurs mois, dans des conditions inhumaines et dégradantes, décriées par les organisations internationales de droits de l’homme, les procédures d’interpellation des deux premiers responsables de OBUTS furent rocambolesques, et contraires aux dispositions du code de procédure pénale.

S’agissant de l’ancien Premier Ministre, Président National de OBUTS, la procédure de levée de son immunité parlementaire liée à son statut d’ancien Président de l’Assemblée nationale, a été pour le moins cocasse, en ce que le mis en cause ne fut ni entendu par la commission parlementaire, sur les présumées charges qui lui sont reprochées, et que la notification de la délibération de l’Assemblée nationale, ne lui fut pas signifiée avant son enlèvement à son domicile, en violation de la procédure établie en la matière et consignée dans le règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

De plus les éléments du service de renseignements et d’investigation, qui ont illégalement investi son domicile pour l’extraire de force furent dépourvus, de mandat d’amener et d’avis de perquisition du siège du parti, et de son domicile d’où ils emportèrent son matériel informatique qui est toujours séquestré dans les locaux de la gendarmerie jusqu’à ce jour.

Pourtant un mandat de dépôt sera délivré contre sa personne par le Doyen des Juges d’instruction pour présomption de complicité de destruction de biens publics, pour des faits qui lui sont totalement étrangers. Il passera quarante (40) jours dans l’univers carcéral dans des conditions inhumaines et dégradantes que la pudeur interdit de décrire dans le menu détail.

Quant au Premier Vice-Président, il fut enlevé à sa sortie de messe le dimanche 13 Janvier 2013, alors qu’il était en compagnie de ses enfants, au lendemain du décret créant la commission d’enquête chargée de faire la lumière sur cette tragédie. Plus cocasse son enlèvement intervint au moment même où le Procureur de la République, n’avait pas encore émis aucun avis d’interpellation, dans le cadre de ce dossier. Il passera six (6) mois de détention à la gendarmerie nationale, et ne sera libéré qu’à la veille du scrutin législatif du 25 juillet 2013, auquel il prit part.

De ce qui précède il appert que la formation politique OBUTS a payé un lourd tribut dans cette cabale politico-judiciaire qui marqua d’un sceau particulier la volonté du régime en place de réduire l’opposition démocratique au silence, et la tenir à l’écart du dernier scrutin législatif.

Au regard du lynchage médiatique et de l’acharnement politico-judiciaire qu’elle a subie, la formation politique OBUTS ne peut que légitimement s’interroger sur les raisons pour lesquelles elle ne fut pas associée au travail d’investigation, de compilation et de publication des résultats de l’enquête dont s’agit. Elle aurait pu faire des observations utiles pour renforcer le travail d’investigation visant à éclairer l’opinion publique nationale et internationale.

Dans le contexte actuel, le Bureau Politique de OBUTS ne peut que s’étonner qu’on fasse d’elle la signataire d’un rapport dont elle ignore les tenants et les aboutissants car personne n’a sollicité ni son avis, ni son consentement avant de lui conférer subitement le statut de co-auteur de cet important rapport.

Il importe donc qu’une mise au point soit faite pour relever le caractère discourtois et illégal de cette démarche contraire aux principes et aux valeurs qui ont structuré jusque dans un passé récent le fonctionnement de notre Mouvement citoyen.

Le Bureau Politique de OBUTS tout en saluant l’idée d’apporter un autre éclairage sur la crise du feu au cours de laquelle les marchés de Kara et de Lomé ont été détruits en janvier 2013, demande qu’il y ait plus de communication interne sur des initiatives d’une telle portée qui requièrent un respect scrupuleux de la procédure. Il y va de notre commune crédibilité et de la qualité de notre dynamique de groupe !

Assuré de votre compréhension et dans l’attente des explications qui fondent une telle entorse aux principes élémentaires de droit de votre part, je vous prie d’agréer, Monsieur le Coordonnateur Général du CST, l’expression de nos sentiments citoyens et républicains.

Le Président national
Agbéyomé KODJO
Copies :
Chancelleries
Avocats

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On enregistre des plaintes contre Agbeyome Kodjo, Jean Pierre Fabre, Afangbedji, Zeus Ajavon

Publié le 15 Novembre 2013 par @Abdel-L'investigateur dans Politique, incendie

Incendies des marchés du Togo: Accusé dans l'enquête du CST, le Directeur de l’aéroport s’inscrit en faux contre le rapport et porte plainte

Togo - Le rapport sur les incendies publié par le CST pourrait lui causer des ennuis judiciaires. Les personnes mise en cause dans le rapport commencent par réagir et le premier est le Directeur généra de Société Aéroportuaire de Lomé Tokoin (SALT). C’est le lundi dernier que le Collectif Sauvons le Togo (CST) a sorti son rapport d’enquête sur les criminels incendies des marchés de Lomé et de Kara. Un rapport, le CST accuse plusieurs personnalités dont le Directeur de la Société Aéroportuaire de Lomé Tokoin (SALT).

Dans son rapport, le CST accuse Kogoé Sylvère Akrima comme étant le fournisseur du kérosène qui a servi aux incendies et qui a été prélevé sur le stock de la base chasse de l’aéroport international de Niamtougou.

Vu la gravité de l’accusation, ce dernier a au cours d’une rencontre avec certains journalistes rejetter  tous ce qui lui est reproché par le CST dans son rapport.
« Je démens catégoriquement et officiellement avoir participé de près ou de loin à la préparation et/ou à l’exécution des incendies qui ont ravagé les marchés de Kara et de Lomé. Je constate que le CST a cru utiliser mon poste de Directeur général de la SALT pour rechercher ma personnalité dans les incendies. En affirmant que j’ai prélevé du kérosène sur le stock de la Base Chasse de Niamtougou, le CST a fait preuve d’une ignorance totale des pratiques sur les plateformes aéroportuaires », a déclaré Sylvère Akrima.
« A force de vouloir d’abord identifier le coupable et lui coller par la suite une justification maladroite, le CST a oublié que la SALT ne dispose ni de Stock de kérosène ni d’une quelconque mainmise sur le kérosène. Il est connu de toutes les personnes de bonne foi que le kérosène est géré sur les plateformes aéroportuaires par les sociétés pétrolières qui les livrent directement aux aéronefs suivant un protocole. Au Togo, ces compagnies sont Total Togo, Shell Togo et Corlay Togo (MRS), a ajouté le Directeur de la SALT.

Sur ce, le Directeur de la SALT annonce avoir déposé plainte devant le procureur de la République contre les signataires du rapport qui a été publié. Il s’agit de Zeus Ajavon, Etsri Clumson-Eklu, Jil-benoît Afangbédji, Kao Atcholi, Francis Pédro Amuzun, Jean Pierre Fabre, Agbéyomé Kodjo, Aimé Gogué, Abi Tchessa, Abass Kaboua et Claude Améganvi.

Sylvère Kogoé Akrima ajoute qu’aucune intervention d’où qu’elle vienne ne saurait arrêter le cours de la plainte. « Si les mots honneur et responsabilité signifient encore quelque chose pour le CST, il lui revient d’apporter la preuve de mon implication dans les incendies des marchés de Kara et de Lomé », a conclu le Directeur de la SALT.

source : www.icilome.com
 

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