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Abdel Moustapha

Découvrez l'inforamtion cachée, le fruit d'une longue investigation. Abdel Moustatpha vous livre sans tabou ce que les médias traditionnels vous cachent

Un SDF (sans domicile fixe) dans les rangs du CST : Claude AMEGANVI le pauvre !

Publié le 14 Mai 2013 par @Abdel-L'investigateur

Un SDF (sans domicile fixe) dans les rangs du CST : Claude AMEGANVI le pauvre !

Claude AMEGANVI le pauvre !
Le Président du Parti des Travailleurs (PT) vient d’être expulsé en catastrophe du domicile qu’il occupait jusqu’ici à HANOUKOPE par une sœur religieuse pour non paiement de loyer.
Claude AMEGANVI qui a été relancé plusieurs mois durant pour s’acquitter du paiement de ses dix mois d’arriérés de loyer, a fini par être mis à la porte manu militari ce dimanche 12 mai 2013.
Les nombreuses promesses faites par le leader du Parti des travailleurs, en comptant sur des fonds qui devraient provenir d’Europe et d’Amérique, n’ont jamais été tenues. Se sentant désabusée, la sœur religieuse a mis ses menaces à exécution. Toute notre compassion au Président du Parti des Travailleurs qui se retrouve de ce fait en situation de SDF.

Officiellement c’est la version qui est servi aux uns et aux autres mais les investigations auprès des voisins nous ont révélé une autre facette de l’histoire, qui risque de faire grand bruit dans les jours à venir.

Il semble donc, qu'en dehors des arriérés de loyer que doit Claude AMEGANVI, son expulsion tient aussi au fait qu'il se livrerait à des pratiques charlatanesques dans le local qu'il a loué. D'après les riverains, il se livrerait à des sacrifices bizarres les nuits et son expulsion est intervenue suite aux plaintes des riverains.

Aux dires de la sœur religieuse, elle aurait pu fermer les yeux sur la question des huit mois d'arriérés si Claude Améganvi n'avait pas transformé sa maison en sanctuaire où se déroulent des pratiques aux antipodes de sa foi chrétienne.

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Une passion morbide, l'opposition togolaise à l'oeuvre...

Publié le 12 Mai 2013 par @Abdel-L'investigateur

Toute mort est un drame même si elle s’orne de l’espérance de la vie éternelle. A plus forte raison quand elle survient dans des circonstances dramatiques ou injustes. C’est pourquoi le décès de tout être humain est encadré par une stricte procédure juridique de façon à séparer les morts naturelles des morts délictuelles ou criminelles.

On comprend donc que le décès en prison d’un des inculpés dans l’affaire des incendies exige une enquête approfondie qui ne laisse à l’écart aucune investigation et aucune hypothèse.

On comprend en revanche difficilement la passion morbide qui inspire certains. On les sent presque heureux lorsqu’un drame survient. Ils s’en emparent comme d’un étendard pour crier haut et fort la responsabilité du pouvoir en éliminant toute autre incrimination.

Il leur faut des drames pour charger la barque des gouvernants.

Le simple accident de la circulation est transformé en attentat.

Le désarroi suicidaire est imputé au pouvoir.

Les microbes et les virus sont considérés comme des alliés de l’exécutif.

Quand un enfant est injustement tué par l’acte déviant d’un policier, on oublie de s’interroger sur la responsabilité de ceux qui ont jeté des gamins dans les rues.

Quand des personnes sont incarcérées selon les procédures légales dans l’affaire des incendies des marchés, on fait le silence sur tous les drames humains que ces tristes évènements ont générés.

La politique est faite par les vivants pour les vivants.

Elle doit respecter la vie humaine et honorer les défunts.

Elle ne doit pas être une passion morbide qui en viendrait à souhaiter de nouveaux morts pour s’en servir de courte échelle dans une hypothétique conquête du pouvoir.

Koffi Souza

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Contre-Amiral Fogan ADEGNON, le choix stratégique de Unir pour battre l'opposition dans son propre camp

Publié le 9 Mai 2013 par @Abdel-L'investigateur

Contre-Amiral Fogan ADEGNON, le choix stratégique de Unir pour battre l'opposition dans son propre camp

L’opposition croit avoir Bè en otage CDI. Non ! Il faut t démontrer le contraire à l’occasion des législatives. Pour se faire, le candidat doit être un vrai natif de Bè et qui jouisse d’une très bonne obédience auprès de la communauté Bè. Un seul nom répond à ces exigences : Le Contre-Amiral Fogan ADEGNON. De par son charisme, cet homme a su s’imposer au sein de la communauté Bè. Et pour preuve, en cumulant son poste de DG du Port à celui de la Mairie, aucune voix discordante n’est sortie de Bè pour s’élever contre cet état de fait. Mieux, c’est par milliers que les Bè défilent dans son bureau pour le féliciter et l’honorer. Il serait illusoire de croire que Bè est définitivement perdu, et hostile à Unir. Soumettons des projets d’envergures aux Bè, et voyons comment ils vont se retourner des menteurs et brûleurs de marchés.

Hier sur France Inter, j’ai appris que se développent partout en Europe, des projets de navigations fluviales urbains. Par exemple, le Navibus à Bordeaux. Pourquoi ne pas envisager un tel projet pour la lagune de Bè, qui traverse de part en part la ville de Lomé. Pas besoin d’élever les ponts. On fait de ces ponts des lieux de correspondances. Par exemple : La péniche qui partira de Zorrobar déposera ses passagers à Bè-gapkoto. Les passagers qui veulent aller à Bè-simé ou Bè aéroport prennent un autre mode de transport. Ceux qui veulent continuer jusqu’à Letogo traversent le pont pour prendre une autre péniche de l’autre côté du pont, et le tour est joué. De plus, on luttera pour l’environnement et on désengorgera Lomé ville de tous ces Zèm et Taxis. Soyons fous. Pourquoi ne pas aménager les voies sur berge pour faire de Bé-hédjé ; Bè-adjrométi ; Bè-dangbuip-Plage. C’est ainsi de Delanoë a séduit les Parisiens non ?

La mairie de Lomé ainsi libérée de Fogan, nous l’offrirons à Gilchrist, lui-même, en une longévité à la Koukou Fourn. Moi-même, j’irai au porte. N’a-t-il pas de gueule ce beau projet. Je compose déjà une équipe choc pour la campagne de Fogan. L’opposition voyou, nous allons la dissoudre dans de la soude caustique avec ce projet !

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Retour sur la tournée Européenne du CST et de la Coalition Arc-en-ciel : Ce que Ajavon, Fabre et Brigitte Adjamagbo ont oublié de dire aux militants

Publié le 9 Mai 2013 par @Abdel-L'investigateur

Retour sur la tournée Européenne du CST et de la Coalition Arc-en-ciel : Ce que Ajavon, Fabre et Brigitte Adjamagbo ont oublié de dire  aux militants

Elle était annoncée en grande pompe, et elle s’est effectuée. Elle, c’est la tournée Européenne d’une délégation du Collectif Sauvons le

Togo et de la Coalition Arc-en-ciel qui a fait le tour du monde et dont certains ont prédit la fin du règne de Faure une fois cette tournée bouclée. Toute la propagande faite autour de ce déplacement, laissait croire que l’on tendait vers la prise du pouvoir de l’opposition sans même passer par la voie des urnes qui est celle indiquée pour toute personne ou groupe de personne imbu de valeurs démocratiques. Tout avait été mis en place pour que la dépouille de l’actuel pouvoir fasse son retour avec les membres des deux délégations. Mais, hélas, depuis leur retour, les togolais, du moins les militants des deux regroupements politiques sont restés sur leur soif. Que ce soit au CST ou à la Coalition arc-en-ciel, les militants n’ont pas du tout vu grande chose dans ce qui leur a été présenté comme rapport de tournée. Et pourtant, il y avait beaucoup à dire. Que ce soit à Paris ou à Bruxelles, les deux délégations, ont rencontré des gens. Mais seulement, ces derniers ne sont pas celles qui ont « de la poigne » comme on le dit souvent pour désigner les personnalités de haut rang, et qu’il fallait se servir pour justifier de l’importance de l’écoute que les délégations ont eue au court des entretiens. Au Quai d’Orsay, l’équivalent du ministère des Affaires Etrangères ici au Togo, la personne rencontrée par Zeus Ajavon et ses compagnons n’est autre qu’un certain Laurent Vilier, un fonctionnaire subalterne. A Bruxelles c’est le responsable Afrique de l’Ouest, Ustub Békéris qui a reçu les deux délégations. Partout où elles sont passées, la délégation du CST et de la coalition aurait plutôt reçu des conseils de la part de leurs interlocuteurs qui, selon des indiscrétions, leur ont demandé d’aller s’inscrire dans le processus électoral enclenché au Togo et qui suit son cours normal. La question

des réformes soulevée comme argument pour tirer la faveur des partenaires de leur côté, a été plutôt vue autrement. Bruxelles et Paris ne verraient pas l’opportunité pour le Togo de procéder en ce moment aux réformes exigées par le CST et la Coalition avant la tenue des élections législatives. Certes, ils ne l’ont pas dit ouvertement, mais leur attitude en disait long. Comment ces réformes pourront se faire sans une assemblée constituante désignée à l’issue d’un scrutin en bonne et due forme ?

Cette question, les partenaires se la pose et ils n’auraient pas manqué de le faire savoir aux deux délégations. Et, ce qui est encore plus édifiant, c’est qu’à aucun moment et à quelque niveau de leur rencontre, il n’a été mentionné et soutenu que ce sont les manifestations et les contestations stériles de rue qui étaient les voies indiquées pour parvenir au pouvoir.

Somme toute, la tournée du CST et de la coalition a été une véritable déception, même si l’on tente de ne pas le croire. Raison pour laquelle, le retour des délégations est passé comme de l’air dans la nature, sans bruit ni trompette. Sinon, tel qu’on connaît l’opposition togolaise et particulièrement le CST et la coalition arc-en-ciel, Lomé allait se transformer en un champ de slogans de victoire si elle avait eu quelque chose de satisfaisant au cours de cette tournée. Les partenaires ont certainement remarqué que les personnes qu’ils avaient en face étaient celles qui n’avaient pas d’ambitions pour leur pays si ce n’est le détruire. Le moment des années 90- 2000, où on avait une opposition conservatrice qui réussissait à emballer les partenaires à travers des arguments biaisés, est bien passé. Bruxelles et Paris entretiennent des relations institutionnelles avec l’Etat

togolais. Et en tant que tel, ne peuvent pas se laisser baratiner pardes gens qui n’ont aucun soubassement dans leur pays et qui se cachent dernière le rideau de la démocratie pour assouvir leurs besoins personnels. Et selon les informations, aucune réforme de

grande envergure, surtout celles voulues par le CST et la coalition, ne sera faite avant la tenue des élections législatives dont la date ne va plus tardée à être annoncée aux togolais. Mais dans la foulée, il n’est pas exclu que des idées et propositions qui favoriseraient plus

la crédibilité et la transparence des élections à venir, soient prises en compte et débattues par le gouvernement et les autres parties prenantes. Aujourd’hui, la communauté internationale est unanime pour reconnaître que le cadre électoral du Togo en son état actuel est bien assaini et de ce fait reste favorable pour la tenue des élections. La seule chose que l’on demande à l’opposition qui continue de s’agiter c’est de prouver son assise et sa popularité en acceptant d’aller aux urnes. C’est la seule manière pour que l’opinion nationale et internationale puisse se rendre à l’évidence de la force de l’ANC, du

CAR, de la CDPA, du MRC, du PDP etc… Ainsi toutes ces formations politiques trouveront le respect qu’elles attendent du peuple et de la communauté internationale.

TB

Le Messager N° 352 du 08 mai 2013

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Seuls les avocats ont accès aux rapports complets

Publié le 2 Mai 2013 par @Abdel-L'investigateur

Des experts français et israéliens ont été mandatés par le gouvernement du Togo pour faire la lumière sur les incendies qui ont ravagé plusieurs marchés en début d’année. Le procureur de la République a levé un coin du voile la semaine dernière en indiquant que les deux rapports confirmaient la piste criminelle.

Mais le public est resté sur sa faim car les documents n’ont pas été publiés ; seule une partie des conclusions a été révélée.

Pour le procureur de la République, le procédé n’a rien d’étrange. Blaise Essolizam Poyodi explique que tant que la procédure est en cours, seuls les avocats ont accès aux rapports complets.

Republicoftogo : Vos déclarations la semaine dernière concernant les conclusions des experts ont suscité de nombreux commentaires. Certains se demandent pourquoi les rapports n’ont pas été publiés dans leur intégralité

Blaise Essolizam Poyodi : Nous ne cachons rien. C’est une question de procédure. Les rapports a été commandé dans le cadre d’une procédure qui comprend deux phases. Il y a l’enquête de police et l’information judiciaire. Pour les deux phases, la loi dit que la procédure est secrète. Lors de la conférence de presse de la semaine dernière, j’ai donné juste les conclusions. Les rapports complets sont versés au dossier et quiconque est intéressé y aura accès. Il n’y a pas d’autre mécanisme au niveau de la justice pour pouvoir publier les rapports. Il nous est interdit de publier quoi que ce soit avant la clôture de l’information judiciaire. Même le gouvernement ne peut pas prendre sur lui de publier le rapport. Il n'en est pas autorisé. Cela est très clairement dans l’article 10 du Code de procédure pénale.

Republicoftogo : Qui peut avoir accès à ces rapports ?

Blaise Essolizam Poyodi : Les avocats des inculpés et les parties civiles auront accès aux documents. Il suffit qu’ils fassent la demande et ils auront des copies intégrales. Les avocats ont accès à tout le dossier, mais il leur est interdit de publier le contenu avant la fin de l’instruction. A l’audience, si on y arrive, les débats seront publics et on pourra tout dévoiler. Ça ne nous pose aucun problème.

Republicoftogo : Les avocats ont-ils pu consulter les rapports ?

Blaise Essolizam Poyodi : Pas pour l’instant, mais s’ils en font la demande on les leur donnera. Ils ont été transmis au doyen des juges d’instruction. S’ils s’adressent à lui, il leur communiquera. Et verra alors si la justice a tenté de cacher quelque chose.

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